Dans vos petites poches

Dans ce court roman jeunesse de Yann Mens, nous suivons une jeune fille victime de trafic d'être humain, contrainte de voler dans le métro pour rembourser la dette contractée par ses parents. Prise dans un engrenage de violences et de compétitivité pour monter les échelons du gang, elle n'ose pas saisir les mains tendues.

Ce livre ne fait même pas 50 pages mais il ouvre la discussion sur l'exploitation des enfants. Très bon dans le ton et dans la mise en contexte, c'est un petit roman coup de poing qui se lit d'une traite.

Un récit ultracourt, pour quelques stations de metro on embarque avec une petite voleuse. Ce texte est poignant, cela explique le contexte dans lequel se retrouvent les gamines forcées au vol à la tire (à Paris mais aussi dans les autres capitales). le point de vue est celui de la jeune fille. Assez ambitieux et bien vu d'être dans sa tête. Assez déprimant par son réalisme.

j ai pas très bien aimé parce que y avait des choses que je n aimé pas

Une jeune fille roumaine travaille en bande avec d'autres filles pour délester les touristes et autres usagers du métro parisien de leur portefeuille ou téléphone portable. Une fois de plus, elle se fait prendre, mais cette fois-ci, c'est un peu différent car le policier est un nouveau. Elle, elle vole vite et bien, et elle rêve d'être chef de bande pour rembourser le chef qui a payé sa dot à ses parents. Elle voudrait le rembourser pour pouvoir vivre bien et retourner voir ses parents.

Une histoire qui met le lecteur dans la tête d'une adolescente roumaine, obligée de voler, et qui rêve d'une vie meilleure. Sont abordés avec finesse les thèmes de l'immigration, du vol, des marchés sordides et mensongers conclus avec les parents, du rêve d'une vie meilleure. Une histoire qui fera à coup sûr réfléchir le lecteur sur les préjugés vis-à-vis des étrangers.
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Un problème sans solution. Voilà le sujet de ce roman. du moins, personne ne semble n'en avoir trouvé à ce jour. de quoi s'agit-il ? de ces bandes de jeunes filles Roms qui détroussent les voyageurs dans le métro, principalement les touristes. Elles quittent leur famille en Roumanie contre promesse de mariage, après versement d'une dot. En fait « achetées » pour devenir voleuses. Arrêtées parfois, aussitôt libérées… Un jeu du chat et de la souris sans cesse recommencé.
L'auteur, Yann Mens, a choisi de raconter à la première personne : c'est une jeune fille qui parle. Ce parti-pris rend le récit d'autant plus fort. Elle raconte son quotidien et ses espoirs : devenir chef de bande et peut-être un jour cambrioleuse…
Une immersion sans concession, sans pathos ni empathie, dans cet univers d'enfances volées et de délinquance quotidienne. Juste un constat, qui touchera les jeunes lecteurs.

Un groupe de filles roumaines pickpocket volent des personnes dans le métro parisien. Elles doivent donner leur butin à leur chef sinon celui-ci les tape. Mais des policiers les traquent...

Je n'ai pas trop aimé car le sujet ne m'a pas intéressé.

J'ai adoré la solidarité qu'il y a entre les voleuses.

Ce sont des jeunes filles roumaines dans le métro parisien. Les voyageurs sont tout serrés, c'est plus facile pour les voler. Elles glissent leurs mains dans les sacs et les poches. Mais la police surveille...

L'histoire de cette jeune fille m'a touchée.

C'est l'histoire de jeunes adolescentes qui sont forcées de voler dans le métro.
Nous avons apprecié ce livre, son histoire est triste et trop courte. Quel dommage!

Les parents d'une jeune fille Roumaine vont la confier a des personnes qui leurs font croire qu'arrivée en France elle va se marier. Mais parvenue à destination , elle va se retrouvée dans les couloirs du métro à devoir voler afin de pouvoir manger. Elle en a assez de faire cela toute la journée et de se faire arrêter par la police ....

Cette histoire parle de voleurs dans le métro de Paris : ce sont des roms qui volent dans les poches des touristes. Un jour, un policier d'origine laotienne inconnu d'elles, attrape la main de la narratrice en train de voler...

J'ai bien aimé car ça ressemble à un roman policier, et on voit qu'il n'y a pas que les garçons qui volent !