![]() |
Un livre qui parle d'un sujet très sensible : la pédophilie. le sujet a été très bien traité. Ce n'est pas un thème que je relirais. |
![]() |
Un livre qui parle d'un sujet très sensible : la pédophilie. le sujet a été très bien traité. Ce n'est pas un thème que je relirais. |
![]() | ladesiderienne 28 janvier 2013
"On le voudrait ignoble, atteint d'une tare quelconque, épouvantable peut-être. mais les stéréotypes qui rassurent volent en éclats. Il est sociable, c'est-à-dire normalement intégré, jouissant d'une situation professionnelle tout à fait honorable. Il est honnête et serviable, estimé et aimé... c'est un homme de quarante ans, marié, père de deux enfants dont un bébé de dix-huit mois. Il s'est rendu coupable, sans même être conscient de la gravité de ses actes, du viol d'une fillette de neuf ans."
+ Lire la suite |
![]() | ladesiderienne 28 janvier 2013
"J'ai enlevé des fillettes pour mes propres besoins, mais aussi pour le compte d'autres personnes, pour les revendre en Allemagne, pour la prostitution. Là-bas , à partir de neuf ans, une petite fille peut se négocier, se vendre comme prostituée. En France aussi, d'ailleurs. Chez nous, une passe, avec une gamine de dix ans, vaut dans les deux mille francs, cela dépend de la beauté de la gamine et de son état. Mais il existe aussi des parents qui, sans vouloir vendre leur fille, sont prêts à la louer contre cinq cents francs. Ce genre de pratique se développe avec le chômage." La confession de l'inconnu, indécente, nous est parvenue anonymement par la poste. Sans cette lettre, il n'y aurait pas eu ce livre. + Lire la suite |
![]() | pit31 27 août 2020
"J'ai enlevé des fillettes pour mes propres besoins, mais aussi pour le compte d'autres personnes, pour les revendre en Allemagne, pour la prostitution. Là-bas , à partir de neuf ans, une petite fille peut se négocier, se vendre comme prostituée. En France aussi, d'ailleurs. Chez nous, une passe, avec une gamine de dix ans, vaut dans les deux mille francs, cela dépend de la beauté de la gamine et de son état. Mais il existe aussi des parents qui, sans vouloir vendre leur fille, sont prêts à la louer contre cinq cents francs. Ce genre de pratique se développe avec le chômage." La confession de l'inconnu, indécente, nous est parvenue anonymement par la poste. Sans cette lettre, il n'y aurait pas eu ce livre. + Lire la suite |
Françoise Sagan : "Le miroir ***"