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EAN : 9782809818970
400 pages
L'Archipel (06/07/2016)
2.88/5   29 notes
Résumé :
Août 1969. Holloman, petite ville du Connecticut, a retrouvé son calme après les tragiques événements de janvier (cf Le Dernier Banquet, Archipoche). Jusqu’au jour où un, puis deux corps d’homme mutilés sont retrouvés.
Le capitaine Delmonico écourte alors ses congés pour enquêter sur cette affaire. Assisté du sergent Delia Carstairs et du lieutenant Abe Goldberg, il découvre très vite un lien entre les deux meurtres et la disparition inexpliquée de plusieurs ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Toujours compliqué de s'exprimer sur un livre que l'on n'a pas aimé, la plupart du temps par manque d'affinité avec le genre ou l'auteur. Mais là, j'ai trouvé ça franchement mauvais, je me demande encore pourquoi je suis allé au bout.
Un livre policier qui se passe en 1969 dans le Connecticut, trois enquêtes différentes mêlées mais sans lien les unes avec les autres et très compliquées à suivre puisque le récit est beaucoup plus axé sur des considérations autres que sur l'intrigue. D'ailleurs, l'enquête principale ouvre le roman avec les quatre premières pages puis est liquidée en un chapitre 300 pages plus loin.
J'ai trouvé ça très bavard, mal écrit, avec des expressions bizarres mal employées, je ne sais pas si cela vient de la version originale ou de la traduction. On n'y croit pas une seconde, c'est incohérent avec une histoire familiale interne invraisemblable.
Bref, si vous cherchez un bon livre, passez votre chemin mais cela ne reste que mon avis.
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Ce roman est assez particulier… j'ai un avis mitigé lorsque j'ai fini ma lecture.
Le début ne m'a pas particulièrement plu… le style de l'auteur est assez lourd. Il y a trop de descriptions et les idées n'ont pas vraiment de début et de fin…
Il y a aussi vraiment trop de personnages et pour un début de roman il est difficile de tous les retenir, de se souvenir de leurs rôles et des liens entre eux.
Malheureusement même à la fin du roman il y en a certains que j'ai complètement oubliés et dont je ne me rappelle plus du tout… c'est dommage. Je pense qu'il aurait fallu en mettre moins pour se concentrer sur les personnages essentiels à l'histoire.

J'ai tout de même eu envie de continuer ma lecture et finalement j'ai bien fait.
Il faut arriver à un peu plus de la moitié du roman pour découvrir un récit prenant et plus intéressant.
A partir de ce moment-là les idées sont approfondies juste ce qu'il faut. Les descriptions sont présentes mais sans en faire trop ce qui est une bonne chose !
Le style de l'auteur est différent, plus fluide. J'ai vraiment eu envie, à chaque fin de chapitre, d'en découvrir davantage.
Par contre j'ai parfois eu l'impression que le début et la deuxième partie du roman n'était pas écrits par la même personne, c'est assez déstabilisant…

Concernant les descriptions, si au début du roman elles sont parfois trop présentes, elles sont assez bien écrites dans la deuxième moitié du livre.
Mais les personnages ne sont pas assez décrits physiquement… C'est peut-être un choix de l'auteur mais c'est assez surprenant…
La fin est intéressante mais j'aurais apprécié en savoir davantage sur les personnages plus secondaires…
En résumé, un roman en demi-teinte… si le début du roman ne vous plaît pas peut-être que vous apprécierez plus la fin.
Lien : http://fais-moi-peur.blogspo..
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Je n'arrive même pas à la moitié du livre et l'arrête.
Trop de personnages, l'histoire n'est pas passionnante et ne commence jamais, en tout cas pas assez pour me captiver.
D'habitude avec Colleen McCullough, l'histoire traîne un peu en longueur mais reste intéressante, mais là je ne rentre pas du tout dans l'histoire.
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Péché de Chair est le dernier tome de la série. Cela ne se ressent pas du tout à la lecture, même à la toute fin, mais l'auteur est décédé en janvier 2015 et il n'y a pas d'autres tomes, même en anglais. Ce sera donc la dernière aventure de l'inspecteur Delmonico.

On retrouve avec plaisir cette équipe soudée et où tout le monde ou presque à des liens de parenté à des degrés divers. On retrouve également avec plaisir une enquête où l'ADN et le profilage n'ont pas leur place : question d'époque ! C'est vraiment agréable de retrouver des enquêtes qui sont résolues grâces aux hommes, et aux femmes, qui se lancent dedans plutôt qu'à des découvertes scientifiques (même si j'adore hein - surtout en série TV). C'est ce qui fait tout le charme de cette série de livres.

Ici, Carmine Delmonico est en vacances, mais nous suivons Abe et Delia qui se débattent tout deux avec des affaires compliquées. Elle est au prise avec six femmes qui ont mystérieusement disparues sans laisser la moindre trace, laissant toutes leurs affaires derrière elles. Lui doit faire face à des cadavres d'hommes morts de faim qui sont retrouvés émasculés. Deux enquêtes étranges et difficiles car ils n'ont aucune piste.
Heureusement, Carmine ne tardera pas à revenir et apportera un oeil neuf à tout cela. On pourra également compter sur les nouveaux amis de Delia qui les aideront à progresser de manières surprenante.

J'ai beaucoup apprécié le couple Rufus/Ras. Excentriques, artistes mais ouverts d'esprit et fidèles, ils apportent une vraie bouffée de fraîcheur au roman qui pourrait, sinon, être franchement glauque.
Le roman aborde également l'homosexualité mais comme fait annexe, jamais central. C'est ainsi point, il n'y a pas de débat ou de jugement, quel bonheur !

La quatrième de couverture permet à un lecteur habitué, de rapidement tirer les conclusions qui s'impose, mais j'ai pourtant trouvé les coupables un peu décevants. Il n'y a pas vraiment de raison satisfaisante, à mon goût, à leurs actes. Pour le second, j'ai même trouvé ça un peu tiré par les cheveux. Mais je soupçonne la manière dont s'est amené d'y être pour quelque chose.

Cela reste une enquête vraiment plaisante, et je dis au revoir à tout ce petit monde avec une certaine nostalgie.
Lien : http://www.nyx-shadow.com/20..
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Au programme, une série de femmes portées disparues, et plusieurs hommes mutilés et morts de faim. Je n'en dirai pas plus sur le résumé de l'histoire, parce que je pense que c'est le genre d'intrigue dans laquelle il faut plonger les yeux fermés.
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Je ne suis pas une grande lectrice de policier, mais j'ai apprécié celui-ci. La double enquête est une bonne idée, puisqu'elle maintient l'intérêt du lecteur. Les chapitres sont courts, les actions s'enchaînent, j'ai mis quelques heures à le lire et j'ai vraiment trouvé cela agréable!
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J'ai par contre eu un peu de mal avec le nombre de personnages, j'étais perdue par moment. Trop de noms, trop de liens entre chaque personnage, j'étais embrouillée! Même si j'ai trouvé l'issue de ces deux enquêtes assez simples à deviner, cela restait cohérent. Je déplore le fait que le lecteur était un peu trop mis au courant des actions de chaque personnage, si bien qu'on voit les protagonistes découvrir des choses que l'on sait déjà, ca brise un peu trop le dynamisme je trouve...
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En somme, une bonne lecture, mais que je ne suis pas sûre de garder longtemps en mémoire
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Pour obtenir ce qu’il voulait, il lui suffisait de sourire. Mais, ici, il ne pouvait sourire à personne. L’occasion de sourire, c’était tout ce dont il avait besoin ! Un sourire lui permettrait de s’échapper… nul ne pouvait résister à son sourire ! Avec un sourire, il obtiendrait à manger. Elle apparaissait toujours pendant son sommeil, la nourriture, et il devait donc s’endormir en souriant.
Il s’affaiblit, comme s’il était devenu un escargot rampant avec une lenteur désespérante et d’énormes difficultés ; le simple fait de maintenir sa maison au-dessus de sa tête était un dur labeur et, si elle glissait, il disparaîtrait telle une goutte d’eau sur un poêle chauffé à blanc. Il ne voulait pas renoncer à sa beauté.
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- Le Roger Dartmont ? s'écria-t-elle, éberluée. Je ne savais pas qu'il était aussi...euh...âgé.
- C'est bien lui, délicieuse Delia. Dieu a cassé le moule en mille morceaux mais Lucifer l'a reconstruit, cependant comme Isis a reconstitué Osiris... Le phallus est resté introuvable.
Delia rit. Son regard dépassa Roger Darmont et elle demanda :
- Qui est la dame qui ressemble à un cheval mangeant une pomme à travers un grillage ?
- Olga Tierney...une épouse, chérie. Son mari produit des pièces à Broadway, dont le navet sur lequel nous travaillons en ce moment. C'est lui, avec le noeud papillon noir, qui à l'air d'une jockey.
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Elle était mince et portait les vêtements avec élégance parce qu’elle avait peu de poitrine ; malgré ses traits délicats, fins et réguliers, la majorité des hommes ne l’auraient pas considérée comme jolie ou belle, mais plutôt comme séduisante. Ses cheveux noirs étaient très courts, son maquillage discret mais efficace, et sa peau blanche crémeuse lui conférait une certaine allure. Son attrait principal était ses yeux grands et doux, si foncés qu’ils semblaient noirs.
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Bientôt, la faim devint l’alpha et l’oméga de son existence car, s’il pouvait boire à volonté, il ne recevait aucune nourriture. Parfois, en s’endormant ou en se réveillant, il se souvenait vaguement du goût des aliments et croyait avoir absorbé quelque chose qui emplissait son estomac comme une braise d’une chaleur et d’un réconfort si merveilleux que le souvenir le plus imprécis de ce bien-être lui tirait des larmes.
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Il est difficile de discerner la forme du crâne des trois premières, en raison des coiffures ridicules à la mode à cette époque, mais il me semble qu’il est probablement très rond. En fait, je suis arrivée à la conclusion que, si l’on s’en tient à la structure osseuse, je suis face au même crâne dans les six cas, même si les nez, les sourcils et les joues sont différents. En réalité, je voudrais que tu réfutes une de mes idées les plus baroques… à savoir que ces six femmes sont en fait une seule et même femme, une personne extrêmement compétente en matière de prothèses et de maquillage de scène. Si ses yeux sont clairs, elle peut obtenir n’importe quelle couleur grâce à des lentilles de contact et se procurer une perruque ou se faire teindre les cheveux est un jeu d’enfant.
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