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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Jeudi Noir de Michaël Mention est un livre court: 180 pages découpées en 5 parties et 18 chapitres.
Mais...première interrogation pour moi: comment le définir? Sur la couverture, on lit « France-RFA 82 : un match, une victime, une vengeance » mais ce n'est pas un polar! Ce n'est pas un récit non plus, cela ressemble à un fait réel romancé- en l'occurrence la fameuse demi-finale France-Allemagne de la coupe du monde 82 de football - mais c'est loin de n'être que cela. Un roman noir sans réellement l'être ?
Bref, j'en arrive à une première conclusion simple: ce livre est inclassable.

Fan de football, je n'ai pas vu en direct le match (j'étais trop jeune) mais je connais quasi par coeur cet événement que j'ai eu l'occasion de voir et revoir. Donc j'ai apprécié dans l'ensemble le livre. le travail de documentation fait par l'auteur est immense et son récit est cohérent. Il précise souvent ce qui est réel de ce qui est issu de son imagination. Il se lit facilement, est rythmé voire très rythmé par la fin (phrases courtes et percutantes). Les thèmes du polar sont usités par l'auteur avec réussite.
Malheureusement, à la fin, c'est toujours la RFA qui gagne... ce qui rend le roman plausible et réel! Bon point pour l'auteur.

Le style est souvent percutant comme je le disais précédemment et c'est une belle réussite de l'auteur. Narrer une histoire que beaucoup de français connaissent sans ennuyer le lecteur ni faire une simple paraphrase si je puis dire de l'événement. Cela me rappelle un peu Constellation par moment: une histoire vraie et joliment romancée. Bon point pour l'auteur.

Le choix - la narration d'un joueur fictif tout au long du match - est également une intelligente et formidable trouvaille. A travers ses sentiments, son ressenti, on est dans le match, on vit au milieu des années 1980 avec ses événements politiques, sociétaux ou musicaux. Il est d'ailleurs à noter que chaque début de chapitre possède une citation d'une chanson de l'époque. Bien trouvé encore une fois. Quelques dérapages écrits (haine, racisme, violence…) sont aussi là selon l'auteur pour les dénoncer. Cela sonne réel et donne donc au narrateur une personnalité bien tranchée.

De même, au travers du football, l'auteur évoque la politique et les soucis du moment. Il est relativement neutre dans ses commentaires et ces derniers sont dans l'ensemble appréciables. L'auteur passe pas mal de petits messages au travers des chapitres. Est-ce là l'objectif de ce livre? Peut-être...
Un message de conclusion très dans l'air du temps remplit le début de la dernière page: "L'important n'est pas d'être français, mais de s'accepter comme tel. S'accepter pour mieux accepter l'autre, qu'il soit allemand, malien ou je ne sais quoi. En finir avec ces barrières inutiles que sont le racisme, les religions, l'exclusion. Noirs, Blancs, catholiques, musulmans, juifs, hétéros, homos… on est pareils. Tous mortels. Alors, qu'on arrête nos conneries et qu'on profite de la vie, ensemble. " Je ne peux qu'adhérer à ces sages paroles.

En conclusion, je dirai que je suis mitigé. J'ai apprécié le roman mais je n'ai pas été pour autant emballé. Certainement que cette incapacité à classer le livre (mi fiction, mi essai, mi roman avec les codes du polar) m'a perturbé.
Il en reste pas moins que Jeudi noir est un roman que je ne regrette pas d'avoir lu et avec lequel j'ai passé un moment agréable.

3/5
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Que les choses soient claires : je n'aime pas le foot ! Oui, je sais que j'ai déjà eu maintes occasions de le dire ; faut croire que je ne me lasse pas de le revendiquer. Alors pourquoi irai-je perdre mon temps à lire un bouquin qui parle presque exclusivement de foot ?

Même sans être un adepte du ballon rond j'aime me tenir au courant des principaux résultats, notamment quand il s'agit de la Coupe du Monde. Sans pousser le vice jusqu'à suivre tous les matchs je fais en sorte de récupérer les scores (éventuellement les résumés si un score m'interpelle) sur Internet.

Seconde raison, et non des moindres, ce jeudi 8 juillet 1982 j'étais devant la TV pour suivre cette rencontre historique (c'était quand même la première fois que la France arrivait en demi-finale). Pour être tout à fait franc c'est le genre de rencontre où mon coeur balance entre chauvinisme pour mon pays et attrait pour l'équipe adverse. Et oui j'ai toujours, et aujourd'hui encore, apprécié le jeu et la technique de la Mannschaft.

L'auteur nous propose quasiment une reconstitution minute par minute de cette rencontre historique. Pour nous plonger au coeur de l'action il nous place dans la peau d'un joueur fictif de l'Equipe de France ; pas un joueur qui prend la place d'un de ceux qui étaient sur le terrain ce jour-là mais une sorte de douzième homme. Un joueur qui n'influencera en rien le déroulé du match mais qui analyse son déroulement et livre ses pensées.

On a tendance à ne retenir de cette rencontre que le KO de Patrick Battiston, percuté volontairement et de front par Harald Schumacher, le goal allemand ; et surtout l'absence totale de sanction contre la RFA. Mais dès les premières minutes la tension entre les deux équipes était palpable, les allemands ayant de suite opté pour un contact physique musclé.

Il n'en reste pas moins que c'est ce dérapage de Schumacher qui fera dégénérer les choses, ravivant les blessures du passé et les haines de la seconde guerre mondiale… L'auteur expose très habilement cette montée en puissance de la tension aussi bien sur le terrain que dans les gradins (les supporters espagnols soutenaient jusqu'alors la RFA, ils ont pris fait et cause pour la France après la sortie de Battiston).

Pour la petite histoire ce fut la première fois qu'un match de Coupe du Monde ira jusqu'aux tirs au but ; avec le résultat que l'on connait et la qualification de la RFA. Est-ce que les choses auraient été différentes sans l'agression de Schumacher ? Honnêtement je n'en suis pas convaincu, mais je laisse à chacun le soin de forger sa propre opinion.

J'ai dit que l'auteur parlait presque exclusivement de foot, mais par le biais de son joueur imaginaire, il porte aussi un regard critique à la fois sociétal, sociologique et politique sur la société française. On peut adhérer ou non, perso je ne suis pas un nostalgique de l'expérience Mitterandiste (qu'il ne cautionne pas systématiquement je précise).

J'ai lu par curiosité, je n'ai pas forcément été emballé mais pas déçu non plus. Je ne sais pas vraiment à quoi je m'attendais en ouvrant ce livre, le compromis entre fiction et essai m'est apparu comme un bon choix de la part de l'auteur. Une chose est sure, il est indéniable qu'il a dû sacrément se documenter sur le sujet pour nous offrir un récit aussi complet.
Lien : https://amnezik666.wordpress..
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Lorsque j'ai acheté ce roman, l'auteur m'a dit qu'il avait écrit ce livre pour les personnes qui n'aiment pas le foot et qu'ils espéraient qu'ils avaient réussi son challenge. Pour tout vous avouer, je n'aime pas le foot . Pour moi c'est un sport de mecs surpayés pour courir après un ballon, des supporters qui une fois éméchés se tapent dessus, s'insultent (d'ailleurs pour certains ils n'ont pas besoins d'alcool), c'est un sport de magouille avec le fric (affaire Tapie, l'histoire de la Fifa dernièrement). C'est des stades qui tuent des gens (Furiani ...) Bref, mes références ne sont pas vraiment flatteuses pour ce sport. Même 98, alors que pour suivre mes amis je me suis engouffrées dans un métro qui tout en avançant faisaient des bonds !! du jamais vu ! Une ambiance de folie qui se termine avec un drame ..(bon ok celui-ci n'a rien avoir avec le sport, je vous l'accorde)

Alors voila vous avez un peu mon point de vu sur le fond du roman. Je suis donc le cobaye idéale ! Et le fameux match dont il parle m'est totalement inconnu.

Je commence donc ma lecture (avec quelques appréhensions tout de même, il faut bien l'avouer). Michaël Mention a réussi a écrire bien plus qu'un livre sur une rencontre de 82 mais il a donné l' ambiance d'un roman noir avec cet étau qui se ressert sur son personnage principal. On ressent ses doutes, une sorte de machination qui va le faire douter des siens et le pousser à les "éliminer" un par un. A bout de force on termine cette lecture à bout de souffle nous aussi !

Je me suis emmêlée les pinceaux au départ avec tous les noms qui ne me sont pas familiers du tout et puis l'arbitre Corver et le corner j'avoue j'ai eu du mal (mais là c'est pas de chance pour moi ! L'auteur ne peut pas changer le nom des acteurs d'un match mais avouer qu'il y a de quoi confondre)

J'ai aimé être transporté au delà du stade ! Qu'on me ramène dans les débuts des années 80, dans un climat entre l'Allemagne et la France qui ne m'avait pas interpellé à l'époque (trop petite mais plus grande que l'auteur tout de même !). Découvrir deux ou trois petites choses : comme l'absence de nom sur les maillots, savoir que le premier joueur noir de l'équipe de France a été sélectionné en 1931 (bien avant l'Angleterre 78 et USA 48) ..Bref pouvoir maintenant se faire passer pour une fille qui s'y connait alors que je ne sais pas la différence entre ailier et attaquant.

Michaël Mention a un monde bien à lui et il est très agréable de le rejoindre le temps d'un livre ! J'ai découvert un fait qui a bouleversé bon nombre de footeux (qui ne se retrouveront peut-être pas dans ce roman finalement !) avec plaisir. Mais je dois avouer que j'ai une préférence pour la Carnaval des hyènes surement parce que le thème me touche plus que le foot. Donc a t'il réussi son pari ? Je dirai que oui vu que je n'aime toujours pas le foot mais j'ai lu tout un match avec entrain !

Lien : http://lesciblesdunelectrice..
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82, Patrick Dewaere se foutait en l'air, Blade runner sortait au ciné et la France se faisait sortir contre l'Allemagne en demi du mondial en Espagne!
Moi j'avais 7 piges , les cols roulés en lycra aux couleurs improbables et les cagoules en laine faisaient encore Fuhrer!
Et en cette période d'EURO 2016 , quoi de plus normal que de lire un roman sur le football, cumulant ainsi mes 2 passions!
Bon tout le monde à vu ou entendu parler de ce match dantesque de 1982 et en connait l'issue, alors quel intérêt de lire un bouquin qui relate cet événement me direz vous?
c'est un peu comme si vous connaissiez l'identité de Kaiser Soze avant d'avoir vu Usual Suspect ou qu'on vous disait que le grand blond avec une chaussure noire c'est Pierre Richard, ouais non mauvais exemple là!

c'est donc perplexe que j'ai ouvert "Jeudi noir" de @Michael Mention, perplexe mais pas inquiet car la renommé de l'auteur n'est plus à faire avec une dizaine de roman à son actif, autant dire que malgré son jeune age (enfin tout est relatif!), son contrat pro il l'a signé y'a un pti moment!

l'auteur ne se contente pas de nous raconter ce match comme un spectateur lambda, le narrateur est sur le terrain , au coeur de l'équipe! du coup je peux vous assurez que l'on vit le truc intensément, on y est , on court , on tacle , on pleure...c'est bien simple à la fin de ma lecture j'ai été obligé moi aussi de prendre une douche!
alors oui ça parle de foot , mais pas que. A travers les états d'âme du narrateur, on en apprend un peu plus sur le contexte politique de l'époque, sur les relations franco allemande et on comprends pourquoi ce match d'anthologie à marqué le monde du football mais aussi pourquoi il est rentré dans l'histoire.
Il y a aussi pas mal d'anecdotes sur les joueurs des deux camps , l'auteur s'étant pas mal documenté sur le sujet!
C'est donc en homme comblé que j 'ai refermé ce bouquin!
alors si vous en avez marre de mater du foot à la téloche avec des matchs insipides, pensez au foot sur papier, là vous allez vibrer , transpirer, détester les teutons!
en fait si vous avez envie de passer un bon moment avec un bon roman, n'hésitez pas!
pour ma part ça ne sera pas le dernier @michael mention que je lirais!
Alors merci monsieur Mention pour ce souvenir douloureux foutrement bien raconté !
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J'avais adoré « Sale temps pour le pays » du même Michaël Mention. La suite de ce crachin britannique à faire vomir l'estomac le plus coriace, « Adieu demain », est toujours dans ma PAL. J'y viendrai un jour.

En attendant, ce « Jeudi noir » m'attirait, comme il a attiré Michaël Mention, quand bien même je n'ai pas vécu en direct, comme Michaël Mention d'ailleurs, le drame national de ce France-RFA de 1982 qui s'est joué un jeudi soir de juillet, en Espagne. C'était pendant la coupe du monde de football. C'était en demi-finale. C'était la période de gloire des Giresse, Platini, Battiston, Amoros, Trésor, Tigana, j'en passe et des meilleurs. C'était un match de légende (en tout cas pour le football français) qui s'est soldé par une défaite française au bout de la nuit, au bout des tirs aux buts. C'était surtout le match de la tentative d'attentat d'Harald Schumacher, le goal allemand, sur Patrick Battiston.

Michaël Mention a visionné ce match récemment et son petit coeur tendre d'écrivain de polars et de romans noirs y a trouvé, à juste titre, tout ce qui fait, ben, un roman noir, justement.

Michaël Mention entraîne le lecteur directement sur le terrain pour vivre au plus près la montée de la tension dramatique. Il le fait autour de deux moments : d'une part la desription des actions de jeu et d'autre part les élucubrations et pensées du joueur qu'il nous fait incarner.

Autant le dire tout de suite, la description des actions de jeu ne sont pas les meilleurs moments du livre. Celui-ci gagne ses galons de roman plus que réussi dans le rendu des pensées du joueur qui traverse des émotions et des sentiments qui vont de la folie meurtrière au soupçon de ses propres partenaires en passant par un transfert complet de ses doutes et de sa frustration sur l'adversaire, la convocation des deux guerres mondiales, de 1870 et de Napoléon…

Encore une fois, Michaël Mention réussit à rendre compte de toute la tension dramatique de ce match sans que l'on sache très bien ce que le récit est censé représenter. Il joue pleinement sur la confusion des sentiments pour noyer un peu le lecteur qui ne sait finalement pas trop quelle est sa véritable place dans tout cela. A mon sens, son récit est le symbole de tout un public de supporter qu'on aurait plongé directement dans l'atmosphère particulière de ce match, à la fois frustré, furieux, excité, sauvage…

Que les passionnés de foot ne passent pas à côté de cet ouvrage pour lequel Michaël Mention n'a pas laissé parler que les sentiments mais a également su faire d'une part un travail de recherche et de lecture sur cette « tragique » soirée de juillet 1982 et d'autre part un vrai travail d'intégration de ces éléments factuels dans sa fiction. Alors même si des livres sur cette demi-finale (livres que je n'ai pas lus, désolé), il y en a déjà eu, celui-ci propose une vision intéressante qui entraîne le lecteur directement au coeur de l'action avec une composition toute en tension et en ressort dramatique.

Lien : http://wp.me/p2X8E2-jA
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Attiré par plusieurs critiques élogieuses de «Jeudi noir», j'ai foncé tête baissée à sa sortie en poche (première édition, en grand format, chez Ombres noires, en 2014). D'aucuns mettaient en avant les qualités. À vrai dire, j'en attendais beaucoup, et je pensais naïvement que j'allais surtout vivre les «dessous» d'un match qui fait encore aujourd'hui couler un peu d'encre, le fameux match France-RFA du 8 juillet 1982, en demi-finale de la Coupe du Monde de football (Séville). Une fois le livre acheté, je l'ai rapidement mis tout en haut de ma PAL…

Après quelques pages, je suis déjà perdu : je regarde assez peu le foot (quelques matchs à enjeu de l'équipe belge et du Standard de Liège, essentiellement pour l'ambiance… ne me demandez pas qui joue à quelle place ni de relater une action de jeu, encore moins de la commenter, j'en suis incapable, ou alors je ne vois pas la même chose que la majorité des autres, alors autant m'abstenir…), et entrer dans les détails de la composition de deux équipes dont je connais, au final, seulement le nom de Platini… cela me dépasse… Bref… je poursuis un récit, qui me fait penser aux commentaires de journalistes lors d'un direct, mais ici, la narration se fait à la première personne, on est immergé dans le match, qu'on vit dans la tête d'un joueur… que je cherche à repérer en cochant dans la liste des protagonistes… pour me rendre compte que je dois me tromper, il ne correspond à aucun d'entre eux… Je m'en émeus quelque peu sur un forum connu pour la qualité de ses intervenants et pour la richesse des discussions qui y ont lieu, et très amicalement, un forumeur me fait remarquer que le narrateur est un 12e homme « imaginaire ». Cela me permet illico de me sentir plus à l'aise dans la lecture, que je poursuis alors jusqu'au bout.

Le roman relate quasi minute par minute, passe après passe, goal après goal, l'ensemble d'une rencontre qui, au-delà de l'aspect sportif, ravive chez les joueurs et dans le public des blessures qui peinent à se refermer. Vivre simultanément la nécessaire intégration multiculturelle et l'affrontement des deux nations – trop souvent taxées d'être aussi désagréablement vaniteuses – que sont la France et l'Allemagne, sur un terrain de foot, lors d'un match qui devient rapidement « pourri », les actions méchantes se multipliant (jusqu'à l'agression de Battiston par Schumacher), est évidemment on ne peut plus délicat. le pari est au final assez réussi à mes yeux.

Nous ne sommes pas en présence d'un documentaire, ni non plus uniquement d'une simple fictionnalisation des événements du 8 juillet 1982 (même si le narrateur prétend au départ vouloir faire oeuvre d'objectivité – et même si la documentation des faits est précise et fidèle aux faits). Michaël Mention nous livre un récit nerveux, passionné, et ne prend que très peu de précautions oratoires. Les accusations vont bon train dans l'esprit de ce 12e homme : la libre interprétation des faits qui nous est ici délivrée a sans aucun doute la vertu de poursuivre le lent processus de réconciliation, qui doit passer par l'étalement au grand jour des émotions les plus négatives qui ont pu encombrer l'esprit des protagonistes.

Avant de vous aventurer dans la lecture de «Jeudi noir», je suggère toutefois soit de visionner quelques vidéos des actions décisives du match, soit de le regarder en intégralité, d'autant plus si vous n'êtes pas férus du ballon rond (tout au moins de lire l'un ou l'autre article consacré au contexte de ce match).

Lien : http://les-lectures-de-thibe..
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