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3,73

sur 339 notes
Mathieu Menegaux, j'aime beaucoup. Cet auteur maîtrise l'art des faits d'actualité aussi brûlants que dérangeants.
Dans ce dernier roman, il part disséquer les ravages d'une passion amoureuse. Même si au départ, on s'interroge. Ou veut nous emmener l'auteur ?

À Nice, un homme est retrouvé mort noyé, le crâne rasé et les extrémités des doigts brûlés. Cet homme voulait disparaître, cela ne fait aucun doute. Sans laisser d'indices ou de traces.

À Paris, une jeune femme est retrouvée morte en bas de chez elle. Suicide. Elle aussi voulait disparaître.

Peu d'indices dans ce roman puzzle où l'on suit l'enquête d'un commissaire, la carrière d'Etienne grand dirigeant et les premiers pas professionnels d'Esther. Monde carriériste, épuisement, burn out, passion amoureuse, Mathieu Menegaux est ici sur tous les plans.

Si bien que je n'ai peut-être pas réussi à être totalement convaincue par ce roman. Devoir arriver aux dernières pages pour saisir l'histoire est un exercice qui me fatigue, surtout quand l'histoire part un peu dans tous les sens. Les personnages m'ont semblé détachés de tous sentiments, de toutes émotions. L'absence de dialogue ne rend pas la tâche plus aisée.

La fin de l'histoire ne m'a pas semblé convaincante elle non plus surtout en regard des détails distillés au long des pages.

Déçue mais pas fâchée. On peut aimer un auteur mais ne pas adhérer à l'ensemble de ses oeuvres, ainsi va la vie, autant d'avis que de livres que de couleurs dans le ciel.

#Disparaitre#NetGalleyFrance
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Paris, Les Abbesses. En une seconde, la rue s'est figée. Les rires, les embrassades, les discussions ont laissé place à l'effroi, l'incompréhension, le silence. Ce hurlement de femme, que certains ont vu chuter des étages, a déchiré la nuit. Si les secours arrivent, tous ont bien compris qu'il n'y avait plus rien à faire. La capitaine Balansart, une fois sur place et la porte de l'appartement ouverte grâce au serrurier, ne peut que constater les faits. Elle s'est jetée par la fenêtre...
Saint-Jean-Cap-Ferrat. Alors qu'il effectue son footing habituel, Franck s'étonne du comportement et des aboiements de son chien. le rejoignant, il découvre, avec effroi, le corps d'un homme, nu, charrié par le va et vient des vagues. Aussitôt le maire prévenu, craignant pour la réputation de sa ville alors que la saison estivale vient tout juste de commencer, celui-ci appelle la procureure. L'affaire semble plus complexe qu'il n'y paraît. En effet, si l'homme est effectivement nu, elle constate, qu'en plus, il est totalement épilé sur tout le corps et que ses phalanges ont été brulées. le capitaine Grondin, qui vient tout juste de prendre son poste, va se trouver en charge de l'enquête...
Paris, quartiers chics. Étienne Sorbier, le directeur de la filiale française de la prestigieuse banque d'affaires Richter & Co, s'apprête, ce matin-là, à accueillir, comme chaque mois, les jeunes recrues pour leur période de formation et d'intégration. Parmi la vingtaine présente, Esther...

Quatre scènes, quatre personnages qui, de prime abord, semblent ne rien avoir en commun ... Une jeune suicidée, un noyé plus que jamais déterminé à ce que l'on ne puisse l'identifier, un directeur charismatique et une élève timide. Quels liens peuvent-ils avoir les uns avec les autres ? Même si on le devine assez rapidement, l'intérêt est bien de comprendre pourquoi ces drames et surtout de connaître les raisons qui ont pu pousser les deux premiers à vouloir disparaître, dont l'une de manière singulière. Tout en finesse, Mathieu Menegaux tisse, au fil des pages, un récit original, pour le moins intrigant et captivant et retrace, alternativement, le passé et le présent de ses personnages auxquels on s'attache rapidement. Il aborde, intelligemment, divers thèmes tels que le suicide, le burn-out, le monde impitoyable du travail ou encore l'amour.
Un roman tragique et poignant, une plume vive et entrainante, un rythme soutenu...
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Je connaissais, bien entendu, l'auteur Mathieu Menegaux de nom et de réputation mais je n'avais jamais parcouru l'un de ses livres. C'est enfin chose faite et cette immersion ne sera sans aucun doute pas la dernière tellement j'ai dévoré ce livre, « Disparaître ».

De drames, Mathieu Menegaux parvient à en faire ressortir quelque chose de « beau ». Au travers des sentiments qu'il nous fait ressentir pour ses personnages, on avance avec eux dans le récit, on tremble pour eux, on pleure pour eux.

Les chapitres alternent entre une histoire à Paris et une à Nice. Comment vont-elles se rejoindre? C'est par toute la magie de la plume de l'auteur que deux destins funestes sont étroitement liés.

A la fois poignante et dramatique, cette histoire sonne tellement vraie qu'on a l'impression qu'on pourrait la lire dans le quotidien du lendemain. Pour cette justesse, j'ai tellement apprécié la façon dont a eu l'auteur de la traiter.

Même si à certains égards, le lecteur se dit qu'il en connait déjà le dénouement, on ne peut échapper de retenir son souffle et refouler son impatience jusqu'au final tragique, efficace et en retenue.

Certainement pas ma dernière lecture de cet auteur. A suivre…
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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Le suicide d'une jeune femme à Paris et, à l'autre bout de la France, à Nice, la découverte d'un corps noyé et rendu volontairement inidentifiable… Suicide, là encore ? Accident ? Ou meurtre ? Mathieu Menegaux construit son dernier roman, “Disparaître”, comme un polar, nous donnant à voir en premier lieu les victimes avant de tisser à notre intention son faisceau de pistes et d'indices et sa trame d'explications nous permettant de comprendre - à la toute fin - les véritables raisons de ce triste gâchis.

L'écriture rapide, factuelle et dénuée d'émotions, en adéquation avec ce qu'elle raconte, confère à ce roman une redoutable efficacité. Les pages se tournent - vite, très vite, tant l'histoire est prenante -, des personnages prennent vie avec leur solitude et leur besoin d'amour, leurs ambitions et leur détresse, dans un univers hyper connecté, glaçant et glacé où l'amour, trahi, n'a plus sa place et où l'individu, fragile et isolé, au service d'une société déshumanisée, est incité à travailler et produire toujours plus, au sacrifice de tout le reste.

Dans ce roman qui observe tous les codes du polar (avec ses morts, ses flics et ses enquêtes policières) sans du tout en être un, Mathieu Menegaux brosse le tableau d'un monde profondément cruel et désenchanté où “le côté obscur du coeur des hommes”, le chagrin ou la honte qu'ils ressentent poussent inexorablement les plus lucides, les plus sensibles d'entre eux à finalement choisir de “disparaître”, laissant à jamais en suspens derrière eux le questionnement de Kierkegaard : “sommes-nous des irremplaçables ou au contraire des hommes ordinaires ?”

Un roman dur, tragique et très habile, sans concession et sans pathos, sur les désillusions de l'amour et les pièges de l'ambition et du pouvoir. Je l'ai beaucoup aimé.

[Challenge Multi-Défis 2020]
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Le début est brutal : une jeune femme s'est jetée par la fenêtre de son appartement, du sixième étage devant les passants médusés. Les uns regardent, fascinés par la brutalité de l'événement, d'autres essaient de lui porter secours, d'autres appellent pompiers, police, d'autres s'en vont discrètement… La police conclut rapidement au suicide donc pas d'enquête.

A l'autre bout du pays, du côté de Nice, le cadavre d'un homme noyé est remonté à la surface et s'est échoué, trouvé par un joggeur. Il à le crâne rasé, il est entièrement épilé, et les bouts des doigts ont été brûlés. Impossible pour la police de l'identifier, car aucunes traces d'ADN…

Pendant ce temps, on fait la connaissance d'Esther, bûcheuse acharnée qui vient de décrocher une place dans une banque qui ne recrute que des élites, bêtes à concours, issus d'écoles prestigieuses…

Le directeur Étienne, leur présente le fonctionnement de la banque (internationale) qui exige que les jeunes recrues soient corvéables à merci, de réunions en réunions, les yeux rivés sur leurs mails, peaufinant des projets sur power point qu'on leur demandera de refaire car la couleur ne plaît pas, où on a rajouté des données entre temps. La boîte sympa par excellence qui va exiger d'eux qu'ils travaillent douze ou quinze heures par jour, mangent sur un coin du bureau, y compris les week-end…

Étienne les rassure, on est attentif au risque de burn-out, ils seront pris en charge psychologiquement sir cela arrive et on les « réorientera ».

Esther est harcelée par son supérieur, et à bout de force, elle a un malaise au travail : le rapport rédigé, modifié, re-modifié, est confié à l'imprimante, en X exemplaires mais, elle ne parvient plus à attraper les feuilles pour les classer et elle s'écroule sous un déluge de feuilles. Pompiers, hôpital…

Mathieu Menegaux explique très bien les conditions de travail actuelles, le harcèlement par les supérieurs, et la culpabilité de la victime qui se sent indigne d'occuper le poste, et le burn-out, la mise au placard.

A travers la relation employé employeur, il montre aussi que tout peut déraper, qu'un grain de sable peut enrayer une machine parfaitement huilée, qu'une promotion peut passer sous le nez, même si on a eu une carrière exemplaire, et qu'à partir d'un certain âge on peut se laisser charmer pour se prouver qu'on existe encore. Mais, l'addition ne risque-t-elle pas d'être beaucoup trop lourde.

Il évoque aussi la disparition : comment on peut disparaître des radars, sans que l'on cherche à savoir pourquoi : on trouve un homme nu épilé, sans empreintes digitales : il s'est forcément suicidé donc on arrête de chercher à l'identifier, ce serait dépenser l'argent du contribuable pour rien… On ne cherche pas plus loin, ou alors sans en référer à la hiérarchie.

Ce roman est beaucoup plus profond qu'il n'y paraît, à première vue et dénonce les travers, la déshumanisation de la société actuelle. On comprend très vite qui sont les victimes, mais on n'est pas dans un polar, donc on veut surtout arriver à comprendre le pourquoi du comment.

Il est très agréable à lire, malgré la difficulté des thèmes abordés, et nous sommes tous confrontés un jour ou l'autre, à titre personnel ou dans notre entourage, par le burn-out.

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Grasset qui m'ont permis de découvrir ce roman ainsi que son auteur.

#Disparaître #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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A Paris, une jeune femme tombe par la fenêtre de son appartement. Accident, meurtre, suicide ?
Sur une plage de la Côte d'Azur, la mer rejette le corps d'un homme entièrement rasé, avec la pulpe des doigts brûlée, ce qui rend impossible toute identification au grand dam du capitaine Grondin récemment muté à Nice.
Ces deux histoires vont se rejoindre, le lecteur n'a nul besoin d'être un fin limier pour le deviner.

Mais, laissons les policiers mener leurs enquêtes et, intéressons-nous à la banque d'affaires Richter &CO, au sein de laquelle se faire une place au soleil n'est pas chose aisée. La jeune Esther Goetz, récemment embauchée en paiera le prix fort avec ses journées, ses nuits, ses week-ends entièrement voués à son job, tandis que son patron ne pense qu'aux résultats.

Ce genre de livre me laisse totalement désemparée au moment d'en rédiger la critique. Je ne sais pas vraiment qu'en dire bien qu'il ait certains atouts.
L''intrigue est prenante bien que sans réels coup de théâtre, l'écriture fluide de l'auteur en est un atout majeur, mais je n'ai ressenti aucune émotion, aucun intérêt, aucune empathie pour des personnages assez caricaturaux.
J'ai en revanche beaucoup apprécié l'analyse minutieuse que l'auteur livre du monde du travail où malheureusement trop de personnes sont confrontées au harcèlement moral menant au burnout, à la dévalorisation de soi, à la dépression.

En conclusion, j'ai lu ce roman avec plaisir, mais sans passion. Je le range dans la catégorie « vite lu, vite oublié ».
Il me semble préférable pour une première approche de l'oeuvre de Mathieu Menegaux de choisir plutôt « Je me suis tue », un texte aussi percutant qu'inoubliable.
Merci à NetGalley et aux Editions Grasset.
#Disparaître #NetGalleyFrance

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Après la defenestration d'une jeune femme dans le quartier de Montmartre, la capitaine Balansart constate que l'appartement est fermé de l'intérieur, il s'agirait donc d'un suicide. A 800 km de là, le corps d'un homme d'une cinquantaine d'années, noyé, est retrouvé sur la plage de St Jean Cap Ferrat, nu, les bouts des doigts passés à l'acide afin de faire disparaître les empreintes et c'est Antoine Mariani, capitaine assez débonnaire, flic à l'ancienne qui se charge de l'enquête.

Deux enquêtes, aux deux extrémités du territoire, et deux flics, une jeune enquêtrice et un plus âgé qui relativise, avec pas mal de recul. On suit également une jeune femme Esther, recemment embauchée dans une prestigieuse Banque d'affaires, très ambitieuse, qui s'investit jusqu'au surmenage pour rivaliser avec ses collègues. Un deuxième protagoniste, directeur de la filiale française de la même banque, mari fidèle, père d'une fille de vingt-cinq ans, bien établi dans la société.
Mathieu Menegaux, avec ses deux enquêtes qui finiront par n'en faire qu'une, explore l'âme humaine des deux flics et des deux personnages principaux, ces deux derniers étant mus, pour la jeune femme par l'ascension sociale effrénée, et l'autre directeur par le contentement de sa réussite, jusqu'au grain de sable qui va faire basculer les destins.
C'est une étude des sentiments et des pulsions humaines intéressante mais le dénouement n'est pas vraiment à la hauteur, je ne l'ai pas trouvé vraiment crédible. Néanmoins, le développement et l'analyse des êtres humains sont finement conduits.
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Je n'ai jamais été déçu par un livre de Mathieu menego et disparaître vient une fois encore confirmé mon plaisir de lire cet auteur.
Comme un dessin où l'on doit relier les points pour voir apparaître le motif ici on se retrouve avec 3 histoires . Mais les points vont se relier avec fluidité jusqu'à faire apparaître l'histoire avec netteté.
Cela commence par un drame, une jeune femme vient de se jeter d'une fenêtre et meurt sous le regard des passants à Paris.
La deuxième image n'est guère plus réjouissante puisque nous nous retrouvons dans le sud de la France où un homme est rejeté par la mer sur une plage à Saint-Jean-Cap-Ferrat. Aucun signe d'identification n'est possible, cet homme est nu, entièrement rasé et défiguré par le temps passé dans l'eau.
La troisième image est moins dramatique en soi mais n'est guère reluisante puisque l'on revient à Paris dans les quartiers riches dans l'entreprise Richter & Co dans le monde de la haute finance. Entreprise où la recherche de la performance est sans pitié.
Les histoires alternent et comme d'habitude avec cet auteur, j'ai été prise par ma lecture. J'ai relié les points et me suis interrogée sur ce monde abject de la finance, sur les raisons qu'un homme peut avoir à souhaiter disparaître de façon radicale, sur notre monde de réseaux sociaux, de communication, de l'image.
C'est aussi une histoire qui m'a touchée car j'ai aimé les personnages qui m'ont semblé vrais dans leur façon de penser, d'agir, dans leurs questionnements et failles.


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Certains livres nous interpellent dès le titre… Disparaître… Qui n'a jamais eu cette envie soudaine de tout quitter, de se perdre loin de ce qui pourrit notre vie…
Une construction traditionnelle, aurait voulu que Mathieu Menegaux parte des faits pour en arriver aux conséquences, or, il aborde les choses de manière peu conventionnelle. D'une intrigue classique, à la construction en entonnoir, l'auteur inverse la tendance. Dès le départ, on a les cadavres, dont on ne sait pas grand-chose, mais dont l'auteur détricote les écheveaux au fil des pages, pour peu à peu, mener le lecteur à leur rencontre.
On a cette sensation de deux histoires que rien ne relie, mais on comprend vite que tout va se télescoper.
Avec une plume concise, travaillée, sans être compliquée, l'auteur aborde les sujets importants, ancrés dans la réalité.
Une histoire assez banale dont nous pouvons tous être les témoins. Mais la banalité n'en demeure par moins effrayante. Effrayante de réalisme. La fragilité de l'être humain peut en faire la victime favorite d'un destin peu clément… Le choc de la chute brutale sur l'asphalte de la vie aura le même écho que le choc de ce corps que l'on découvre dès les premières pages.
L'auteur aborde en filigrane les thèmes de la reconnaissance dont chaque être humain quémande des miettes… Le matin, nous sommes au firmament et le soir, on côtoie l'enfer… Même si le burn-out est abordé, je n'ai pas trouvé que c'était la trame principale, c'est une conséquence qui va mener à la chute, mais non le catalyseur. On y décèle aussi les bribes du désastre de la routine dans la vie quotidienne, mais aussi dans le couple, qui peut être fragilisé, malgré l'amour, ce ciment censé nous unir jusqu'à la mort.
Oui la mort… Cette mort lente qui nous mène à notre destruction, parfois irréversible. L'importance du regard des autres, à travers la préservation des apparences.
Je me pose de plus en plus la question de savoir, si en voulant préserver les apparences, nous ne cherchons pas à nous fondre dans la masse, au détriment de nos valeurs et désirs les plus profonds.
Un livre rapide à lire, une lecture intéressante, si on sait lire entre les lignes.
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Paris. Une scène macabre. Une jeune femme vient de se jeter par la fenêtre.

Nice. Un cadavre est retrouvé échoué sur la plage. Noyade? Meurtre? Suicide? Ses doigts sont brûlés, il est rasé des pieds à la tête comme si on voulait qu'il disparaisse, comme s'il voulait disparaître...Qui est-il? le capitaine Grondin enquête envers et contre tous, sa hiérarchie veut bâcler l'enquête...

Parallèlement, on suit l'histoire d'Etienne, grand patron dans le monde de la finance. Un homme ''carré", sûr de lui, qui vit plus pour son métier que pour sa vie personnelle. Puis, Esther qui est analyste et qui fait ses premiers pas dans le monde de la finance. Peu sûre d'elle mais brillante, celle-ci travaille comme une forcenée.

Quel est le lien entre toutes ces personnes? Mathieu Menegaux a entremêlé ces histoires personnelles dans un roman qui se lit d'un seul souffle. le style est chirurgical, sans fioriture, la plume est incisive. On entre dans un chassé croisé de vies et de morts et on se demande où est ce que ça va nous mener. Qu'est ce qui pousse un homme ou une femme à vouloir disparaître? Est-il si facile de disparaître de nos jours? Que reste-t-il lorsqu'on disparaît? À travers ces récits, l'auteur décortique une passion, une histoire d'amour et même si c'est prévisible, ça fonctionne! (...)

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