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Critique de Ellenripley
Adoré. Dévoré. Approuvé.
ADA, mon nouvel acronyme pour les romans qui valent le coup d'être lus et gardés au chaud sur l'étagère (comme "Ada ou l'ardeur").
Jeanne fait le boniche chez les bourgeois. Jeannot peint la Tour Eiffel juste en face. Et un paquet de cheveux les relie l'un à l'autre.
Je n'en dirais pas plus.
Au moins aussi trépidant et réjouissant que le précédent opus de Florence Medina "Charles 1943". Même cadence. Même précision. Même intégration superbement calibrée de l'aventure dans la grande histoire. Même lot d'émotions, on se marre autant qu'on grince des dents, autant qu'on essuie ses yeux.
Et surtout, Medina fait la part belle au lecteur, toujours pris pour ce qu'il est: malin, intelligent, lecteur quoi.
Lire à tout prix "La Tour de Jeanne" à partir de 10 ans.
ADA, mon nouvel acronyme pour les romans qui valent le coup d'être lus et gardés au chaud sur l'étagère (comme "Ada ou l'ardeur").
Jeanne fait le boniche chez les bourgeois. Jeannot peint la Tour Eiffel juste en face. Et un paquet de cheveux les relie l'un à l'autre.
Je n'en dirais pas plus.
Au moins aussi trépidant et réjouissant que le précédent opus de Florence Medina "Charles 1943". Même cadence. Même précision. Même intégration superbement calibrée de l'aventure dans la grande histoire. Même lot d'émotions, on se marre autant qu'on grince des dents, autant qu'on essuie ses yeux.
Et surtout, Medina fait la part belle au lecteur, toujours pris pour ce qu'il est: malin, intelligent, lecteur quoi.
Lire à tout prix "La Tour de Jeanne" à partir de 10 ans.
