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EAN : 9798543327036
258 pages
Indépendant (25/07/2021)
4.62/5   16 notes
Résumé :
Suite au décès tragique de sa famille, un père va perdre l'intégralité de sa mémoire et, parallèlement, développer de surprenants pouvoirs. Au fil de l’intrigue, alors qu’il recouvre peu à peu ses souvenirs, il ne va pas manquer de regretter un grand nombre de ses choix…
Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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LE LIVRE :


Je le confirme : les livres autoédités peuvent avoir autant (si ce n'est plus suivant l'éditeur) de qualité qu'un livre publié par une maison d'édition !
Ori en est une nouvelle preuve ; autant vous dire tout de suite que j'ai beaucoup accroché à cette histoire, intrigue et qualité narrative.


La couverture est simple, sombre et sobre. C'est du basique pour ce genre littéraire, et ça fait son affaire.
J'ai apprécié celle de la suite de l'oeuvre, qui change très peu, tout en apportant un élément qui fait la différence (à contrario du format, regrettablement changé, mais nous reviendrons sur ces points lorsque j'aurai lu cette suite et que je publierai mon avis ^^).


Le résumé est court mais efficace. le côté pouvoirs / regrets interpelle.
Aurait-il été suffisant pour que je l'achète en librairie ? Je ne sais pas… La lecture de quelques passages aurait sûrement été indispensable. Là, mes échanges avec l'auteur et ses publications sur les réseaux sociaux m'ont convaincu (ah, l'époque moderne !).


Parlons enfin de la mise en page.
Il est vrai que je préfère les pages crème plutôt que blanches, pour le confort des yeux, mais une police d'écriture suffisamment grosse et espacée a largement compensé ce défaut.
Hormis les marges trop étroites à mon goût, l'oeuvre est soignée et tout à fait convenable.




L'HISTOIRE :


Un début de lecture tout mignon, dont on se doute qu'il s'agit du calme avant la tempête.
Puis nous entrons rapidement dans le vif du sujet. Ce n'est pas précipité, loin d'être bâclé ; c'est plutôt vite emmené pour nous plonger dans l'ambiance, ce que j'apprécie fortement (je déteste les longueurs lorsqu'elles sont inutiles à l'intrigue).
Une histoire violente, parfois gore, mais ceci n'est pas injustifiée. Cela reste psychologique et digne d'un bon thriller.


Ce monde policier me fait un peu penser à celui des States / films. La réalité est un peu différente, mais quelqu'un qui n'est pas du « milieu » devrait se projeter sans difficulté.
Sur le plan fictif, le scénario tient la route, et la gestion des personnages est satisfaisante.


Dans le quatrième chapitre, nous avons affaire à des doutes, du mystère, on se remémore les scènes passées avec un oeil différent, et c'est bien joué !
L'histoire est lancée, avec brio, car je me suis même attaché au tueur ! le fait d'être régulièrement dans sa tête nous met à sa place ; sans le cautionner, je l'ai compris (ou voulu essayer de le comprendre : compassion), et voilà le genre de protagoniste / anti-héros / antagoniste que j'adore ! Rien n'est jamais tout blanc ou noir ; à mes yeux, cette ambiguïté est indispensable pour une bonne histoire J


Il y a une scène de combat qui m'a fait penser à mon premier tome de Blackwings, c'était drôle de trouver de la concordance dans une histoire totalement différente. Idem, j'ai retrouvé un peu de mon roman avec les échanges en pensées (même si ça ressemble un peu à la série télé Moon Knight, si je devais comparer).


Il y a un côté presque surnaturel, qui ajoute beaucoup d'intérêt au texte. D'autant plus que celui-ci n'est pas abusif, et même expliqué par moment ; l'incompressible est parfois éclairci de façon rationnelle et l'impossible devient donc possible !




LA PLUME :


L'auteur révèle ses forces opposées, pouvant passer de la narration de sentiments profonds à la description de scènes violentes et sombres. Des mots parfois crus, mais qui collent bien, sans aucune exagération.
J'ai tout de suite noté le côté émotionnel de l'auteur, son grand intérêt pour la famille, la place importante qu'il porte à l'amour des êtres chers. Même si cela reste fictionnel, ce ne sont pas de simples mots mais des maux ; il parle avec son coeur, et c'est le genre de lecture que j'affectionne !


Les efforts littéraires sont visibles ; les tournures de phrases sont correctes, très peu de moments pompeux, pas de répétition de mots (la recherche de synonyme est appréciable), et pas de réelles incohérences (voir la partie consacrée aux points négatifs).


Un style plutôt simple mais franc, des moments recherchés et d'autres plus bruts.
Aucun souci avec cette plume, au contraire même, car elle me paraît sincère et aide à l'évasion, sans excès ni ennui.
En résumé, je n'ai pas éprouvé la moindre difficulté à lire ou à me plonger dans le roman.




LES + :


La majeure partie de mon avis fait, je pense (et je l'espère), éloge à ce premier tome.


Je ne rajouterai ici que quelques précisions :


- L'idée très sympathique de donner des surnoms aux personnages ;
- le jeu du chat et de la souris est super ;
- La psychologie du criminel intrigante (j'ai hoché la tête avec un petit sourire en coin lorsque, par exemple, Ori pli l'uniforme de sa victime après utilisation, puis le laisse dans le véhicule qu'il a volé) ;
- Des messages d'une grande importance, mentionnant des erreurs à ne pas commettre, nous faisant réaliser le bonheur que nous pouvons avoir, ainsi que la méfiance à porter (un bourru peut avoir le coeur sur la main, tandis qu'une personne d'apparence gentille peut manipuler…).


Je termine avec la citation d'un passage de la page 171, que j'ai trouvé grandiose et pertinent :


« Depuis quand avait-elle oublié ce que ce père de famille avait enduré ? Dès le début, se souvint-elle avec dégoût. Avant même que son mari ne soit concerné par cette horrible histoire, elle avait dénigré cet homme pour ce qu'il était devenu, oubliant ce qu'il avait pu être. Comme des milliers de personnes regardant les informations ce soir-là, elle l'avait jugé coupable et éjecté de la société à coups de savate, sans commune mesure ni possible réinsertion. Cette nouvelle vision des choses l'amena à une autre question. Qui était le véritable monstre dans ce genre d'affaires ? Un homme seul contre tous, ayant tout perdu et au bord du désespoir, ou une communauté entière d'êtres humains, prête à sacrifier sans détour et sans regret l'un des leurs, pour peu qu'il soit écarté des clous ? »




LES - :


J'ai trouvé incohérent le fait de poursuivre la narration dans un dialogue (nous pouvons ajouter quelques détails, mais pas la rependre entièrement). D'autant plus que ce dialogue (dans ce cas de figure) se poursuit avec un nouveau cadratin, alors qu'il s'agit des paroles du même personnage (sa suite directe) ! Cela est un défaut à corriger ; même si ce n'est pas si grave en soi, cela peut perturber le lecteur…


Hormis cela (et les marges trop étroites, même si ce n'est qu'un détail), je ne trouve pas de gros points négatifs. Félicitations !




AVIS GÉNÉRAL :


Le livre est assez court, j'aurais souhaité un intégral, mais il permet une approche en douceur, avec un prix et un format intéressants.
Le texte est plutôt simple, toutefois les efforts sont indéniables.
Je suis facilement rentré dans l'histoire, pour être ensuite absorbé (celui m'a valu deux ou trois nuits avec peu de sommeil tellement je voulais connaître la suite XD).
Les liens de la famille sont très forts. Alors qu'Ori peut paraître comme un véritable monstre, il y a un côté humain indéniable. Sa psyché trouble est captivante.
J'avais l'impression que l'auteur me « menait en bateau » et que la fin serait évidente. Plus je lisais, plus je me disais « je le savais », et pourtant, la révélation que j'attendais ne venait jamais ! C'est donc une réussite, voire une inspiration.
Je pense comprendre l'origine du mot / nom « Ori », mais je garde ceci pour moi (il ne faudrait pas trop vous en dévoiler !).
Le tome 2, dédicacé, m'est parvenu récemment ; je vais le lire dès que possible et vous faire part de mon avis. J'attends beaucoup de cette suite, car cette première partie m'a procuré un bon niveau de satisfaction !
Bravo !

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ORI est un surhomme, mais il n'en a pas toujours été ainsi. Un dramatique accident l'a changé tant psychologiquement que physiquement. D'homme lambda il s'est transformé en véritable machine de guerre. Parviendra-t-il à retrouver son âme ? Mike, ce père de famille et mari aimant aura-t-il un effet positif sur Ori ?

UNE TRAME ORIGINALE

L'intrigue est intéressante, même très intéressante. Dans ce premier tome, de multiples questions se posent: qu'est-il est arrivé réellement à ce père de famille qui a tout perdu, comment en est-il arrivé à acquérir ses pouvoirs, y-a-t-il un patient zéro, une entité ? Chapitre après chapitre, on l'accompagne dans son chemin semé d'embûches et comme Mike on reste dans l'expectative. Concernant le personnage de Mike, j'attends le tome 2 pour le connaître davantage. Pour l'instant je trouve qu'il reste secondaire même si son rôle est important. On connaît sa vie, ses ressentis mais on ne sait pas trop où tout cela va le mener.

Les descriptions environnementales et psychologiques sont fournies, le vocabulaire est recherché. C'est parfois violent, même très violent là où on ne s'y attend pas. J'aurai aimé que l'aspect psychologique soit plus dense, mais c'est subjectif (je suis amatrice des analyses poussées des profils criminels). Ici on entre dans les pensées des personnages, mais leurs sentiments/ressentis ne sont pas assez exploités. Par exemple quand Mike regrette certaines paroles face à Ori, même s'il se passe quelque chose, cet aspect est incohérent au regard des actes commis. L'ambivalence des sentiments est trop survolés, j'aurais aimé plus de luttes émotionnels au niveau du personnage de Mike.

UNE ÉCRITURE MI-FIGUE MI-RAISIN

A mon sens le roman est parfois trop détaillé au niveau grammatical. Certains mots auraient pu être raccourcis voire supprimés pour être plus proches de la réalité, notamment et surtout au niveau des dialogues. Par exemple, à plusieurs reprises on va avoir le mot «cela» mais dans la réalité très peu de personnes lorsqu'elles parlent oralement utilisent la forme pleine, elles vont plutôt dire «ça», et cette forme s'adapte d'ailleurs au niveau social des personnages du roman. Idem, il y avait pas mal de locutions qui surchargent le texte, supprimer certains mots et en remplacer d'autres rendrait le contexte plus réaliste et moins «formel» au niveau des discussions.

La narration se fait sous plusieurs angles, celui d'Ori, du policier en charge de l'enquête, de Mike et de sa femme, ainsi que partiellement sous l'angle de personnages plus secondaires. Ça nous permet d'avoir un point de vue large sur l'environnement émotionnel. de même, l'auteur pour éviter les répétitions et rendre les personnages plus identifiables, utilise des surnoms comme le Surhomme, le Barbare, le Cerveau. Ça les rend uniques en quelque sorte.

De façon plus générale, j'ai apprécié les critiques envers la société comme le fait que cette dernière condamne rapidement des actes sans en approfondir la raison (on ne demande pas d'accepter mais d'en rechercher la source) ou comme le fait que l'environnement d'aujourd'hui rend l'homme moins libre de ses pensées, le prive de son libre-arbitre et de sa liberté. Ori est le lâcher-prise extrême, la part caché qui sommeille en chacun de nous, on le déteste mais il est charismatique.

UNE COUVERTURE IDÉALE

Enfin, la couverture est sympa, cette larme rouge qui évoque beaucoup de choses: la tristesse, la colère, la rage. Et ce personnage en apparence «banale», au regard franc qui ne cille pas est représentatif du personnage qu'on rencontre dans le roman.

♥ En conclusion, ce premier tome de la duologie est intéressant même si la forme gagnerait en fluidité si l'écriture s'allégeait. J'ai apprécié la fin, on se pose des questions, on se demande ce qu'il advient des protagonistes mais on n'a pas encore toutes les explications. J'espère que le tome 2 apportera les réponses attendues.
Lien : https://lacueilleusedelivres..
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Bonjour,
Je vous parle aujourd'hui du roman de Michael Mejean auteur
ORI - Mémoire fragmentée - Tome 1 partie 1 & 2.
J'ai décidé de ne faire qu'une chronique pour les 2 parties, car je n'ai pas pu m'arrêter de lire cette histoire addictive, j'ai enchaîné avec le deuxième directement.
Le titre m'a intrigué, que signifie mémoire fragmentée, tout prend sens durant la lecture. Puis, les couvertures, simples et efficaces, elles reflètent bien l'évolution du personnage ORI, quand on connait l'histoire, que ce soit la/les larme(s), les yeux rouges et les volutes noires qui entourent le personnage.
C'est pour moi une belle et incroyable découverte. Une histoire très originale, atypique, qui m'a surprise dès le début. On embarque tranquillement avec la vie de rêve d'une famille parfaite, qui finit par tourner au drame, puis on se retrouve vite dans cette mémoire fragmentée, celle du tueur ORI qui est amnésique, qui tout comme pour Mike, arrive à nous retourner le cerveau.
Un thriller haletant, des meurtres sordides, de l'action, du suspens, de la violence, des supers pouvoirs, qu'Ori découvre en lui et qui va le mener à détruire tout sur son passage, par vengeance, une enquête improbable, incontrôlable ou presque, menée par le commissaire Treffert et son collègue Johnson, qui jouera un rôle différent, dans la seconde partie.
On y retrouve le panel complet des émotions et sentiments, de l'amour à la haine, en passant par la tristesse, la colère et la douleur physique et émotionnelle.
Deux parties construites par des chapitres longs mais qui sont, eux aussi, fragmentés par des sous-chapitres, ce qui fait que la lecture s'enchaine avec fluidité et addiction, on veut absolument connaitre la suite.
Les personnages, leur psychologie, leur caractère, que ce soit Mike, Ori, qui sont à la fois amis et ennemis, le commissaire Treffert et son collègue Johnson, sont tous très bien construit. Certains personnages secondaires ont une grande importance dans cette histoire, comme le Dr Patrick.
L'histoire est cohérente et nous tient en haleine du début à la fin.
Ai-je aimé Ori et détesté Mike ? Peut-être les deux.
Je ne veux pas en dire plus sur l'histoire, il faut vraiment que vous la découvriez par vous même.
Je n'ai qu'une chose à dire Michael Mejean m'a embarqué dans son histoire de folie à la limite du surnaturel, avec quelques pointes d'humour par-ci par-là, une écriture incisive et efficace.
Vraiment je vous conseille la lecture de ce thriller.
A bientôt.
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Bonjour les passionnés,

Aujourd'hui petit retour de lecture de ORI tome 1-mémoire fragmentée (1) de Michael Mejean.

La 4ème de couverture ne nous révélant que peu de choses, c'est à tâtons que nous commençons sa lecture.

le récit à peine démarré, nous faisons connaissance alternativement avec deux pères de famille, un à qui tout sourit et l'autre qui vient tragiquement de perdre sa famille dans un accident de voiture.

Très vite nous nous rendons compte de la dimension fantastique de l'histoire. L'homme dévasté de douleur se réveille amnésique, dotés de pouvoirs surhumains et en proie à une soif de vengeance incontrôlable.
Il va avec le second former une alliance presque contre nature tant les deux semblent opposés l'un à l'autre .
Vous verrez comment ce second est entraîné bien malgré lui dans un road trip, une course poursuite qui démarre sur les chapeaux de roues.

J'ai été tout de suite happée par cette aventure truffée de rebondissements et de personnages à la psychologie intéressante . Ainsi, au milieu d' un festival d'actes de violence outrée en milieu urbain , vous allez aussi adorer le commissaire, ce vieux flic, cette gueule cassée avec ses vieux démons mais toujours le devoir chevillé au corps...

Ce livre n'est donc pas un simple livre d'action. Il y a une vraie réflexion sur la vie.
Preparez-vous, dans ce dédale de noirceur et de désespoir, à ressentir de l'empathie et ... beaucoup de suspens... car les amis, vous n'êtes pas prêts !!

Pour finir je dirais que l'écriture est très visuelle. Au fur et à mesure des pages j'ai pensé à la fusillade de ok corral. J'ai aussi pensé à « Ken le survivant », surhomme s'il en est, charismatique et tueur impitoyable avec son célèbre « il ne te reste que 3 secondes à vivre, bon voyage vers l'autre monde »...
J'y ai aussi trouvé du « Sin City », profondément sombre et où le rouge met l'accent sur le sang coulant abondamment... j'ai imaginé Mickey Rourke entonner « l'enfer c'est de se lever tous les matins et te demander pourquoi t'es là! »

Bravo Michaël pour cette expérience. de tes propres mots tu y as mis tout ton coeur et l'intégralité de ta ferveur... ça se ressent indéniablement 🤩.

Bon maintenant, sachant que la seconde partie du tome 1 est déjà écrite , et bien... tu peux pas avancer sa parution ??? 😜😁😁
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————-ORI ————-
Mémoire fragmentée -1
De Michael Mejean

Très belle découverte mR Mike
Depuis le temps et toute l'impatience, j'ai enfin lu ton livre et j'en suis RAVIE !!!
le contrat est plus que rempli. Il y a de l'action, de l'amour, de la haine, de la révolte, un petit « chouïa « de violence, de désossage dans les règles de l'art, du déboitage et des crevaisons ( d'yeux uniquement)😉

L'histoire de deux familles en parallèle. La première, pas une ombre au tableau, le bonheur simple au quotidien….
La seconde connaît une fin tragique, seul survivant de l'accident, le père qui n'a plus que pour seule compagne la douleur . La souffrance sera tellement violente qu'il basculera dans une amnésie totale…
Suite à un tel traumatisme, il se réveillera doté de pouvoirs surhumains et détruira tout ce qui se trouve sur son passage…
Jusqu'au moment où, petit à petit sa mémoire va réapparaître, ses souvenirs vont remonter à la surface et le doute sur ses choix va s'imposer….

Le plus dur dans ce livre c'est de devoir patienter pour découvrir le sort qui lui est réservé dans le Tome 2. ORI me manque déjà tellement j'ai eu de l'empathie pour ce personnage…
Hâte de lire la suite….
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Profondément touché dans son orgueil, Ori laissa libre cours à sa colère et déverrouilla toutes les brides de ses capacités sciemment installées par ses soin.
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