XIX
Au début du XXe siècle, le transatlantique Titanic, à bord duquel des milliardaires américains effectuaient en famille une croisière de plaisance vers l’Europe, heurta la nuit, dans le brouillard, une énorme glace flottante ; il sombra si vite qu’il n’y eut presque pas de survivants.
Le naufrage du Titanic est une illustration pour la page de titre du nouveau chapitre de l’histoire mondiale : celui de la première grande guerre et peut-être de la seconde et dernière. Il n’y en aura pas de troisième. Ou alors elle n’interviendra que dans une humanité différente de la nôtre. (p. 13)