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EAN : 9782253178071
624 pages
Le Livre de Poche (30/04/2014)
4.03/5   191 notes
Résumé :
Howbutker, Texas, 1916. À la mort de son père, la jeune Mary Toliver hérite de la plantation de coton des Toliver, l'une des familles fondatrices de Howbutker. La jeune femme devra-t-elle sacrifier son amour pour Percy Warwick, magnat de l'exploitation forestières, pour faire vivre le sol de ses ancêtres ? Confrontés aux trahisons, aux secrets et aux tragédies qui les entourent, renonceront-ils à ce qui aurait pu exister, non seulement pour eux, mais aussi pour les ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (58) Voir plus Ajouter une critique
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Amour, Gloire et Beauté au Texas ! Les roses de Somerset, c'est un peu Scarlett O'Hara courtisée par Mark Darcy au ranch des Ewing…

Dans le rôle de Scarlett : Mary Toliver, unique héritière de Somerset, la plantation de coton à laquelle son père a consacré sa vie.
Dans le rôle de Mark Darcy : Percy Warwick, son voisin, propriétaire d'un domaine forestier et d'une scierie.
Ajoutons dans le rôle du gentil outsider : Ollie Dumont, ami de Percy et Mary, patron d'une chaîne de grands magasins de luxe.
Et dans celui de Sue Helen : Darla Toliver, la mère de Mary, qui boit pour oublier qu'elle est jalouse de sa fille…
Mais où est JR ? Oui, cette saga à l'eau de rose manque d'un véritable méchant pour être palpipante. Ceci dit, rien qu'avec la photo de couverture dégoulinant de rose et le résumé qui explique que « ce roman d'amour et de sacrifice a déjà conquis les lectrices du monde entier », j'aurais dû me douter que cette fresque texane du XXᵉ siècle, avec ses secrets de famille et sa malédiction qui vient de nulle part, était un peu gnangnan.

D'accord, Leila Meacham écrit correctement, même si le texte repose avant tout sur des dialogues. Toutefois, la narration trop explicative et répétitive ne crée aucun suspense. Et la fin, avec la troisième génération incarnée par la petite-nièce de Mary et le petit-fils de Percy, est interminable : vont-ils reproduire les erreurs de leurs ancêtres ou tirer un trait sur la plantation pour se libérer du passé ?

Vous ne le saurez sans doute jamais si vous suivez mes conseils et ne lisez pas ce livre. Et vous n'aurez rien manqué, vu le peu de souvenirs qui me restent après sa lecture ! Pour choisir une meilleure saga historique, allez plutôt voir du côté de Kate Morton, Colleen McCullough ou même Douglas Kennedy, dont La poursuite du bonheur demeure une référence.
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Alors qu'elle se sait mourante, Mary Toliver modifie son testament et prive sa nièce du domaine de Somerset qui devait pourtant lui revenir. Ce faisant, la vieille dame espère que la jeune femme échappera à la malédiction de Toliver. Mais pour comprendre ce lourd anathème familial, il faut remonter au début du 20e siècle, à Howbutker, ville florissante du Texas jadis fondée par les Warwick, exploitants en bois, les Toliver, planteurs de coton et les Dumont, vendeurs d'articles de luxe.

En 1916, à peine âgée de 16 ans, Mary Toliver hérite de Somerset. Pour elle qui porte dans son sang les terres de ses ancêtres, cet héritage est logique, mais il lui met à dos son frère et sa mère qui s'estiment spoliés. En dépit de sa jeunesse, Mary est pleine de volonté et elle est déterminée à sauver le domaine des créanciers, même si elle doit pour cela renoncer à l'amour de Percy Warwick. le choix est déchirant : sa plantation ou l'homme qui l'adore. Les années passant, ce sont les enfants et les petits-enfants de Mary et Percy qui auront à subir la loi implacable de Somerset.

Somerset, plantation de coton. Ces quelques mots évoquent un mythe américain à base de possession, de chaleur, de récolte et de labeur. le coton a fait la fortune des états du Sud américain, mais il a aussi fait couler le sang et les larmes. Somerset n'échappe pas à cette règle : « Cette plantation risque de te trahir, de te décevoir, de t'épuiser, mais elle ne te quittera jamais. » (p. 88) Dans le coeur des hommes, la propriété s'oppose à la famille et ce dilemme déchire des générations. Mais, comme les roses blanches et rouges des antiques York et Lancaster, le pardon est une fleur fragile à qui il faut laisser le temps d'éclore.

Les roses de Somerset est un pavé, mais les 500 pages s'effeuillent à toute allure. L'intrigue est prenante et construite. En adoptant successivement les points de vue de Mary, Percy et Rachel, l'histoire embrasse parfaitement les destins croisés de plusieurs familles et de plusieurs générations. Ce qui fait tout le charme des sagas, c'est la révélation progressive de tous les secrets qui se sont noués. Si vous y ajoutez un peu de la caniculaire chaleur texane et des femmes au caractère bien trempé, vous obtenez un très bon roman sentimental. J'avoue que Mary m'a d'abord prodigieusement agacée. Je n'y peux rien, les personnages à la Scarlett O'Hara me tapent sur les nerfs : les fifilles à papa pourries gâtées qui veulent le beurre, l'argent du beurre et le fils de la crémière sans considération pour les désirs et les attentes des autres n'obtiennent que rarement ma sympathie. Heureusement pour Mary, son personnage évolue et celui de Rachel ne ressemble que partiellement à celui de sa tante.

La plume de Leila Meacham est honnête et maîtrisée, mais n'a rien de renversant. de toute façon, ce n'est pas vraiment ce qu'on demande à ce genre de roman : Les roses de Somerset offre une bonne histoire, des personnages attachants et un parfait moment de détente. Si vous comptez l'emmener dans le train, vous ne mettrez pas grand-chose d'autre dans votre sac à main, mais vous passerez un charmant moment de lecture.
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C'est l'histoire de Mary mais c'est aussi et surtout l'histoire de trois familles. Les Toliver et le coton. Les Warwick et le bois. Les Dumont et les produits de luxe. On découvre Mary alors qu'elle n'est qu'une jeune femme. On va la suivre à travers les années. C'est une femme de conviction, au fort caractère, libre de ses choix. Cette histoire est tragique, une malédiction pèse. le contexte historique est passionnant. Romance, secrets de famille, trahisons mais aussi amitié, amour, liens familiaux, passion... Entre passé et présent, l'histoire est racontée du point de vue de Mary, de Percy et de Rachel (petite nièce de Mary) Mary fera des choix bons ou mauvais mais il faudra qu'elle les assume. Les femmes de ce livre sont fortes et souvent intraitables. Ma compassion et mon empathie va plutôt vers les hommes de l'histoire: Percy, Matthew, Ollie, Wyatt... Bref, c'est saga familiale est un petit bijou!(...)

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J'étais intriguée par le résumé et je peux vous dire d'avance que ce fût une énorme surprise, un gros coup de coeur.

« Les roses de Somerset » est l'histoire de trois grandes familles fondatrices d'une ville aux États-Unis. Chacune d'entre elles a fait fortune dans un domaine précis : le commerce, les arbres et le coton. Grâce à elles, la petite ville où ils se trouvaient à pu s'agrandir et s'enrichir.
Mary Toliver est la propriétaire de Somerset, la plantation de coton qu'elle a hérité de son père lorsque celui-ci décéda. Se sachant mourante, elle décide de changer à la dernière minute son testament et déshérite sa nièce, Rachel Toliver, au grand étonnement de son notaire Amos ( qui est également son ami ). La raison de ce changement est d'ailleurs plutôt surprenante : Somerset serait la source d'une malédiction sévissant depuis toujours les Toliver.
Mais quelle est donc cette malédiction ? C'est dans des souvenirs aux secrets bien cachés que nous allons, au fil des pages, résoudre ce mystère.

Le livre est divisé en trois parties bien distinctes.

La première est l'histoire de Mary Toliver.
Nous apprenons à la connaître vieille lorsqu'elle décide de déshériter sa nièce, puis nous remontons le temps à ses côtés. Nous nous retrouvons donc avec une jeune Mary, lorsqu'elle hérite de la plantation de coton familiale : Somerset. Cet héritage perçu de son père lui attise la colère et la rancoeur de sa mère et de son frère, laissés de côté. Elle devra faire face à ses obligations, à des règles mais aussi à sa famille : Mary grandit vite et doit assumer ses responsabilités.
Responsable, elle ne reste pas moins une jeune femme en âge de se marier. Les meilleurs amis de son frère, Percy et Ollie, n'ont d'yeux que pour elle, la plus jolie fille de la ville. Ces deux garçons ne sont d'ailleurs pas comme les autres : ils sont tous les deux les héritiers des deux autres grandes familles fondatrices de la ville.
A travers ce triangle amoureux et ses responsabilités de propriétaire, nous apprenons à connaître Mary et tous les personnages qui gravitent autour d'elle et qui font parti de cette fameuse malédiction.

La seconde partie est l'histoire de Percy Warwick.
Nous continuons donc ce retour en arrière à travers les yeux de ce personnage masculin.
Grâce à cela, nous voyons l'histoire d'un nouvel oeil et obtenons des éléments que nous n'aurions jamais pu avoir si nous étions restés du point de vue de Mary.

Et enfin, la dernière partie est l'histoire du point de vue de Rachel Toliver.
Après avoir parcouru le passé et appris ce qu'était cette fameuse malédiction et ce qui attendait donc l'héritier de Somerset, nous retournons dans le futur.
Le récit est principalement conté à travers les yeux de Rachel, l'héritière déshéritée qui ne comprend pas cette décision et cherche à obtenir compensation. Certains passages sont également narrés du point de vue de Matt Warwick, le petit-fils de Percy.
Nous suivons donc les aventures de cette nouvelle génération et comprenons les enjeux qui pèsent sur leurs têtes. Ils suivent malgré eux le même schéma de vie que leurs anciens et à la fin, nous découvrons si oui ou non, cette menace sera à jamais détruite.

Vous l'aurez compris : l'auteur nous offre une saga familiale grandiose.
Elle réussit à nous faire voyager dans une époque complètement différente de la notre, là où les voitures étaient encore si rares que c'en étaient des attractions, là où les femmes portaient encore des corsets et devaient rester à la maison en bonne femme parfaite.

Chaque partie du livre est importante et nous permet de comprendre pourquoi, au début de l'histoire, Mary décide de déshériter sa nièce Rachel, qui est pourtant une passionnée d'agriculture et une acharnée du travail.

N'ayez pas peur du nombre de pages que fait ce livre : point de descriptions trop longues et assommantes. le style de l'auteur est léger, fluide, plaisant et captivant.
Chaque phrase est importante et nous transporte dans une autre époque.

Les personnages sont tous attachants et indispensables à ce sublime récit.
Chacun à sa propre personnalité et l'on se reconnaît un peu en chacun, même dans les plus têtus et bornés !

Nous ne voyons pas les pages défiler et arrêter sa lecture devient clairement un supplice, tant cette histoire est juste passionnante.

En conclusion, un énorme coup de coeur que je ne pourrais jamais trop recommander. « Les roses de Somerset » est juste une grande découverte littéraire et son auteur, Leila MEACHAM, est vraiment à suivre ! Entre saga familiale, mystérieuse malédiction, romance et histoire, préparez-vous à voyager très loin et à embarquer dans une histoire captivante.





Un livre à lire pour tous ceux qui aiment les sagas familiales historiques, ou pour ceux qui veulent essayer un genre nouveau sans se tromper !

Lien : http://lectrice-lambda.blogs..
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Il m'est toujours difficile de résumer une saga en en disant assez mais pas trop, j'ai toujours l'impression que ça ne rend pas… Mais je vais essayer !


Howbutker, ville fondée par trois anciennes familles dont les activités se transmettent de génération en génération : Les Warwick dans le commerce du bois, les Dumont pour les produits de luxes, et les Toliver exploitant le coton. Ce récit commence par la mort imminente de Mary Toliver, vieille héritière du domaine de Somerset sur lequel elle a cultivé du coton toute sa vie. A sa mort, tout le monde s'attend à ce qu'elle lègue le domaine à sa petite fille, Rachel, qui travaille à ses côté depuis déjà plusieurs années. Pourtant, surprise, juste avant de mourir Mary change son testament : Veuve d'Ollie Dumont, elle vend sa plantation et lègue sa maison de Somerset à Percy Warwick, son ami de toujours. Elle croyait avoir le temps d'expliquer à sa petite fille que c'était pour son bien, mais voilà, elle meurt avant de pouvoir le faire… C'est avec le récit de ses souvenirs avant de mourir que débute cette fresque familiale, qui s'étendra sur un peu moins d'un siècle.

Pour quelle raison Mary a-t-elle voulu déhériter Rachel ? Pour le savoir, il faudra remonter très loin dans le passé commun de ces trois grandes familles, déterrer de vieux souvenirs, rouvrir de vieilles blessures… Et même tenter de déjouer la malédiction des Toliver !


*****

Ce roman de 620 pages nous plonge dans le monde désuet et plein de charme des plantations de coton et des vieilles familles fondatrices. Il raconte l'histoire des Toliver, dont la malédiction est d'être d'une part trop attaché à ses terres pour aimer et être aimé et, d'autre part, de voir la plupart des enfants ne pas atteindre l'âge adulte. Somerset semble condamner ses propriétaires à la solitude… C'est presque un siècle d'histoire qui défile sous nos yeux. L'écriture est simple mais propre ; le récit, presque chronologique, est axé tour à tour sur les héritiers de la génération de Mary, ce qui permet d'avoir une vue globale de l'histoire et surtout plusieurs points de vue.


J'ai donc bien aimé cette saga familiale, qui ne vire pas à l'eau de rose (quel dommage cet amour qui ne peut s'exprimer !) et nous dévoile les secrets de famille petit à petit, tout au long de l'histoire, avec le point de vue de chaque intéressé : Grâce à cela, on comprend leurs réactions, leurs sentiments contradictoires et leurs dilemmes, on vit leurs amours, leurs trahisons, et même... les malédictions qui planent sur leurs familles ; Et on ne s'ennuie jamais, pris dans le fil du récit plutôt bien construit. Il manque peut-être la petite étincelle finale en plus, entre les personnages actuels (pour compenser l'amour manqué de leurs ancêtre), mais j'ai beaucoup aimé l'histoire et les personnages, j'ai trouvé cela très agréable, prenant, intéressant (Et j'envisage de lire le préquel "Plantation" ) : Vous pouvez donc découvrir ce roman cet été au soleil, sur un transat bien confortable ou blottis au creux de votre balancelle !

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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
La vieille dame encaissa le coup et se voûta légèrement, puis elle posa sa canne sur ses genoux.
— C’est une très longue histoire, vous savez, bien trop longue pour que je vous la raconte. Un jour, Percy vous expliquera.
— Il m’expliquera quoi, Mary ?
Pourquoi un jour ? Pourquoi Percy ? Le notaire observa un instant ses rides creusées, son visage pâle, malgré sa peau mate.
Soudain, il fut saisi d’une sombre inquiétude.
— De quoi parlez-vous ? demanda-t-il. J’ai lu tout ce qui concerne les Toliver, les Warwick et les Dumont. Je vis parmi vous depuis quarante ans. Je suis au courant de tout ce qui vous arrive. S’il y avait eu un secret, j’en aurais eu vent.
Elle baissa furtivement ses paupières rougies par la fatigue puis rouvrit les yeux.
— Mon pauvre Amos, dit-elle avec affection. Quand vous êtes entré dans nos vies, nos histoires étaient terminées. Vous nous avez connus au sommet. Nos tragédies, nos actes malheureux étaient derrière nous et nous en assumions les conséquences. Rachel ne doit pas commettre les mêmes erreurs que moi et en payer le prix fort. Pas question de l’exposer à la malédiction des Toliver...
— La malédiction des Toliver ? répéta Amos, alarmé par ce discours qui ne ressemblait en rien à Mary. Je n’ai jamais entendu parler d’une malédiction.
— Vous voyez, répliqua-t-elle en esquissant un sourire.
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La saison des cornouillers était terminée, mais les glycines étaient encore resplendissantes et cascadaient sur les murs et grilles. À Somerset, les champs de coton étaient en fleur.
Mary se concentra sur cette image. Elle avait perdu tous ceux qu’elle aimait, son grand-père, son père, son frère et sa mère… Il ne lui restait que Somerset, qui l’attendait. C’était à elle de s’occuper des terres. Miles l’avait bien dit : Somerset ne l’abandonnerait jamais, malgré le charançon, la sécheresse et les inondations. La grêle pouvait anéantir une récolte en quelques minutes, mais les terres, elles, seraient toujours là. Les terres étaient porteuses d’espoir, au contraire des humains.
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- Fiston, si on allait boire un coup tous les deux ? Cela fait bien longtemps que je ne me suis pas saoulé.
- C'était quand, papa ?
- Oh ... Avant que je n'épouse ta mère.
- Qu'est-ce qui t'a poussé à boire ?
Percy hésita. Il ne voulait pas répondre à cette question, mais craignait de briser la magie de cet instant. Wyatt et lui n'avaient évoqué son passé à aucune occasion. Jamais son fils ne lui avait posé la moindre question sur sa jeunesse, la guerre ... Seul Matthew s'intéressait à ses souvenirs. Mais Wyatt était un homme, à présent.
- A cause d'une femme.
- Qu'est-elle devenue .
- Elle en a épousé un autre.
- Tu devais l'aimer ...
- Oui. Beaucoup. Quelle autre raison peut pousser un homme à boire pour oublier ?
- Mais alors pourquoi le faire avec moi, ce soir ? demanda Wyatt, perplexe.
Accablé, Percy ne put répondre.
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« Cette plantation risque de te trahir, de te décevoir, de t’épuiser, mais elle ne te quittera jamais. » (p. 88)
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Un homme sans rêves est un homme qui ne vit plus.
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Vidéo de Leila Meacham
Dans cet épisode, on vous propose de rencontrer Leila Meacham, auteur Charleston. Elle vous parle de son processus d'écriture, et donne quelques infos en exclusivité sur son prochain roman.
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