Citations sur Les sales histoires de Félicien Moutarde, tome 2 : Deux.. (6)
[A la crèche] je déchire les pièces des puzzles pour les rendre plus compliqués. (p. 72)
D'abord, je dois me trouver un nom d'écrivain. (...)
"René Char-Dassault", ça pète bien. Un peu long. Gavalda : trop féminin. Govoldo. "BHL Govoldo", c'est la classe internationale.
p(. 50)
Mon roman commence comme ça : un beau gribouillis pour que ça séduise le public.
Puis un gribouillis incontrôlé, pour qu'on pense que je suis génialement mystérieux.
Je dessine aussi mon petit zizi, pour que les choses soient claires que je suis au courant que les cigognes sont des oiseaux et pas des facteurs.
Je ne dessine pas une zizounette de fille, sinon ma maturité va effrayer Josépha Riton [mon amoureuse].
(p. 52)
J’ai tous les défauts du monde sauf que, peut-être, je suis génial. Ça me consolerait d’avoir le génie comme seul qualité.
[En Suisse, chez mes grands-parents] la vie est tellement tranquille qu'on s'énerve, pour rester en vie.
(p. 40)
Y a des garçons, c'est des pots aux roses.
Y en a d'autres, c'est des pots aux bouses.
Moi, Félicien Moutarde, je sais où je me situe.
C'est la loose.
(p. 12)