L'espoir ne meurt jamais

Ce troisième opus est différent des deux précédents. Peggy s'est absentée pour passer les fêtes avec ses deux enfants les plus jeunes. Malgré tout, elle est là, en filigrane, on ressent qu'elle est le coeur de la maison, celle qui a créé cette atmosphère chaleureuse.


Bien que le personnage principal de cet opus soit Rita, la nièce de la logeuse, les autres membres de la famille prennent de la consistance, Ron, en particulier. J'ai beaucoup de respect et d'admiration pour lui. Sans avoir l'air d'y toucher, cet homme est héroïque. J'ai aussi aimé son caractère bougon qui m'a amusée. J'ai ressenti beaucoup d'affection pour lui.


1940. Rita a dix-sept ans. Elle est orpheline de mère et son père part rejoindre son régiment. La jeune femme peut compter sur ses voisins, les Minnelli, qui sont sa famille de coeur. Un soir, tous les hommes italiens sont arrêtés suite à la déclaration de guerre de Mussolini. Louise Minnelli et Rita se retrouvent seules et se promettent de veiller l'une sur l'autre, en attendant leur retour. Or, Louise espère marier son fils à sa jeune amie et est décidée à régir sa vie. Même si des raisons sont données à son comportement, elle m'a beaucoup énervée. Elle fait du chantage affectif à Rita qui fait preuve d'une patience et d'une compréhension admirables. J'ai beaucoup aimé cette dernière. Elle est très courageuse, déterminée à participer à l'effort de guerre. Elle a un grand coeur et beaucoup d'empathie.


Une fois encore, l'auteure fait ressentir l'angoisse des habitants lorsque les avions allemands survolent Cliffehaven...


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J'aime beaucoup la saga de Cliffehaven, de Tamara McKinley, dont L'espoir ne meurt jamais est le 3e opus. J'avais eu un beau coup de coeur pour le premier, et bien qu'ayant mis plus de temps à entrer dans le 2nd, je l'avais beaucoup apprécié également.
Je suis plus mitigée sur ce tome-ci.
J'ai globalement apprécié le personnage de Rita, mais je l'ai trouvé trop passive. Louise m'est rapidement sortie par les yeux, je n'arrivais absolument pas à me figurer le personnage avec son âge réel d'ailleurs! Son comportement est vraiment détestable et je n'attendais qu'une chose: que Louise prenne ses distances avec ce personnage toxique. Malheureusement, il m'aura fallu trop attendre pour cela.
Concernant la pension du bord de mer, j'ai retrouvé ses habitants avec grand plaisir. J'ai beaucoup aimé l'arc narratif traitant de Ron, Sylvia et son fils. D'ailleurs le personnage de Sylvia était vraiment la bouffée d'air frais qu'il me fallait en l'absence de Peggy. Je dois dire qu'elle a vraiment manqué à ma lecture, j'attendais son retour avec une grande impatience.
Pour résultat, j'ai eu l'impression que tout démarrait enfin avec ce retour, et j'ai été frustrée que le livre s'arrête là. J'aurais aimé une première partie plus courte correspondant aux 80% de ce livre, et une seconde partie plus longue avec le retour de Peggy, pour que l'installation et la nouvelle vie de Rita soit développés...
Pour résumer, ce livre n'était pas exactement celui que j'aurais aimé lire.
Mais j'attends toujours beaucoup du prochain, que je lirai avec grand plaisir!

De retour à Cliffehaven avec le troisième tome de cette série anglaise (un peu à l'eau de rose .... rien que le titre le montre ) de Tamara McKinley .
On retrouve , avec plaisir , Peggy et toute sa famille
à la Pension du Bord de Mer .
Mais cette fois , l'histoire s' attarde davantage sur de nouveaux personnages , la jeune Rita et sa voisine Louise .
La guerre est bien sûr l'élément principal de l'histoire ,
les bombardements et les restrictions ...
J'ai passé un agréable moment avec des personnages attachants ( pas tous .... ) ; c'est plein de bons sentiments ... et de tasses de thé !
Les jeunes filles sont jolies et les militaires beaux garçons .....
Une lecture distrayante , bienvenue pour reprendre son souffle après thrillers , policiers et romans sombres .
Mais je préfère quand même Tamara McKinley dans ses romans australiens .

Quelle joie de retrouver la plume de Tamara McKinley dans cet opus !



Une fois n'est pas coutume, je vous emmène en Angleterre, plus précisément à Cliffehaven, à la pension du Bord de mer. Nous sommes en 1940, en période de guerre, où les habitants de cette petite bourgade doivent faire face au départ de leurs proches pour le front. Mais il faut également penser à la sécurité des enfants ; heureusement que les femmes se soutiennent entre elles que ce soit dans les moments de peur, d'espoir, de panique, du retour des hommes du front...



Rita a perdu sa mère alors qu'elle était jeune. Juin 1940, son père, son dernier parent part sur le front. Elle va se retrouver tout seule mais peut compter sur le soutien des habitants de la petite ville.



Lorsque l'Italie va se rallier à l'Allemagne, le fils et le mari d'origine italienne de Louise, meilleure amie et mère de substitution de Rita sont arrêtés. Beaucoup de personnes pensaient que la pauvre Rita allait perdre pied mais pas du tout, elle va tenir le coup !



Les bombardements vont redoubler d'intensité et Rita est déterminée plus que jamais à aider elle aussi. Elle a toujours voulu faire partie des Forces Féminines de l'aviation ; malheureusement, elle va devoir mettre son rêve de côté. Elle va se porter volontaire pour devenir responsable d'évacuation au sein d'une unité de pompiers.



La vie des civils se partagent entre travail à l'usine d'armement et le service de sécurité avec les pompiers volontaires. le jour où la maison de Rita est détruite, elle se promet de ne jamais perdre la foi et de garder espoir jusqu'au jour meilleur.



Rita nous donne une belle leçon de vie à travers ce livre. J'ai vécu avec elle ses joies, ses peines, ses pleurs, ses peurs, sa tristesse.[suite sur le blog]
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{LECTURE 2024-50} La pension du bord de mer T3 : L'espoir ne meurt jamais de Tamara McKinley chez Archipel

Juin 1940, le père de Rita,17 ans, est parti au front. Celle-ci peut cependant compter sur le soutien des habitants de la petite bourgade côtière de Cliffehaven mais aussi sur sa force.

C'est un tome qui se passe quasi en même temps que le second. Différent puisqu'il axe sur une habitante de la bourgade. Peggy est absente en grande partie de ce tome mais nous retrouvons néanmoins les personnages attachants de la pension.

J'ai aimé découvrir un peu plus largement Cliffehaven. La guerre s'intensifie et l'entrée en guerre de l'Italie amorce aussi une période noire pour les ressortissants italiens vivants là-bas. J'ai trouvé Rita, très attachante malgré la possessivité de Louise. Une jeune fille qui malgré les épreuves de la vie garde la foi et la force.

Une plume toujours agréable et une lecture addictive, on aime avec notre groupe de LC se retrouver dans l'ambiance chaleureuse de ce village de la côte anglaise.

J'ai hâte de découvrir le prochain tome.

Bref, roman historique en période de guerre dans la chaleur de la pension du bord de mer.

J'ai moins savouré ce tome, il en faut bien un après tout, parce que j'y ai moins retrouvé l'ambiance savoureuse de la pension. Et pour cause, l'histoire se passe beaucoup moins au coeur de la pension et Peggy Reilly va également s'absenter une partie du tome. C'est donc un roman un peu différent des précédents, centrés sur d'autres personnages.

Une nouvelle fois, c'est une toute jeune femme qui a une volonté et une motivation surprenantes pour son jeune âge que nous suivons. Rita n'a que 17 ans lorsque son père quitte la ville pour s'engager. Sa mère étant décédée à sa naissance, il ne lui reste plus que Louise et Tino, ses voisins qui l'ont toujours aimée comme leur propre fille et Roberto, leur fils. Louise espère depuis toujours voir les deux jeunes gens se marier.

D'ascendance italienne, cette famille est malheureusement arrêtée par la police à l'entrée en guerre de l'Italie aux côtés de l'Allemagne. Voici un pan de l'Histoire que je ne connaissais pas, tous ces ressortissants italiens intégrés en Angleterre et y ayant construit leur vie depuis des années sont alors vus comme des ennemis et rejetés par tous. Rita se retrouve donc à prendre soin de Louise après l'arrestation de ses mari et fils. Et Louise qui a grandi comme un enfant couvée avant de dépendre ensuite de son mari ne sait pas faire face seule et se retrouve dépendante de Rita qui va prendre à coeur de s'occuper de sa « Mamma ».

Mais Rita est aussi une jeune femme qui a envie de s'investir dans la vie, elle travaille dans une usine mais rêverait en réalité de s'engager dans la RAF en tant que mécanicienne. On va la suivre dans sa volonté d'évoluer dans la vie tout en se rendant utile pour son pays en temps de guerre. Et toujours, Louise ne lui facilitera pas la tâche. Je me suis agacée à plus d'une reprise en les lisant, du chantage que Louise exerce sur la jeune fille qui lui a pourtant tant donné.

Après un bombardement qui détruira leur maison, Louise et Rita finiront à la Pension du Bord de mer où, enfin, on retrouve un peu plus les personnages clés de la saga. La famille Reilly va alors venir en aide à Rita leur nièce toujours avec la même sensibilité et empathie. le final du roman a juste manqué un petit peu de romance à mes yeux, je m'y étais un peu habituée dans les précédents tomes !
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Née en Tasmanie, Tamara McKinley quitte très jeune son Australie natale pour la Grande-Bretagne. La dernière valse de Mathilda (2005), son premier grand roman, est traduit dans plus de vingt pays. Après Et le ciel sera bleu et Si loin des siens (L'Archipel, 2015 et 2016), voici le troisième volet de sa nouvelle saga du « Bord de mer ».
Depuis 2011, la série de la Pension du Bord de mer, qui compte déjà quatorze tomes (le quinzième est annoncé pour août 2018), captive les Britanniques et on les comprend ! Amitié, amour, coups du sort et rebondissements sur fond de guerre mondiale, la série de Tamara McKinley possède tous les ingrédients pour devenir un best-seller ! Son originalité repose sur le fait que l'auteure met en scène des personnages, essentiellement féminins, gravitant autour du couple pittoresque et attachant qui dirige la pension du Bord de mer.
Et même si on est très loin des sagas exotiques qui ont fait le succès de Tamara McKinley, celle-ci a vraiment su tirer le meilleur de ce que la côte sud de l'Angleterre a à offrir ! Sa pension du Bord de mer et la petite bourgade de Cliffehaven sont si pittoresques, si accueillantes que d'emblée, on s'y sent presque comme à la maison ! Ce n'est pas seulement un refuge mais une famille que l'on trouve à Cliffehaven ! Dès lors, impossible de ne pas se passionner pour les pensionnaires et leur histoire de survie, où seuls comptent l'entraide, le courage et l'obstination !
Dans ce troisième tome, les temps sont toujours aussi durs et l'avenir toujours aussi incertain. La famille Reilly et ses nouveaux pensionnaires doivent endurer toujours plus de privations. Malgré l'enfer des raids aériens et des bombardements quotidiens, ils sauront rester dignes et se montrer à la hauteur des sacrifices que cette guerre leur impose.
« S'il y eut alors un cliché qui, plus que tous les autres, marqua l'esprit des Britanniques, ce fut celui qui figurait le dôme de la cathédrale Saint-Paul se dressant fièrement au-dessus de la fumée et des flammes, tel un pied de nez au déluge que la Luftwaffe avait pourtant déversé sur lui. La preuve, s'il en était besoin, que jamais la Grande-Bretagne ne ploierait sous le joug hitlérien. »
Comme dans les tomes précédents, l'effort de guerre, le partage et solidarité sont au coeur même du roman de Tamara McKinley. Au-delà de l'hommage que l'auteure rend à la population civile britannique durant la Seconde Guerre mondiale, elle nous exhorte en quelque sorte à imiter nos aînés et à rester, nous aussi, unis dans l'adversité. Et malgré une impression de « déjà lu » et quelques longueurs, ce troisième tome de la pension du Bord de Mer est toujours aussi plein de bons et nobles sentiments, de chaleur humaine et générosité.
Si vous aimez les grandes et belles sagas romanesques, les histoires réconfortantes, les personnages forts et bien campés, n'hésitez pas une seule seconde ! L'espoir ne meurt jamais vous fera vibrer de la première à la dernière page !
Lien : http://histoiredusoir.canalb..

Eh oui, encore un roman de Tamara McKinley que je vous présente ! Il faut croire que j'aime son style :)
Dans cette saga, toujours en Angleterre à Cliffehaven, nous retrouvons la pension du Bord de Mer et ses occupants. Nous sommes en 1940 durant la guerre et les habitants de cette petite ville doivent faire face au départ de leurs proches pour le front, à l'éloignement de leurs enfants pour les protéger, au soutien de femmes entre elles, à la peur, à la panique, mais aussi à l'espoir. Celui de la fin de cette guerre et du retour des hommes et femmes qui se battent pour leur pays.

C'est encore un roman de vie historique que nous livre Tamara McKinley. Les détails des lieux et de l'atmosphère régnant à Cliffehaven sont très présents. Impossible de ne pas imaginer cette bourgade et ses habitants ! L'écriture est fluide (mais ce n'est pas nouveau car je connais bien cette auteure et ne la découvre plus !), agréable et accessible à beaucoup de lecteurs.
Les personnages mis en avant sont principalement et encore des femmes et j'aime beaucoup cela. le côté féministe de l'auteure s'affirme et dévoile des facettes combatives, touchantes et fortes chez des femmes pourtant en retrait, timides ou craintives. Face à la guerre, chacune doit ravaler ses émotions pour ne faire sortir que celles qui aideront, qui soutiendront et réconforteront.

Toutefois, les longueurs sont assez nombreuses dans cet opus. Ce n'est que mon avis, bien sûr, mais je pense que la saga de cette pension au Bord de Mer aurait dû s'arrêter au tome précédent.
Les deux derniers romans se ressemblent et j'ai eu la sensation d'un « déjà lu »…

Si je le conseille ? Comme pour le précédent livre que j'ai lu de Tamara McKinley (voir la chronique de « Si loin des siens »), malgré le fait que j'aime cette plume, je n'ai pas autant été emballée par cette saga que par celle se déroulant en Australie. C'est un bon roman historique et je suis néanmoins certaine qu'il trouvera ses lecteurs.
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Je poursuis ma lecture des romans de cette série, un peu dans le désordre, mais je m'y retrouve ! Ici, c'est Rita, jeune ouvrière dans une usine de fabrication d'avions qui est notre héroïne. Elle va rapidement se retrouver seule, son père étant parti à la guerre et elle ne va plus pouvoir compter sur ses voisins italiens. Heureusement, tous les habitants de la Pension du bord de mer vont l'aider.
J'ai apprécié le caractère et la détermination de Rita, qui malgré les aléas de la guerre et l'attitude de Louise parvient à atteindre son but. C'est un bon roman, sur une partie méconnue de la guerre : la place des femmes dans l'aviation, et celle de l'emprisonnement des italiens.

Quel dommage je suis passée complètement à côté de cette oeuvre … j'ai malheureusement eu énormément d e-mail avec Rita et Louise qui m'ont tellement agacée que j'en ai perdu toute compassion pour elles…
Et que dire du résumé de la 4e de couverture qui en fait nous raconte quasiment la fin du livre (!)? C'est navrant…