Il y a des oeuvres qui me sont totalement imperméables en produisant chez moi aucune émotion particulière. Celle-ci en fait malheureusement partie.
En effet, c'est juste une succession de petites cases sans grand intérêt scénaristique et même graphique. C'est plat et c'est ennuyeux à l'image de cette île des Malouines. Cela n'apporte rien de particulier. La rigueur règne en maître.
Bref, aucune valeur ajoutée.
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A travers un épisode d'enfance, une carte postale, un trentenaire pendant une soirée ordinaire, l'auteur livre avec force l'aventure de l'ordinaire sur laquelle se construit l'humain, et la confronte au grandiose de la Nature.
Lire la critique sur le site : Sceneario
De belles pages, contemplatives, muettes et poétiques, évoquent le quotidien d’une petite île des Malouines.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
— Lâchez-la !
PAN !
tacatacatacaCRASH
BOUM !
TACATACATACATA
BOUUUUUM !
PAN !
— AAAAAARGH
DZING
— INDY ! SORS ! Tu te mets toujours en 4 pour épater la galerie !
(Radiodiffusion)
— Indy... Pourquoi le sol bouge ?
— Donne-moi la torche
Fooooo
Ssssssssssss
— DES SERPENTS
— Fallait que ce soient... des serpents !
— Des aspics ! Les plus dangereux !
(Radiodiffusion)
Le vrai bonheur est dans le calme de l'esprit et du cœur.
While the comics marketplace generally favors work that offers conventionally novelistic narratives conveyed through artwork that inclines towards naturalistically-based figurative clarity, a rising generation of artists, often working in alternative publishing formats, is exploring the limits of expressive poetic minimalism. Comics critic Derik Badman will discuss the new comics minimalism with Christopher Adams, Simon Moreton, Jon McNaught, Frank Santoro and Andrew White.