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sur 724 notes
Derrière cette étrange couverture, qui me fait penser à celle de « La vie de Norman », l'excellente bande dessinée de Stan Silas, la femme en colère se nomme Mathilde Colignon. Agressée trois ans plus tôt par deux « hommes », elle s'est fait justice elle-même. En tant que médecin gynécologue, elle savait très bien où allait aboutir sa plainte et n'avait aucune confiance en la justice. du coup, c'est elle qui se retrouve sur le banc des accusés, risquant vingt ans de réclusion pour acte de torture et de barbarie, face à deux agresseurs transformés en victimes.

« Femmes en colère » est un roman #MeToo qui se déroule aux Assises de Rennes en juin 2020 et qui débute à la fin du procès, à l'heure des délibérations. le lecteur se retrouve en alternance dans le huis clos de la chambre des délibérations, où il assiste aux coulisses de ce procès d'assises, et dans la cellule de Mathilde qui, en attente du verdict, partage ses émotions et sa vérité.

À l'instar de « Un fils parfait », Mathieu Menegaux met en avant le combat de nombreuses femmes, impuissantes face à leurs agresseurs, et dénonce à nouveau les failles d'un système juridique français qui a tendance à se retourner contre les victimes d'abus sexuels. Au fil des pages, le lecteur découvre non seulement l'ampleur de la vengeance de Mathilde, mais également les actes immondes dont elle a été victime. À travers l'histoire de cette femme, Mathieu Menegaux invite à réfléchir sur une justice qui ne s'obtient pas uniquement dans les tribunaux, mais également dans les médias et sur les réseaux sociaux et donne surtout la parole à des femmes qui ont toutes les raisons d'être en colère tant que l'égalité n'est pas acquise.

Si vous aimez les procès, lisez également l'excellent « Article 353 du code pénal » de Tanguy Viel.
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Ce roman constitue en quelque sorte une réponse au de mon plein gré de Mathilde Forget.

Au Palais de justice de Rennes, se déroule le procès d'une femme accusée d'actes de barbarie et de torture. C'est du moins ce que le jury devra affirmer ou infirmer. Cette femme qui n'a rien d'une criminelle en série, qui exerçait le métier de gynécologue, et était appréciée autant par ses collègues que par ses patientes, a voulu se faire justice. A la suite d'un viol.

Les chapitres alternent le récit de l'accusée, qui explique comment elle en est arrivée à commettre son forfait, et le déroulé des délibérations.

Le débat est donc celui du traitement de ces affaires de viol dont le nombre est très certainement sous-estimé, tant les femmes évitent de déclarer ce crime. Et on les comprend, puisque déposer une plainte et s'en remettre à la justice est une épreuve insoutenable, avec un flou certain entre le statut de victime ou de coupable. C'est le seul cas où la victime devra prouver qu'elle n'est pas en fait la criminelle ! On passe sur l'humiliation de voir son intimité livrée en pâture sur la place publique.

Le roman est mené avec adresse, une progression dans la narration permet de découvrir peu à peu ce qui s'est passé, et le lecteur assiste au débat des jurés, et c'est l'occasion de mettre en avant les insuffisances de la justice en ce domaine, qui peut explique qu'on en arrive à se faire justice soi -même.

Court et efficace.

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Palais de justice de Rennes, 25 juin 2020. Après quatre journées de débats animés, Clément Largeron, le président de la cour d'assises de Rennes, met un terme aux débats. Chaque partie a défendu, autant que faire se peut, ses clients. du côté des parties civiles, les deux avocates sont confiantes en ce qui concerne la culpabilité de Mathilde Collignon. D'autant qu'elles sont presque sûres que le président et ses deux assesseurs feront pencher la balance en faveur de la culpabilité. Ce qui suppose alors que seuls trois jurés votent aussi pour. Une formalité selon elle. Si l'avocat général a requis une peine exemplaire, soit vingt ans, elles en espèrent quinze. Me Delannoy, l'avocat de Mathilde, déplore, quant à lui, le fait que sa cliente n'ait pas, au terme de sa déclaration, exprimé des regrets. Dans la salle de délibération où prennent place le président, ses deux assesseurs et les six jurés, chacun devra voter en son âme et conscience : Mathilde Collignon s'est-elle rendue coupable d'actes de torture et de barbarie ?
Pendant ce temps, celle-ci, dans la cellule des accusés, revient sur ce qui l'a conduite sur le banc des accusés...

Peut-on faire justice soi-même dès lors que l'on ne croit plus en la justice de notre pays ? Comment Mathilde Collignon, gynécologue de profession, divorcée et mère de deux filles, est-elle passée de l'état de victime à celle de bourreau ? C'est ce que nous révèle, dans ce court roman, Mathieu Menegaux, qui nous fait découvrir, au fil des pages, les raisons de ce procès très médiatique. Dans le post #metoo, l'auteur revient, avec force et fracas, sur un sujet sensible, à savoir la violence faite aux femmes. Il aborde, avec intelligence, tous les tenants et aboutissants d'un procès qui mènent au verdict et donne la parole aussi bien à Mathilde, aujourd'hui sur le banc des accusés, qu'aux personnes dans la salle de délibération. L'on assiste, ainsi, aux réflexions, au débat, au vote de chacun, tandis que l'on découvre, atterré, les raisons du geste dit barbare de la jeune femme. Un roman haletant, captivant, intelligemment construit, instructif mais aussi poignant qui met en lumière nombre de problèmes sociétaux. Un dénouement en joli pied-de-nez...
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J'apprécie en général la plupart des romans lus de Mathieu Menegaux. Pour ce dernier opus, je suis sceptique.

Les passionnés de tribunaux, cour d'assise, jury et tout le ramdam en coulisse d'une délibération vont être servis ici. Car en somme c'est l'autopsie clinique exemplaire de ce qui se joue quand vous attendez un verdict de condamnation.
Sur Mathilde, on en apprend très peu. Elle aime le sexe et l'assume et est mal tombée un soir. La mère de famille s'est vengée. Son récit qui m'a de loin bien plus passionnée que ces sempiternelles délibérations est bien peu fourni. L'auteur a clairement voulu mettre l'accent sur cette sale de jury. Il y a bon nombre de descriptions sur l'architecture et le décor alentour et très peu de fond dans ce texte. L'empathie et l'émotion m'ont également manqué. Ça glisse avec un twist final un peu facile sur le viol de beaucoup de femmes. C'est du vu et revu. Dans un style bien trop factuel pour moi. Rien de neuf ici pour m'ébahir et m'émouvoir.
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20 ans de réclusion, c'est la peine requise par le Procureur de la République aux Assises de Rennes en ce beau jour de juin 2020. Mathilde, agressée trois ans plus tôt par deux hommes, est l'accusée, les deux hommes en question sont sur le banc des parties civiles en tant que victimes. le monde à l'envers ? C'est le noeud du problème : Mathilde, par ailleurs mère et médecin bien sous tous rapports, s'est fait justice elle-même, convaincue que ni la police ni la machine judiciaire ne feraient leur travail.

L'heure du délibéré a sonné, et pendant que les jurés se retirent à huis clos pour décider de la culpabilité ou non et de la peine éventuelle, Mathilde se morfond dans une cellule du Palais de justice. Pour tromper l'attente et son angoisse, elle couche son ressenti sur le papier. Dans la salle du délibéré, un jury composé de trois magistrats et six jurés non professionnels tirés au sort (quatre hommes et cinq femmes) entament les débats. Mathilde a reconnu les faits, certes, encore faut-il qualifier ceux-ci, s'accorder sur leur nature, et déterminer la peine qui leur correspond. Juger en âme et conscience, selon son intime conviction, sur base des faits et rien que des faits, en faisant abstraction de l'émotion planétaire suscitée par cette affaire sur-médiatisée qui a déchaîné les passions et les réseaux sociaux, la mission est délicate et ne laissera personne indemne.

Dans la foulée du mouvement #metoo, ce roman développe toute la gamme des points de vue, des plus tranchés aux plus nuancés, montre les luttes d'influences au sein du jury, la pression médiatique et les réputations à perdre ou à gagner pour les professionnels de la justice, la difficulté de séparer l'affect et le factuel, oppose les émotions individuelles à la froideur du Code pénal. Faut-il préserver le droit et la morale et infliger une peine exemplaire ? Ou faut-il laisser parler la compassion au risque de valider la vengeance personnelle et la loi du talion et donc d'entériner l'échec de l'institution judiciaire ? Mais surtout : pourquoi en est-on encore là ? Pourquoi la voix des femmes victimes de violences n'est-elle pas davantage écoutée ? Pourquoi est-il si compliqué pour une femme d'affirmer qu'elle aime le sexe ? Pourquoi certains hommes ne comprennent-ils pas que "non, c'est non" et pas autre chose ? Pourquoi la liberté et la peur sont-elles si mal réparties entre hommes et femmes ?

Le déroulement du délibéré est expliqué de façon limpide, le suspense est savamment distillé, le texte se lit d'une traite et le twist final m'a fait sourire. Mais malgré la libération progressive de la parole et des corps, ce roman montre que l'égalité n'est pas acquise, et que les femmes n'ont pas fini d'être en colère.

En partenariat avec les Editions Grasset via Netgalley.
#Femmesencolère #NetGalleyFrance
Lien : https://voyagesaufildespages..
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Enfin un thriller psychologique avec une dimension sociale pertinente. En raconter un peu serait en dire trop! Ce livre est une pépite.
Les chiffres sont édifiants...
Je souhaite de tout coeur que les associations, les romans, les reportages donnent du courage aux victimes afin qu'elles parlent et que notre justice fasse son travail de façon juste!
Nous nous sommes battues pour obtenir beaucoup de choses qui nous semblent évidentes aujourd'hui, nous avons encore beaucoup de chemin à faire pour enrayer les violences que beaucoup trop de femmes subissent.
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Juin 2020, cour d'assises de Rennes, Mathilde Colignon, médecin gynécologue, divorcée, mère de deux petites filles, est en attente du verdict de son jugement. Elle est accusée d'acte de torture et de barbarie ayant entraîné une mutilation et une invalidité permanente. Une femme qui ose mener sa vie sexuelle comme elle l'entend qui aime les rencontres éphémères est forcément une salope et elle ne mérite que ce qui lui arrive. L'avocat général souhaite faire un exemple, vingt ans ! La réquisition a sonné comme une condamnation.

À travers l'histoire de cette femme qui a préféré se venger elle-même de son agression plutôt que de faire confiance à la police et à la justice, le récit de Mathieu Menegaux nous plonge dans les arcanes d'un délibéré d'un procès d'assises. Après avoir tracé le portrait de chaque juré, l'auteur, avec une écriture précise et fluide, nous invite à suivre l'intégralité de leurs délibérations. Si parfois les interventions de l'un ou de l'autre d'entre eux semblent excessives, Mathieu Menegaux a le mérite de nous explique en détail le fonctionnement de ce jury. Nous suivons pas à pas leurs réflexions, leurs questions, leurs doutes, jusqu'à un double coup de théâtre final qui emporte le lecteur.

Le lecteur se retrouve en alternance dans la cellule des accusés où Mathilde couche sur le papier ses émotions et la salle des délibérés où chacun réagit avec son intime conviction. Un roman fort, révélateur de notre société post #MeToo et de la parole enfin libérée de toutes les femmes violentées. Mathieu Menegaux aborde aussi la pression exercée par les réseaux sociaux où chacun est persuadé de détenir la vérité, une opinion tranchée, incontestable, irréfutable.

Un sujet très original pour roman qui peut se lire comme un documentaire sur l'institution judiciaire et apporte un éclairage salutaire sur les luttes d'influence au sein d'un jury d'assises. Un livre dont la lecture ne peut que mettre mal à l'aise un homme, il y a encore tant à faire pour cette égalité homme-femme qui n'est encore aujourd'hui qu'une façade.

Merci aux éditions Grasset pour leur confiance #femmesencolere #netgalleyfrance

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A la suite du long réquisitoire de l'avocat général qui se termine, après un long silence savamment entretenu (une aposiopèse) sur une demande de vingt ans de prison. L'accusée, Mathilde Collignon, se rend compte qu'elle avait sous-estimé son acte. On ne sait pas de quoi, il s'agit, car le livre commence sur ce réquisitoire.

Ensuite, le jury est appelé à se retirer pour délibérer sous la houlette du juge Largeron qui, entre parenthèses s'est rué sur le dossier pour faire un coup d'éclat. Nous aurons accès aux délibérations et en apprendre plus sur ce qu'a fait Mathilde.

Elle est gynécologue en milieu hospitalier, divorcée, mère de deux enfants et, ô scandale, elle aime le sexe via un site de rencontre sur une application. Un jour, elle se rend chez l'un des hommes avec lequel elle a pris rendez-vous, et va se faire violer par lui et son copain avec toute la violence qu'on peut imaginer, viol sodomie coups…

Elle a le courage de s'enfuir et sous l'effet du traumatisme, décide de ne pas aller raconter ce viol à la police, car elle n'a pas envie d'entrer dans certains détails, et sait par expérience (des patientes lui en ont parlé) que la bienveillance n'est pas toujours au rendez-vous et qu'au procès, si procès il y a les violeurs disent toujours que la victime était consentante. Elle va mûrir sa vengeance…

Mathieu Menegaux explore tous les tenants et aboutissants, les violeurs qui se présentent en victimes, les juges ou jurés qui pensent qu'elle a inventé le viol, pour s'en prendre aux hommes (me-too à l'envers), la notion de consentements, le fait de ne pas se faire justice soi-même. En tout cas, je vous laisse découvrir la manière dont Mathilde s'est vengée et ce qui en a découlé, avec une mise en accusation pour « torture et acte de barbarie ». c'est étrange, quand même de constater que le viol n'est pas considéré comme un acte de barbarie, alors qu'il a été largement utilisé pendant la guerre dans l'Ex-Yougoslavie par exemple pour réduire les femmes au silence et les briser à jamais…

Les échanges entre les jurées femmes et les hommes sont à la limite du supportable, tout comme le fait que ce sont des hommes qui ont mené l'enquête, mis en examen, emprisonné… Sans oublier que nous sommes à l'heure et l'ère des réseaux sociaux avec des échanges musclés des me-too balance ton porc d'un côté et les intégristes de la condition masculine de l'autre. Et cela a forcément des répercussions sur la réflexion du jury.

Ce roman fait donc réfléchir, on ne sait pas ce qu'on aurait pu faire, à la place de Mathilde, les trucider ou faire confiance à la justice ? Je suis passée par différents stades, la colère, l'empathie limitée à l'égard de Mathilde qui ne montre aucun regret ou remords, l'envie de frapper les deux hommes du jury : une femme dit aimer le sexe est forcément une folle dépravée, qui a bien mérité ce qui lui est arrivé (on est en 2021, il me semble, ou alors c'est ma mémoire qui me joue des tours ?) alors que dix minutes avant, les mêmes affirmaient qu'elle avait inventé le viol…

Moralité de l'histoire : comment gérer l'intime conviction ? Et juger en toute impartialité ?

C'est ma deuxième incursion dans l'univers de Mathieu Menegaux dont j'avais plutôt apprécié « Disparaître » et j'ai beaucoup aimé ce livre avec des rebondissements, une évolution des jurés (certains du moins !) au cours des délibérés avec un juge dont les certitudes vont être chahutées.

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Grasset qui m'ont permis de découvrir ce livre et de retrouver son auteur.

#Femmesencolère #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Inutile d'écrire un long commentaire, je suppose que tout a été dit déjà mais quand même …
Je suis bluffée une fois de plus par une telle maîtrise du sujet par l'auteur dont j'ai lu avec bonheur plusieurs ouvrages .

Ce récit haletant , très documenté , à l'écriture précise , ciselée, prend littéralement aux tripes ! .

Cour D'ASSISES DE RENNES : salle des pas perdus et salle des délibérés , cellule des accusés où Mathilde Colignon, attend la fin des délibérations ….
Neuf hommes et Femmes doivent choisir entre pardon et punition, ils tiennent son sort entre leurs mains .
La construction passionnante ,jurés et magistrats ,leurs comportements , sentiments sont détaillés au plus près , les points de vue , la psychologie de chaque partie en présence est fouillée, analysée avec soin, rigueur et fougue , approfondie avec autant de minutie .

Prévenus, clients , avocats, magistrats , journalistes , témoins , experts , greffiers , gardes vont , viennent , se croisent dans la salle des pas perdus .
Le lecteur peu familier avec les arcanes de l'espace judiciaire apprend beaucoup ….

Au sein de la salle des délibérés le lecteur qui doit ajuster sa concentration lorsque les règles du droit pénal sont détaillées a vraiment l'impression tenace de se sentir impliqué , au coeur du procès .

Les réflexions de la cour et des jurés , la personnalité du président, parfois tranchée , sont explicitées avec soin.

Et comme au théâtre tout se joue en quelques heures …

L'argumentaire est juste comme il faut , les mots superbement choisis , au scalpel.

Un livre marquant, remarquable , qui fait réfléchir , au coeur des questions de société contemporaine, tout en tension que l'on va garder longtemps en-soi .
Il pose des questions douloureuses à propos du terrible dilemne de la condition de la femme violentée , de la vengeance et du statut de victime. ….

Il faut de l'audace et un certain courage à certains jurés pour affirmer leurs choix .
Le rapport hommes / femmes traditionnel peut - il s'inverser ? .
Un excellent roman qui nous apprend beaucoup .
Merci à mon libraire , il m'avait échappé à sa sortie en mars 2021.
Superbe !
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Je suis bluffée une fois de plus par Mathieu Ménégaux. Ce roman nous explique le déroulement d'un procès en cour d'assises. j'y ai appris un tas de choses. Au-delà de la technique, de la loi, il y a beaucoup d'émotions et de colères.
J'ai trouvé la construction de ce livre tout à fait passionnante, il y a un savant mélange de descriptions du fonctionnement au tribunal et des ressentis des jurés mais aussi de Mathilde Collignon accusée d'un crime barbare sur deux hommes suite à un viol.
On a vraiment l'impression d'assister au débat et d'être dans la salle des délibérés, ce qui soit dit en passant, m'aurait bien plu pour ce genre de procès.
Je trouve qu'une fois de plus Mathieu Ménégaux est fin dans ses analyses, j'adhère complètement à son écriture, son style. La fin est tout simplement parfaite...
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