Une nouvelle de 63 pages, réédité en 2009 dans un tout petit format par les éditions Allia.
Un homme, un peu alcoolique, très endetté, vit à la campagne et entend un chant de coq extraordinaire.
De fermes en fermes, il cherche ce coq. C'est certainement un shangaï, de la race de l'empereur de Chine.
Son chant a des pouvoirs, en particulier celui de procurer le bien être..
Publiée pour la première fois en 1853, cette nouvelle évoque le progrès et ses méfaits, la recherche du bonheur.
D'une écriture agréable, elle se lit très facilement et n'a pas vraiment vieilli.
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