Gardiens des cités perdues, tome 6 : Nocturna

Bon, bon, bon… Cette saga devient lassante dans l'accumulation de défauts : je trouve que les choses n'avancent pas et qu'il y a beaucoup de remplissage pour pas grand-chose. Clairement, il y a là une volonté de délayer pour faire tenir en longueur les choses. Il y avait de bonnes choses dans ce tome, mais elles commencent à ne plus pouvoir compenser les mauvaises (sérieux, le triangle amoureux, help, sortons-en, c'est pas tenable, c'est relou, on s'y attarde beaucoup trop longtemps ; les méchants on ne sait pas trop quel est leur but d'exister ; les enfants qui font preuve d'une maîtrise de leurs talents incroyables dès le départ et qui font des choses que les adultes n'arriveraient pas à faire ; les adultes qui sont falots et qui n'ont presqu'aucune utilité – encore que là, il y a eu du mieux, ils sont enfin impliqués dans l'affaire et le danger).

J'avais essayé de me lancer dans la lecture du tome 6 de la saga « Gardiens des cités perdues » mais je n'ai pas du tout accroché. Je me suis rendue compte que les tomes avaient plus ou moins toute la même construction, le même déroulement et de ce fait je trouve le tout trop « prévisible ». Je n'ai donc pas continué la lecture de ce tome et l'ai donc abandonné.