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EAN : 9791041410118
384 pages
Points (02/02/2024)
3.8/5   312 notes
Résumé :
Un terrible accident de voiture, une femme meurt, un homme reste paralysé et un père retrouve son fils. Dix ans après s’être enfui de sa maison, l’adolescent qui fuguait sur les trains de marchandises et qui traversait le pays en stop est maintenant en fauteuil roulant. Son père, aussi aimant qu’écorché, est la seule personne qui viendra sans hésiter le chercher à l’hôpital.
Le Lâche est un premier roman poignant, touchant et plein d’humour sur les retrouvail... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (82) Voir plus Ajouter une critique
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Des ficelles bien visibles et pourtant, je dois le reconnaître, ça marche…

Ce livre me fait l'effet d'un U… Un début très marquant, un ventre mou qui, sans être dénué de talent, semble sortir tout chaud d'un atelier d'écriture américain avec de bonnes grosses louches de bons sentiments que forcément l'un des protagonistes rejette dans un premier temps, puis une fin lumineuse venant éclairer ce début inoubliable, lui donner de la profondeur. Un fer à cheval. Peut-être d'ailleurs que, dans ces ateliers d'écriture, la structure Fer à cheval existe… « Commencez par une entrée en matière explosive pour harponner votre lecteur, ensuite déballez le processus habituel, à savoir une narration en chapitres alternés entre présent et passé, une situation tragique dans laquelle deux proches vont s'engluer et puis essayer de s'en sortir, et enfin finissez par amener votre lecteur là il veut aller tout en établissant un lien avec le début ». Les ingrédients d‘un roman réussi.
Et c'est vrai, ce roman est réussi mais je ne peux m'empêcher d'en voir les fils, la trame sous-jacente. Comme je si regardais un film en ayant conscience tout au long du visionnage de la présence des caméras, du script, du réalisateur tapis dans l'ombre. Ça m'a gênée de sentir tous les trucs et astuces du livre, d'en reconnaitre les ingrédients bien américains. Il faut dire qu'il s'agit du premier roman de l'américain Jarred McGinnis, ceci explique peut-être cela, et je dois bien reconnaitre que malgré ce bémol, j'ai ri, souri, et même j'ai versé ma larme. Ça marche, indéniablement.

Le début du livre, dès l'incipit, m'a laissée bouche bée. Nous vivons le terrible accident de voiture de Jarred, voyons les secours lui prodiguer les premiers secours en gestes extrêmement douloureux pour le sortir de là, percevons qu'une femme est morte. Puis assistons aux premiers jours, premiers mois de la nouvelle vie de Jarred en fauteuil roulant. Son père, aussi aimant qu'écorché, est la seule personne qui viendra sans hésiter le chercher à l'hôpital, comme s'il avait attendu cela depuis les dix ans qui les sépare de leur dernière entrevue houleuse suite à laquelle l'adolescent a fugué.
J'ai particulièrement aimé les passages mettant en évidence les sensations d'une personne nouvellement handicapée sur sa chaise roulante, c'est amené sans pathos, avec beaucoup de justesse et même avec humour et ironie par moment. J'ai appris à la fin de ma lecture que l'auteur est lui-même handicapé, pas étonnant qu'il restitue ces sensations avec autant de subtilité, de finesse, de cynisme. Et toujours à la fin du livre je me suis rendue compte que l'auteur avait utilisé son prénom et nom de famille pour son héros. Sa propre histoire romancée ? Sans aucun doute…

« Je suis rentré à la maison et me suis déshabillé dans ma chambre. J'ai retiré chaussures et chaussettes à grand-peine. J'avais les pieds rouges et enflés, un des bénéfices secondaires de la paraplégie. Quand on ne fait pas travailler les muscles des jambes, le sang et autres liquides corporels descendent et stagnent dans les pieds. On peut enfoncer le doigt dans la chair comme dans une boule de pâte levée. le creux persiste pendant quelques secondes avant de se remplir à nouveau. C'est une bonne animation pour les goûters d'enfants ».

L'essentiel du roman raconte cette cohabitation difficile en allers retours incessants entre présent et passé. La mort tragique et brutale de la mère, le déclin du père dans l'alcoolisme, l'adolescent livré à lui-même qui de bêtises en bêtises et d'amitiés en histoires d'amour, en vient à fuir ce père dont il a honte, ces souvenirs d'une vie familiale passée morte à jamais. Avec cette obsession de Jarred, encore présente devenu adulte, d'aller visiter les maisons lorsque celles-ci sont vides de leurs occupants pour humer la vie normale et paisible de familles américaines traditionnelles, d'aller fouiner, de vivre par procuration ce qu'il n'a jamais, ou si peu, vécu.

« Une vie entière de mauvais choix, comme se glisser par effraction chez les autres, est une habitude qu'on a du mal à perdre. Quand j'étais ado, un psychologue m'a expliqué que ce comportement exprimait ma recherche d'un foyer parfait, à cause du mien qui était loin de l'être. En vérité, je suis seulement curieux ».

Le centre romanesque du livre est de facture très classique. Classique cet adolescent rebelle aux multiples failles fuyant un père complètement dévasté par le chagrin. Classique ce père qui va tenter de se ressaisir alors qu'il est déjà trop tard. Il devra attendre dix ans, dix ans que ce fils difficile lui revienne, sans excuse ni explication, dans un fauteuil roulant. Nous nous attendons à ces débuts de cohabitation difficiles, ces premières confrontations, ces premières prises de conscience, cette culpabilité, ces premières complicités et ces souvenirs qui remontent en faisant peu à un peu moins mal. Nous pressentons les réactions de ce fils toujours aussi cynique, et ironique à présent sur sa condition d'handicapé, rejetant le moindre geste d'empathie, de compassion.
Le titre du livre semble vouloir nous forcer à nous interroger : à qui la faute ? Qui est le lâche de l'histoire ? Un titre surprenant je trouve car à aucun moment nous nous demandons qui est courageux, qui est lâche dans ce déroulé qui est tout simplement la vie avec ce qu'elle comporte de fatalité, de regrets, d'embellies, de honte et de culpabilité…Comme si l'auteur voulait désigner à tout prix un lâche, une seule et unique personne responsable, LE lâche alors qu'il n'y en a pas. A chaque fois que je reprenais le livre avec sa belle couverture et ce titre marqué au fer rouge sur fonds pastel, je me demandais, « ah oui, qui est le lâche de l'histoire ? », perplexité…Voyons…Est-ce ce père qui a tout laissé tomber lorsque sa femme est morte sombrant dans l'alcool et oubliant totalement son garçon, ou bien ce fils qui fut un adolescent stupide prêt à tout brûler ? Ou encore la société qui n'a pas su aider cet enfant saccagé ? le grand frère qui aurait dû alors héberger Jarred livré à lui-même ? Multiples lâchetés, égoïsmes causés par les chagrins, la peur, l'indifférence. La vie tout simplement.

L'écriture est fluide, prenante, parsemée ça et là de vérités péremptoires mais qui, là aussi, ne sont pas sans résonner en nous, attendues mais entendues :
« Au fil des ans, les histoires qu'on se raconte se modifient. Forcément. Qui voudrait être un faire-valoir ou un personnage secondaire dans le récit de sa propre vie ? On choisit les scènes et les chapitres pour raconter une fiction dont on est le héros. C'est la seule manière de survivre aux entailles, aux blessures et aux cicatrices que la vie nous réserve ? Et pourtant, on garde le couteau à la main ».

Un livre efficace, très américain dans sa structure narrative et dans les ingrédients et ressorts usuels utilisés, qui n'en reste pas moins sensible et touchant. Une fin convenue mais indéniablement belle. Un premier roman prenant à saluer en cette rentrée littéraire qui semble s'inspirer directement de la vie même de l'auteur.
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Le roman débute sur une scène terrible d'accident de voiture, de bruits de tôle froissée, rapidement suivis des sinistres hurlements des sirènes et des flashs des gyrophares. Pour aboutir dans une ambiance aseptisée et bercé par les bips des appareils de surveillance, avant que le narrateur se rende compte que quelque chose cloche avec ses jambes.

On se rend compte rapidement que narrateur et auteur partagent un certain nombre de caractéristiques, y compris leur nom, bel artifice pour brouiller les pistes.

Pas de ressources, un handicap sévère, une bataille d'assurances : pas d'autres solutions que de se rapprocher de son père, alors que les ponts avaient été coupés dix ans plutôt …Les retrouvailles seront chaotiques, mais seront aussi l'occasion de revenir sur le chemin complexe et escarpé qui a conduit le jeune homme sur des voies dangereuses jusqu'à l'accident final.


La quatrième de couverture annonce un roman drôle, mais si le texte suscite un certain nombre d'émotions, il n'est pas franchement hilarant. Plus d'amertume et de remords que de comique. Les répliques sont teintées de fiel er de rancoeur, autant contre lui-même que contre le reste du monde et en particulier contre son père.

Le chemin est long pour arriver à atténuer les conséquences des traumatismes de l'enfance. Il passe par des règlements de compte sans concession.

Histoire d'une reconstruction, après que le narrateur aura touché le fond, abandonnant malgré lui une part importante de son autonomie.

Un itinéraire éprouvant, du deuil au pardon, avec à la clé une écriture puissante et claire, qui ne rate pas sa cible.

352 pages Métailié 19 Août 2022
Traduction (Anglais) : Marc Amfreville
#LeLâche #NetGalleyFrance
Lien : https://kittylamouette.blogs..
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À la suite d'un accident terrible, Jarred, le même prénom que l'auteur, narrateur, se retrouve lourdement handicapé sur un fauteuil roulant.
Rapidement considéré comme pouvant retourner chez lui, il fait appel à son père, Jack pour venir le chercher.
Dix ans plus tôt, il est parti de chez lui après avoir fui l'alcoolisme de son père déclenché après la mort brutale de sa femme.
Jarred souffrait de cet alcoolisme violent du père et se sentait coupable de la disparition de sa mère après une rupture d'anévrisme et une dispute entre leurs deux.
le roman se déroule entre les périodes du passé et surtout la lente et très pénible reconstruction de ce jeune homme de 26 ans en fauteuil roulant. La période d'adaptation entre les deux hommes est difficile.
Les scènes sont très détaillées avec des côtés horribles, de l'humour si on veut bien le voir.
le sens du titre est difficile à saisir. Qui est le lâche ? La question est revenue souvent pendant ma lecture. Peut-être Jarred qui a préféré fuir plutôt que d'affronter la situation familiale ? Pourquoi ce titre ?
C'est le premier roman pour Jarred McGinnis qui a
vécu en Floride, au Texas puis en Écosse.
Docteur en intelligence artificielle, il vit avec sa famille à Marseille.
Son livre a été élu un des meilleurs livres de l'année par The Guardian et la BBC.
Peut-être aura-t-il le même parcours en France ?
Pour ma part, j'ai été un peu lente à démarrer et plus j'entrais dans le coeur du roman avec tous les personnages, plus je m'y intéressais.
Le côté noir du début faisait place à une vie retrouvée avec d'autres valeurs.

Je tiens à remercier Babelio et les éditions Métailié pour m'avoir permis de découvrir le livre suite à la Masse Critique de la rentrée littéraire.


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A 26 ans, Jarred est victime d'un terrible accident de voiture qui le prive de l'usage de ses jambes et le cloue dans un fauteuil roulant, et qui coûte également la vie à une jeune femme.
Jarred est seul pour affronter cette épreuve, ou presque : son père est la seule personne sur laquelle il pense pouvoir compter pour venir le chercher à l'hôpital. Même s'ils ne se sont pas vus ni entendus depuis dix ans, quand le gamin a fugué pour rouler sa bosse d'un bord à l'autre des USA.

Après la scène fracassante (excusez ce jeu de mots facile) qui ouvre le roman sur l'accident de voiture et le sauvetage de Jarred, « Le lâche » explore le thème de la reconstruction, celle d'un homme qui doit apprendre à vivre avec son handicap, et celle d'une relation père-fils, déglinguée depuis la mort de la mère de Jarred quand il avait 11 ans. Alternant passé et présent, le récit passe de la révolte et la colère au désespoir, de la frustration à la réconciliation, du fatalisme à la résilience, révélant peu à peu les petites lâchetés et les failles béantes des protagonistes, les unes expliquant peut-être les autres, ou inversément.
« le lâche » est un roman (autobiographique?) qui réussit à éviter de tomber dans un pathos dégoulinant grâce à l'autodérision et les touches d'humour (grinçant et/ou désespéré) du narrateur.
La trame et la structure sont classiques, avec des allers-retours constants dans le temps, des personnages typés (sans cependant aller jusqu'à la caricature), et une fin somme toute assez prévisible. le propos peut parfois sembler édifiant, mais l'ensemble est plutôt touchant, la lecture fluide et le style accrocheur, ce qui fait du « lâche » un très bon premier roman.

En partenariat avec les Editions Métailié.
Lien : https://voyagesaufildespages..
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"Le lâche" de Jarred McGinnis fait partie, et je n'ai aucun doute là-dessus, des meilleurs livres de cette rentrée littéraire 2022 !

La force de ce roman, c'est que l'auteur, Jarred McGinnis, s'inspire de sa propre expérience pour parler du handicap : En se réveillant à l'hôpital après un accident de voiture, le narrateur (qui s'appelle également Jarred McGinnis) apprend que la femme qui l'accompagnait était morte et que lui ne remarcherait jamais (aucun spoiler, c'est dans les 4 premières phrases).

Non seulement c'est bien écrit (et excellemment traduit par Marc Amfreville) mais c'est avec un humour certain que Jarred McGinnis dresse le portrait d'une Amérique où il ne fait pas bon se retrouver paraplégique.

J'ai adoré les personnages ! On les aime mais ils nous agacent aussi : ils ne sont pas parfait : faibles par moment, fort à d'autres et quelques fois têtes à claque ! Mais tellement humains !

C'est un premier roman et bien sûr il y a quelques faiblesses (des petites facilités) mais au final, on s'en moque parce que Jarred McGinnis nous rappelle qu'un paraplégique est quelqu'un comme les autres sans essayer de nous émouvoir !

Merci à Lecteurs.com de m'avoir envoyé ce livre qui me faisait tellement envie :)


Le lâche de Jarred McGinnis
Traduit par Marc Amfreville
Éditions Métailié
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critiques presse (1)
LeMonde
05 septembre 2022
Comment s’accepter quand on se retrouve handicapé à 26 ans ? Un premier roman percutant.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (48) Voir plus Ajouter une citation
La pièce était trop encombrée pour que je puisse parquer mon fauteuil sans gêner le passage. J'ai adressé un petit sourire à l'homme et à la femme qui occupaient déjà les chaises et je me suis serré contre un tas de cartons. Cinquante ans d'une vie sédentaire avaient fait de la femme un créature androgyne et empâtée. On remarquait seulement la pupille blanche d'un de ses yeux et ses cheveux sales, avec des reflets qui sentaient la coloration bon marché. Sa frange était plus longue d'un côté que de l'autre. J'en ai conclu que c'était d'elle que venait l'odeur de désodorisant, ce qui n'était sans doute pas très juste de ma part. Le type à côté d'elle avait exactement la même silhouette qu'elle, poitrine et rondeurs comprises. Il avait eu la sagesse de se laisser pousser un bouc pour remplacer le menton que la nature avait oublié de lui donner. On n'a pas échangé un mot. J'ai renoncé à essayer de détourner les yeux et j'ai regardé l'homme avec fascination et dégoût quand il s'est mis à se curer le nez comme on astique des cuivres.
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Il faut du temps pour acquérir le sens de sa nouvelle envergure. Les roues, le fauteuil, deviennent MES roues, MON fauteuil. Les gens pleins de bonnes intentions qui vous poussent pour remonter une pente sans vous demander votre avis n'ont aucune idée de l'intrusion dans votre espace personnel que ça représente. Vous finissez par acquérir une conscience, pareille à la sensibilité des moustaches d'un chat, des espaces dans lesquels vous et votre fauteuil pouvez vous faufiler sans ralentir. Mais ça prend du temps, des pouces pincés et des chambranles de porte endommagés. Dans chaque pièce de la maison de Jack, les murs témoignent de cette histoire sous forme de hiéroglyphes de peinture éraflée et de traces de pneus.
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Je suis rentré à la maison et me suis déshabillé dans ma chambre. J'ai retiré chaussures et chaussettes à grand-peine. J'avais les pieds rouges et enflés, un des bénéfices secondaires de la paraplégie. Quand on ne fait pas travailler les muscles des jambes, le sang et autres liquides corporels descendent et stagnent dans les pieds. On peut enfoncer le doigt dans la chair comme dans une boule de pâte levée. Le creux persiste pendant quelques secondes avant de se remplir à nouveau. C'est une bonne animation pour les goûters d'enfants.
Commenter  J’apprécie          190
« Je vais te dire ce qui me fait vraiment peur, Sarah. Je veux dire vraiment, vraiment peur. Je ne suis pas sûr d'être prêt à assumer une histoire qui marche. Je suis un lâche, et j'espère que tu me pardonneras de tout ce que je pourrais trouver pour foutre en l'air ce truc qui commence entre nous. »
Elle dormait toujours. J'ai passé mon bras autour d'elle. Toutes mes vilaines pensées se sont envolées et je me suis endormi peu après.
(p. 234)
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Quand je me suis réveillé à l’hôpital, ils m’ont dit que ma petite amie était morte. Ce n’était pas ma petite amie, mais je ne les ai pas contredits.
Les premières semaines se sont passées dans un chaos de morphine et de néon fluorescent. Une inconnue en blouse m’a annoncé que je ne remarcherais jamais. Elle m’a parlé d’un fauteuil roulant et j’ai dit que je préférais les béquilles, parce que je n’avais toujours pas compris.

(incipit)
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Vidéo de Jarred McGinnis
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