Lu en VO
Meredith est une jeune ingénue issue de la jeunesse dorée de Chicago. Matt lui, se construit par lui même et travaille dur pour accéder a un statut social. Leur histoire d'amour brûlante de désir, de passion ,ponctuée de quiproquo s'entremêle avec la vie de leurs deux entreprises et des marchés de l'Illinois.
Plus dur que je ne le pensais de lire en VO : la lecture est moins fluide et comme j'aime lire vite je perds cette souplesse. Les sentiments et les émotions sont donc plus difficile à saisir.
Une histoire d'amour et d'argent assez sympathique même si j'ai trouvé la partie introductive très longue pour que les situations se résolvent en quelques pages. Un joli croquis de son époque pour une histoire d'amour enflammée.
Scènes intimes explicites.
Commenter  J’apprécie         10
Très beau roman d'amour ; destins de personnages charismatiques très attachants . On plonge vite dans cette histoire passionnante emplie d'émotions, de rebondissements.
Commenter  J’apprécie         20
Mon père est le genre d’homme qui ne supporte pas qu’un autre soit capable de faire quelque chose parfaitement sans ses conseils ou son intervention. Il engage des gens compétents qui ont d’excellentes initiatives, mais il les force à se soumettre à ses propres idées. Si le projet marche, il en prend tout le crédit ; en cas d’échec, ils lui servent de boucs émissaires. Ceux qui le défient et refusent de lui céder obtiennent des promotions et des augmentations de salaire si leurs suggestions réussissent, mais jamais de remerciements ni de reconnaissance.
À trente-sept ans, il avait perdu l’intrépidité de la jeunesse, mais son visage avait acquis à la place une force calme qui le faisait paraître encore plus séduisant – et encore plus implacable.
Il était instinctivement, intuitivement, sensible aux nuances de la nature humaine. Il lui suffisait de parler quelques minutes à un homme pour découvrir ce qui le motivait et le faisait agir, que ce soit la vanité, l’avarice, l’ambition ou toute autre passion.
Aucune autre femme ne l’avait enflammé du même désir fou de prouver qu’il pouvait devenir meilleur. Épouser quelqu’un qui ne provoquerait pas en lui ces sentiments serait se contenter d’un pis-aller, et il n’était pas de ceux qu’un pis-aller peut satisfaire.
L’orgueil et le bon sens exigeaient qu’elle se présente sous son meilleur jour ; Matt sortait avec des vedettes de cinéma et des cover-girls, et elle serait sans doute plus efficace si elle se sentait en confiance. Satisfaite,