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Critique de umezzu
Cinq amis, trois femmes et deux hommes, se retrouvent coincés dans une île-phare, où une tempête a projeté et fracassé leur voilier. Leur sortie en mer visait à exorciser les souvenirs d'un passé commun. Ils se retrouvent dans un présent angoissant. L'attitude d'un des deux gardiens du phare est ouvertement hostile. Pas de radio en état de fonctionnent. La tempête qui dure…
Aux règlements de compte, lors de violentes disputes orales, vont succéder des événements terribles. Ce phare et les installations souterraines complexes qui l'accompagnent sont vraiment un bout du monde, ni terre, ni mer.
La montée du suspense est assez rapide et le climat franchement prenant, mais la BD a deux défauts majeurs. D'abord les personnages ne sont pas suffisamment marqués, ce qui fait qu'on peut les confondre (surtout deux jeunes filles). D'autre part les flash-back interviennent sans grand à propos, on sent qu'ils sont là pour couper l'action.
Olivier Magaton est réalisateur. On devine ce qu'il pourrait faire sur la base de son scénario : un bon petit film de série B pour amateurs d'angoisse.
Aux règlements de compte, lors de violentes disputes orales, vont succéder des événements terribles. Ce phare et les installations souterraines complexes qui l'accompagnent sont vraiment un bout du monde, ni terre, ni mer.
La montée du suspense est assez rapide et le climat franchement prenant, mais la BD a deux défauts majeurs. D'abord les personnages ne sont pas suffisamment marqués, ce qui fait qu'on peut les confondre (surtout deux jeunes filles). D'autre part les flash-back interviennent sans grand à propos, on sent qu'ils sont là pour couper l'action.
Olivier Magaton est réalisateur. On devine ce qu'il pourrait faire sur la base de son scénario : un bon petit film de série B pour amateurs d'angoisse.
