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EAN : 9782021054149
724 pages
Seuil (02/02/2012)
3.78/5   333 notes
Résumé :
A la trace tranche sur les romans précédents par sa structure ambitieuse. L'action progresse staccato. L'art du pisteur, évoqué par une citation en début de chapitre, illustre la manière dont chacun des protagonistes va laisser des traces. Toutes, à un moment donné, se recouperont : septembre 2009.- Milla Strachan, lasse de vingt ans de mariage-maltraitance, plaque son mari et est embauchée par la Presidential Intelligence Agency, branche des services secrets. La PI... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (53) Voir plus Ajouter une critique
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Un nouveau Deon Meyer, et pas des moindres, puisqu'il fait plus de 700 pages. Mais rassurez-vous, elles se dévorent à toute vitesse !

Nous sommes toujours en Afrique du Sud, avec en toile de fond une intrigue mêlant groupuscules islamistes, gangs organisés et trafic de diamants. Une traque nous mènera des frontières du Zimbabwe au coeur du Cap, des plaines désertiques aux bureaux saturés d'outils informatiques de pointe.

Découpé en quatre parties d'apparence distincte, "A la trace" entremêle trois histoires : celle de Milla, jeune femme blanche qui tente de se construire une nouvelle vie et qui va se retrouver entraînée dans une aventure digne d'un roman de J. le carré. Puis on retrouve un des personnages favoris de Deon Meyer : Lemmer (Lemmer, l'invisible) qui va devoir convoyer a travers le désert deux rhinocéros sauvages, mais ce qu'il ignore c'est que la sauvegarde des animaux n'est le seul enjeu de ce voyage .Et enfin la dernière partie qui concerne également un personnage déjà rencontré : Matt Joubert (Jusqu'au dernier), ancien flic devenu enquêteur qui va se lancer sur la trace d'un mari disparu.

Evidemment, toutes ces histoires vont s'entrecroiser et le puzzle finira par s'assembler. On ne perd pas le fil, on bascule d'une histoire vers une autre, on est entraîné et finalement sidéré, d'avoir lus ces 700 pages avec autant de facilité et de plaisir.

Deon Meyer maîtrise, encore une fois, totalement sa partition. Il réussit à mener parfaitement son histoire avec rythme et densité même si la dernière partie est en demi-teinte, la fin un peu précipitée. Avec une construction remarquable, il signe son roman le plus complexe et le plus audacieux.... L'habileté de ses intrigues, la force de ses descriptions, sa passion sincère pour un pays dont il connaît les fragilités, en font un des meilleurs auteurs de roman policier contemporain !

Un sacré pavé que ce livre donc, mais aussi le roman idéal pour rencontrer, ou retrouver, cet auteur.
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On aurait tort de sous-estimer Milla Strachan, la quarantaine, femme au foyer bafouée, mère d'un adolescent détestable et qui tient un journal intime. A la suite d'une humiliation de trop, elle trouve le courage de s'enfuir, de trouver un emploi dans une agence....
Lemmer ne cherche pas les ennuis, ce sont les ennuis qui le cherchent. Et les ennuis vont se matérialiser sous la forme de deux rhinocéros noirs qu'il va accepter de convoyer depuis le Zimbabwe....
Matt Joubert est un policier à la retraite, qui vient juste de reprendre du service dans une agence de détectives privés. Première enquête, retrouver Danie Flint, trente cinq ans, disparu depuis un an...

Nous sommes en Afrique du Sud, à la fin de juillet 2009.... Deon Meyer nous a concocté trois histoires tordues à souhait, il nous dépeint un pays qui se cherche sur fond de violence, il nous montre trafics en tous genres et corruption. Mais l'Afrique du Sud est également un pays qui espère, les nouvelles technologies se développent, et il reste des enquêteurs intègres.
Le temps de l'apartheid n'est pas si lointain, et en Afrique du Sud, se retrouver pourrait s'avérer plus compliqué qu'ailleurs.... Mais traquer, sûrement pas. La traque semble un jeu national, et les protagonistes vont traquer ou être traqués, jusqu'au moment où leurs histoires vont se confronter.....

J'ai lu A la trace avec beaucoup de plaisir ; impossible de reposer le roman lorsqu'on se trouve sur une piste en compagnie de rhinocéros, et qu'un gang vous attaque....
La fin est arrivée trop vite à mon goût, sans répondre vraiment à toutes mes questions. On ne peut pas compter sur Milla, mais j'ai hâte de retrouver Lemmer, et Matt Joubert, pour en savoir plus.
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Une jeune femme qui essaie de s'extraire d'un mariage étouffant, les merveilles technologiques de l'Agence de renseignements présidentielle, un aventurier qui convoie des rhinocéros en provenance du Zimbabwe, une Lara Croft sud-africaine qui en connait un rayon sur les animaux, un archéologue qui a maille à partir avec les dangereux gangs des townships, la mystérieuse disparition d'un mari modèle employé à la compagnie de bus, un ex-flic reconverti en détective... autant de chaînons dans ce passionnant thriller qui fait découvrir au lecteur la réalité de l'Afrique du Sud post-apartheid, multilingue et multi-raciale, en proie aux gangs urbains mais aussi à la mondialisation de la finance et du crime, à la montée de l'islamisme et aux trafics internationaux. Par une habile construction, chacun des personnages fournira une clé de l'intrigue dont on ne connaitra le dénouement qu'à la toute fin quand les morceaux du puzzle africain viendront s'ajuster les uns aux autres grâce aux traces laissées par les protagonistes.
Du fin fond de la brousse et des parcs nationaux au coeur des banlieues résidentielles ultra-chic, Deon Meyer nous fait découvrir une Afrique du Sud en mutation où les femmes luttent pour leur indépendance, où la criminalité passe les frontières et où les trafics en tous genres, armes, drogues, diamants et animaux, s'épanouissent sur fond de menace terroriste. Un excellent polar qui mêle les genres avec subtilité (impossible de le lâcher en cours) et qui pourrait faire un excellent film !!!
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"Ca te dirait des fois de sauver les deux derniers rhinos noirs du Zimbabwe ?"

Deon Meyer est de retour avec un polar ambitieux et complexe, qui entraîne son lecteur dans les méandres et les bas-fonds d'une société sud-africaine en pleine mutation.

La construction, originale, emboîte des parties bien distinctes, successivement centrées sur quatre personnages. Milla Strachan, d'abord, une femme au foyr, la quarantaine, qui décide de tout plaquer pour d'émanciper après l'accrochage de trop avec son fils. C'est ensuite les traces de Lemmer que l'on suit, un garde du corps chargé d'escorter une mystérieuse cargaison de contrebande en compagnie d'une vétérinaire au look de Lara Croft. Puis vient le tour de Lukas Becker, mi-archéologue mi-espion, qui cherche des noises au chef du gang local, et croise la route des deux premiers personnages. La dernière partie est consacrée à Mat Joubet, ex-commissaire reconverti dans un rôle de privé qui ne lui convient pas, lancé sur les traces d'un jeune homme volatilisé. Car tout ici est question de traces : celles que Milla cherche désespérément à laisser ; celle que Cornelle prend soin de ne pas laisser ; celle de Becker que l'on s'efforce de suivre ; et celles, ténues, laissées par les disparus.

"Certains jours ne laissent aucune trace ... Il y en a qui s'écoulent comme s'ils n'avaient existé, aussitôt effacés dans le sillage de ma routine ... Ou par mon désir de les oublier aussi tôt que possible. Les traces d'autres jours restent visibles peut-être une semaine avant que le vent de la mémoire les recouvre de sable - le dépôt laissé par de nouvelles expériences."

Quatre romans en un donc, avec une infinie palette de thématiques dans ce puzzle où les pièces s'eboîtent sans jamais vraiment tout à fait se correspondre. C'est là tout l'art de Deon Meyer, qui a aussi l'habileté de ne pas tomber dans le piège de personnages caricaturaux. de ce point de vue, Cornelia van Jaarsfeld, Diedrick ou Lukas Becker restent inoubliables,complexes et insaisissables.

Malgré une stature imposante avec ses plus de 700 pages, A la trace se dévore. En plongeant dans des univers fascinants et très différents, Deon Meyer parvient à entremêler grand banditisme, terrorisme international, espionnage, trafics financiers internationaux, gangs et contrebande d'animaux sauvages. Mené au pas de course, A la trace est nerveux comme une bête sauvage (voir les excellentes citations de la deuxième partie, issues d'un manuel de pisteur), et s'inscrit résolument, avec son ambiance de traque, dans la veine des très bons thrillers.

"Les trottoirs fourmillaient - on y courait, on y marchait ou y stationnait, conversations et affaires s'y nouaient et d'y dénouaient, on y cherchait une place de stationnement. Il y avait des musulmans coiffés de fez, des pêcheurs en bonnet de laine, des Xhosas, la tête enveloppée d'une écharpe, des Blancs tête nue : la mixité raciale, comme à Voortrekker Street dans les années 1960, avant le début des troubles."

Pourtant la poursuite, très réussie en soi, est complétée par le regard lucide et désenchanté que Deon Meyer porte sur une société en ébullition, celle de la nouvelle Afrique du Sud, captée dans toute sa complexité tout au fil du roman. Une société arc-en-ciel, certes, mais marquée par une violence - physique, sociale, symbolique - qui atteint des niveaux inimaginables. Les hiérarchies sociales évoluent, les riches blancs se retranchent derrière les murs de leurs résidences sécurisées, les nouveaux riches afrikaners investissent d'autres quartiers branchés, tandis que le chaos règne dans les anciens townships pris dans la guerre des gangs, et que le pays s'apprête à accueillir la Coupe du monde dans une ambiance de rivalités politiques.

Il n'y a pas à dire c'est de la belle facture.

"A 20h30, la salle s'est remplie : il y a deux grands groupes d'hommes d'affaires ; puis, ça et là, des familles, des couples, quelques tables de jeunes de vingt ans qui s'amusent, Blancs et Noirs mêlés, décontractés, comme si notre pays n'avait jamais eu d'histoire. Il en va de même dans les centres commerciaux et les rues, comme si la ville représentait ce que pourrait être notre pays si l'on parvenait à effacer l'ombre noire de la pauvreté ..."

Une lecture qui contribue à me rapprocher un peu plus de mon Objectif lune.
Lien : http://le-mange-livres.blogs..
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Deon Meyer nous entraîne dans une bien mystérieuse traque.
L'auteur nous fait ouvrir quatre livres comme quatre tiroirs: et nous les ouvrons successivement, de plus en plus haletants, nous demandant ce que nous allons y découvrir .
Il nous convie à une leçon de chasse sans omettre aucune étape: de l'affût à la prise ou plutôt à la découverte d'une vérité.
Le livre 1 intitulé Milla ouvre la chasse avec la découverte d'un personnage féminin bien attachant. Milla, la quarantaine vient de prendre enfin sa vie en main en quittant le foyer conjugal et en se faisant embaucher par l'agence de renseignement présidentielle. le décor est posé: l'agence mène l'enquête sur les intentions d'un groupe islamiste: fomentent-ils un attentat à la bombe? En tous cas ils semblent préparer quelque chose de louche avec des bandes criminelles du Cap.
Le livre 2, celui que je préfère a pour titre Lemner, il s'agit d'un garde du corps très spécial chargé d'une mission exceptionnelle: l'acheminement par camion de deux rhinocéros noirs depuis le Zimbabwé jusqu'en Afrique du sud. Où nous voyons que l'homme peut être parfois un loup pour l'homme. Ce livre est émaillé de citations sur la chasse tirées du livre de Louis Liebenberg " the art of trackings" . Où l'on prend vraiment la mesure de ce vaste continent africain, et de sa dimension animale.
Où nous apprenons également que les bandes du Cap sont à la recherche de diamants qui auraient été introduits frauduleusement en Afrique du sud: pour financer l'achat d'armes pour le terrorisme islamiste?
Milla, à nouveau titre et héroïne du livre 3 va nous aider à comprendre ce que l'on peut ressentir quand on passe de la position de chasseur à celle de bête traquée. Mais que ne ferait-on pas par amour pour un bel archéologue?
C'est Matt Joubert, héros du livre 4, flic retraité, passé de l'autre côté du miroir qui nous mettra sur la bonne piste.
Devenu détective privé, il et chargé de retrouver un jeune homme mystérieusement disparu au Cap.
Le lien entre toutes ces affaires ne sera bien sûr dévoilé qu'à la fin du roman, alors bonne chasse, ouvrez l'oeil et le bon!
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critiques presse (6)
Lexpress
14 juin 2012
Les pistes de l'Afrique du Sud s'entrecroisent et Deon Meyer offre un roman époustouflant.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Liberation
11 avril 2012
On tourne souvent les pages avec une certaine anxiété, en espérant, par exemple, que les agents des services secrets arriveront à placer le micro dans la maison du «méchant» avant son retour imminent. Mais ce serait faire injure à Deon Meyer que de limiter son talent à cette technique bien maîtrisée du rythme.
Lire la critique sur le site : Liberation
LePoint
19 mars 2012
Un roman social doublé d'une intrigue de haute volée.
Lire la critique sur le site : LePoint
Lexpress
06 mars 2012
Que ce dernier ne soit pas effrayé par l'ampleur de l'ouvrage ! Tout au contraire, cette plongée profonde dans l'Afrique du Sud contemporaine vaut bien des voyages.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LeMonde
20 février 2012
Alternant l'écriture à la première et à la troisième personne, Deon Meyer s'amuse dans ce roman-puzzle à "casser les frontières entre les genres" (espionnage, road book, roman de procédure) et à défaire la structure narrative, cette "dictature qui enchaîne le romancier". Ce "raconteur d'histoires" revendiqué dresse au passage le tableau d'une Afrique du Sud mutante
Lire la critique sur le site : LeMonde
LeFigaro
10 février 2012
Guerre des gangs, menace terroriste, écologie, féminisme sont au menu de ce puissant polar sud-africain, septième roman de Deon Meyer.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (78) Voir plus Ajouter une citation
Car ma vie est un déluge de mots, une rivière qui ne s'arrête jamais de couler. Loin d'être une noyée entraînée par les flots, je suis un animal aquatique qui est dans son élément. Je batifole, dans les mots de mes pensées, les mots que j'entends, les mots que je lis et que j'écris, les mots sont en moi, m'entourant et me traversant dans un mouvement perpétuel. Je flotte et danse et plonge ; l'écriture, c'est le monde où je vis, mon habitat naturel : je vois les mots, je les sens, je les entends et je les savoure.
Cette eau-mots est brune ; des milliers de gouttes de conjonctions grisâtres, de mots bouche-trou, de mots qui ne sont là que pour en servir d'autres. Mais certains sont argentés comme des ablettes qui filent et dessinent, en bondissant, des arcs qui scintillent au soleil. Des mots qui agissent, pleins de dynamisme. Des mots qui travaillent. Des mots qui vivent. D'autres sont lourds, obscurs, des mots de fond, puis il y a les mots ronds comme des pierres qui roulent, qui raclent et s'écaillent et s'érodent... Mais voilà que je m'emballe à nouveau, compulsive, accro ; cette lettre est ma perfusion, ma dose quotidienne.
Parler, c'est autre chose. Là, le courant m'entraîne souvent ; il y a des tourbillons, des rapides et des rochers cachés, et les mots s'esquivent. Mais quand j'écris, quand il n'y a que moi et le fleuve et que j'arrive à ouvrir les yeux sous la surface, je vois chaque mot, je cherche, je sélectionne.
C'est pour ça que j'écris. Beaucoup, souvent et depuis longtemps. Car cela me permet de maîtriser. Et c'est là mon dilemme.


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La clé de voûte de ma profession est le décodage des individus. Il faut pouvoir déchiffrer les gens, pour identifier les menaces, pour comprendre ceux qu'on protège, pour prévoir des difficultés et les éviter. C'est devenu une habitude, un rituel, parfois même un jeu: observer, écouter des bribes de conversation et assembler ces fragments pour en tirer un profil susceptible d'être développé en permanence, en serrant la vérité d'un peu plus près avec chaque nouveau détail. Le problème, c'est qu'au cours de deux décennies j'ai appris que nous sommes des animaux perfides, très forts pour bâtir de fausses façades- souvent hautes, compliquées- en amalgamant les faits et la fiction afin de faire ressortir ce qui est acceptable, et de cacher ce qui ne l'est pas. Notre pratique du décodage consiste à analyser les façades, car en général elles révèlent ce qui se cache derrière.
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Les trottoirs fourmillaient - on y courait, on y marchait ou y stationnait, conversations et affaires s'y nouaient et d'y dénouaient, on y cherchait une place de stationnement. Il y avait des musulmans coiffés de fez, des pêcheurs en bonnet de laine, des Xhosas, la tête enveloppée d'une écharpe, des Blancs tête nue : la mixité raciale, comme à Voortrekker Street dans les années 1960, avant le début des troubles.
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Depuis quatorze mille ans, nous cheminons vers le chaos, Milla. Depuis notre premier village, notre première ville... mais si lentement que personne ne s'en est aperçu. mais ça a changé. Le chaos se lève devant nous comme une marée montante, en Amérique, en Europe, ici, de plus en plus vite, de plus en plus près. Encore dix ans, vingt ans, cinquante peut-être, et le chaos nous engloutira.
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- Comment peux-tu dire ça ? Sécurité ? Mais ça n'existe pas ! Tu le sais bien. Tu parles de sécurité, mais c'est un mot complètement creux, un mot, un mot nu....
....

- Vous nous cachez tout, vous les hommes.... Vous avez fabriqué ce monde, vous avez fait ce pays, ce foutoir de haines et de rancunes, de crimes, de pauvreté et de misère ! Et là, vous essayez de replâtrer, de dissimuler tout ça ! Vous croyez pouvoir nous aveugler avec tous ces trucs qui brillent, ces boutiques, ces magazines... Mais vous nous plongez la tête dans le sable pour qu'on ne puisse pas voir la vérité. C'est des mensonges, tout ça ! Vous mentez tous et tu te mets à mentir avec eux, toi aussi : En sécurité !
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Vidéo de Deon Meyer
En partenariat avec Sciences Po Bordeaux, dans le cadre de la semaine "Afrique du Sud : 30 ans de démocratie libre et multiraciale", découvrez un échange passionnant entre Deon Meyer et Georges Lory, traducteur autour de "cupidité" paru aux éditions Folio Policier. Modération assurée par Lionel Destremau. Traduction assurée par Véronique Béghain.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2921535/deon-meyer-cupidite
Note de musique : © mollat Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.
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