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Critique de Missmarguerite
Si vous me connaissez un peu, vous savez qu'en littérature jeunesse, mes dieux se nomment Ramos, Jeffers et Meschenmoser. L'écureuil et la première neige est le sixième album de ce dernier que nous découvrons, le troisième centré sur le personnage de l'écureuil.
On retrouve donc ici les personnages que l'on connaît déjà : l'écureuil, le hérisson et l'ours. On retrouve aussi les superbes crayonnés de Meschenmoser, à la fois simples et dépouillés, poétiques et expressifs, et parsemés de petits détails qui font sourire. Des petits détails qui font tout, en fait (ah! ce gland!). On retrouve, bien sûr, son humour et les réactions complètement folles de l'écureuil, toujours prompt à s'imaginer n'importe quoi et à s'emballer dans la foulée. C'est qu'il en faut, de l'énergie, pour ne pas s'endormir alors que l'hiver et le froid s'installent.
Je n'en dis pas plus. Parce qu'il faut, vraiment, en découvrir chaque page par surprise, sans s'y attendre. Si vous le faites, vous ne pourrez pas vous empêcher de rire, et de rire encore. Et même d'exploser de rire. Et votre enfant sera obligé de vous dire quelque chose du genre "Bon, maman, prends la relève, papa n'arrive plus à lire, il n'arrête pas de se bidonner". Et quand vous verrez apparaître l'ours, l'oeil fatigué, le dos courbé, le poil hirsute, vous penserez à moi (parce que c'est tout moi, le matin, après une sale nuit...).
Si vous avez des enfants ou si vous avez gardé votre âme d'enfant, et si vous n'avez toujours pas lu Meschenmoser (ce n'est pourtant pas faute de vous le conseiller! en quelle langue faut-il vous le dire?), foncez, bon sang, foncez ! Ce type est un génie, on ne vous le dira jamais assez (oui, "on", parce que papa est, vous l'aurez compris, encore plus fan que moi).
Quand vous l'aurez enfin acheté, n'oubliez pas, comme toujours, de le lire jusqu'à la toute dernière page
Lien : http://margueritelit.canalbl..
On retrouve donc ici les personnages que l'on connaît déjà : l'écureuil, le hérisson et l'ours. On retrouve aussi les superbes crayonnés de Meschenmoser, à la fois simples et dépouillés, poétiques et expressifs, et parsemés de petits détails qui font sourire. Des petits détails qui font tout, en fait (ah! ce gland!). On retrouve, bien sûr, son humour et les réactions complètement folles de l'écureuil, toujours prompt à s'imaginer n'importe quoi et à s'emballer dans la foulée. C'est qu'il en faut, de l'énergie, pour ne pas s'endormir alors que l'hiver et le froid s'installent.
Je n'en dis pas plus. Parce qu'il faut, vraiment, en découvrir chaque page par surprise, sans s'y attendre. Si vous le faites, vous ne pourrez pas vous empêcher de rire, et de rire encore. Et même d'exploser de rire. Et votre enfant sera obligé de vous dire quelque chose du genre "Bon, maman, prends la relève, papa n'arrive plus à lire, il n'arrête pas de se bidonner". Et quand vous verrez apparaître l'ours, l'oeil fatigué, le dos courbé, le poil hirsute, vous penserez à moi (parce que c'est tout moi, le matin, après une sale nuit...).
Si vous avez des enfants ou si vous avez gardé votre âme d'enfant, et si vous n'avez toujours pas lu Meschenmoser (ce n'est pourtant pas faute de vous le conseiller! en quelle langue faut-il vous le dire?), foncez, bon sang, foncez ! Ce type est un génie, on ne vous le dira jamais assez (oui, "on", parce que papa est, vous l'aurez compris, encore plus fan que moi).
Quand vous l'aurez enfin acheté, n'oubliez pas, comme toujours, de le lire jusqu'à la toute dernière page
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