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Citations sur La saga Vorkosigan, tome 5 : Miles Vorkosigan (13)

Evénement plus heureux encore, Miles céda son titre de plus fameux imbécile de l’île (une notoriété indésirable acquise depuis l’embourbement du scat-cat) à un groupe de bleus qui avaient trouvé moyen, un soir, de mettre le feu à leur cantonnement en allumant leurs pets. Le lendemain, lorsque les officiers se réunirent pour discuter des mesures à prendre contre d’éventuels incendies, Miles suggéra d’attaquer le problème en menant un assaut logistique contre l’approvisionnement en combustible de l’ennemi, à savoir d’éliminer les fayots de l’ordinaire.
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— Une parole, déclara gravement Grégor, est une promesse échangée entre ennemis honorables.
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En un sens, c’est dommage que le thiopenta ait été inventé. J’aurais eu plaisir à briser tous les os de votre corps jusqu’à ce que vous parliez. Ou hurliez. Peut-être que je le ferai quand même. Un os par jour. Il y a deux cent six os dans le corps humain. Deux cent six jours.
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A l’ennemi qui bat en retraite il faut laisser garder autant de dignité que possible. Mais rien d’autre, par contre.
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Une prompte vengeance vaut mieux que pas de vengeance du tout. Une vengeance lente et prolongée vaut encore mieux, mais pour la savourer pleinement, il faut pouvoir y survivre.
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- Ainsi se termine la Guerre des Cinq Jours. Je n’ai jamais croisé une seule fois le regard d’un Cetagandan. Tant d’efforts et de sang versé, et tout ça pour revenir au statu quo ante !
- Pas exactement pour tout le monde. Un certain nombre d’officiers supérieurs cetagandans ont été rappelés dans leur capitale pour expliquer à leur empereur leur « expédition non autorisée ». On s’attend à ce que ces excuses soient fatales.
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La guerre n’est pas sa propre fin, sauf dans un glissement catastrophique jusqu’à la damnation absolue. C’est la paix qu’on veut obtenir. Une paix meilleure que celle dont on disposait au départ. Si ce que tu fais pendant la guerre te dégrade tellement que la paix suivante est pire…
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Mais la lance imploseuse suceuse d’énergie avait une portée extrêmement courte, en termes de vitesses et de distances spatiales à peine une douzaine de kilomètres. Or les vaisseaux devaient coopérer pour s’aborder, ralentir, se rapprocher et manœuvrer. Etant donné aussi la modeste échelle du volume des couloirs, le combat donnait parfois l’impression de redevenir du corps à corps, sauf que les formations trop serrées attiraient les attaques en « mur de soleils » par masses d’atomes. Le serpent qui se mord la queue. Le bruit courait sous le manteau que l’éperonnage et l’abordage pourraient bien être remis à l’honneur. Jusqu’à ce qu’arrive la dernière surprise sortie des ateliers du diable, en tout cas. Miles évoqua, saisi d’un regret poignant, le bon vieux temps de la génération de son grand-père où les gens pouvaient se tuer proprement à cinquante mille kilomètres de distance.
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C'était cela le combat ? Cette salle assourdie, ce tourbillon de points lumineux, ces sièges rembourrés ? Peut-être le détachement était-il une bonne chose, pour les commandants. Il avait le coeur qui battait comme un tambour. Une salle de tactique de ce calibre pouvait provoquer une surcharge d'information et un blocage de l'esprit si l'on y prenait garde. Le truc, c'était de choisir ce qui était important et de ne jamais oublier que la carte n'était pas le territoire.
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Amiral comte Aral Vorkosigan. Le colosse de l'histoire barrayarane du demi-siècle. Le conquérant de Komarr, le héros de l'effroyable retraite d'Escobar. Seize ans durant seigneur régent de Barrayar pendant la minorité agitée de l'empereur Gregor ; le premier ministre investi de toute la confiance de l'empereur au cours des quatre années suivantes. Le destructeur des prétentions au trône de Vordarian [...]. Le Vorkosigan.
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