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Benny Griessel tome 8 sur 8
EAN : 9782072973406
592 pages
Gallimard (06/10/2022)
3.99/5   160 notes
Résumé :
Benny Griessel et Vaughn Cupido, ravalés au rang d'enquêteurs de base pour avoir enfreint les ordres de leur hiérarchie, soupçonnent leur punition d'être liée au meurtre en plein jour d'un de leurs collègues et aux lettres anonymes qu'ils ont reçues récemment. Mais ils n'ont pas le loisir d'approfondir la question car on les charge d'élucider la disparition de Callie, brillant étudiant en informatique.Dans le même temps, Jasper Boonstra, milliardaire et escroc notoi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (36) Voir plus Ajouter une critique
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Après la petite déception éprouvée pour La Femme au manteau bleu, quel plaisir de retrouver Benny Griessel et Vaughn Cupido en grande forme ! Façon de parler, parce que, à vrai dire, tout ne va pas pour le mieux pour les deux Hawks. Leur comportement dans leur précédente enquête (voir La Proie) devait forcément leur attirer quelques ennuis : ils s'étaient mis à dos beaucoup de puissants corrompus, tant au sein de la police que de l'État, et en plus, ils n'avaient pas respecté les ordres... Les voilà rétrogradés, exclus des Hawks et mutés dans un bled perdu. La honte. Heureusement, ils ont encore des soutiens et, plutôt que d'aller s'enterrer en pleine campagne, ils se retrouvent finalement à Stellenbosch, pas loin de Cape Town. Comme des bleus, ils sont chargés d'enquêter sur la disparition d'un étudiant, Calvyn "Callie" Wilhelm de Bruin. Surdoué en informatique, brillant programmateur, solitaire, attentionné, Callie n'a pas pu disparaître volontairement sans raison estime sa mère. Parallèlement, on fait la connaissance de Sandra Steenberg, jeune et belle agente immobilière, criblée de dettes à cause de l'effondrement de l'économie, et partant, de l'immobilier. Sandra est contactée par un sulfureux personnage, milliardaire à la réputation déjà plombée par diverses affaires, Jasper Boonstra. L'escroc demande à Sandra de vendre une propriété viticole, mais attention : son nom ne doit apparaître en aucun cas…
****
Comme souvent chez Deon Meyer, on suit deux histoire parallèles : d'un côté, l'enquête des deux policiers ; de l'autre, les tribulations de l'agente immobilière, désespérée par sa désastreuse situation financière qu'elle cache à son mari, prête à certaines compromissions pour s'en sortir. Dans 73 courts chapitres qui se déroulent de juillet à octobre, Deon Meyer profite de ces deux intrigues, apparemment sans rapport entre elles, pour nous plonger dans la vie sud-africaine. La situation catastrophique que traverse l'Afrique du Sud est en grande partie causée par la « captation de l'État » due à l'ex-président Jacob Zuma et à ses affidés. Il en est question plusieurs fois, et on sent bien que l'auteur ne décolère pas… J'ai aimé suivre les efforts de Benny pour rester sobre et pour se rapprocher de son fils, son regard indulgent sur l'absence totale de talent culinaire de sa compagne, sa bienveillance envers la mère de Callie, son souci d'éviter tout comportement raciste. J'ai souri aux réparties et aux remarques de Cupido, et je me suis amusée des efforts de ce gourmand pour perdre du poids. Deux figures féminines très différentes permettent de faire ressortir et de dénoncer le sexisme et la misogynie ambiante : Sandra, jeune et jolie, doit supporter les avances de Boonstra comme le mépris de Charlie, son patron, toujours tendancieux dans ses actes ; et Lettie, la bientôt ex-épouse de Boonstra, qui se retrouve mise au rencart. cupidité est un bon roman, avec deux enquêtes bien menées et une pirouette finale amusante... Il peut se lire indépendamment des autres livres où apparaissent les deux policiers. J'ai passé un vrai bon moment !
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Ce matin de septembre, alors que Benny Griessel et Vaughan Cupido sont dans l'attente de leur sanction pour avoir enfreint les ordres de leur hiérarchie, Sandra Steenberg, jeune agente immobilière rencontre Jasper Boonstra, milliardaire, escroc notoire qui lui demande de trouver rapidement et discrètement des acquéreurs pour l'une de ses prestigieuses propriétés viticoles, Donkerdrif.
Nous sommes dans le cadre enchanteur de Stellenbosch, à une cinquantaine de kilomètres de la ville du Cap, célèbre en particulier pour ses magnifiques vignobles et son université.
Griessel et Cupido, contre toute attente, ne sont pas renvoyés, mais rétrogradés au simple rang d'enquêteurs, et mutés non pas à Laingsburg, en région aride, mais bien à Stellenbosch au sein du poste de police dirigé par le colonel Witkop Jansen. Sandra Steenberg, criblée de dettes, accepte l'offre de Boonstra.
Première enquête à Stellenbosch pour Griessel et Cupido : retrouver un jeune étudiant de vingt ans, Callie de Bruin, qui a disparu. Signe distinctif : Callie est un expert en informatique, un as de la programmation....

Le titre original du roman était Donkerdrif, du nom de la propriété viticole que Sandra Steenberg s'apprête à vendre. Ce titre signifie "Sombre Passion", et comme le souligne la jeune femme : "La cupidité. C'est ce qui menait son père, c'est ce qui mène Jasper Boonstra.... Elle ne permettra pas que cela devienne son péché à elle. Sa passion. Sa sombre passion. Donkerdrif, songe-t-elle en souriant, sombre passion". le titre cupidité a été préféré par les éditeurs français. A la fin du roman, une proche de Griessel affirme aussi "Comme c'est curieux... Il y a tant de choses qui nous divisent dans ce pays. Mais la cupidité nous unit". Et en effet, c'est bien l'appât du gain, sous toutes ses formes, qui est au centre du dernier roman de Deon Meyer. Captation de l'état, corruption au sein de la police, avidité liée à une histoire personnelle difficile, désir de revanche...

J'ai retrouvé dans cupidité le même plaisir de lecture que j'avais éprouvé avec le précédent roman de Deon Meyer, La Proie. Deux histoires se déroulent simultanément, et nous passons de l'une à l'autre très facilement. L'enquête sur la disparition de Callie est menée de main de maître. La vente de Donkerdrif, et les personnages de Sandra et Boonstra m'avaient paru moins intéressants, jusqu'à ce que la toute dernière page du roman n'offre un éclairage inattendu....

Griessel et Cupido sont semblables à eux-mêmes, représentatifs d'une Afrique du Sud en pleine mutation, qui se cherche, et le glossaire en fin d'ouvrage nous rappelle habilement que la nation arc-en-ciel est aussi celle d'un pays multilingue, où se parlent afrikaans, anglais, zoulou ainsi que bien d'autres langues au sein d'un pays moderne.
cupidité ou Sombre passion, peu importe, ce roman est un pavé qu'on dévore, un très beau moment de lecture !
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Un polar d'Afrique du Sud avec les enquêteurs de la série Benny Griessel et Vaughn Cupido.

Les deux policiers sont rétrogradés pour avoir désobéi à un ordre, ils ne font plus partie des Hawks, la brigade des crimes majeurs. Exilés dans une banlieue, ils n'en feront pas moins face à des situations particulières:
- Un jeune geek disparu laissant une mère éplorée.
- Une jolie agente immobilière aux prises avec un riche propriétaire sans scrupules.
- Une corruption généralisée, ce qu'on appelle « captation de l'état » par un gouvernement que l'auteur évite cependant de nommer.

Un polar avec des policiers sympathiques, des durs à cuire, mais aussi très humains, avec Benny qui résiste à la tentation de la bouteille et son comparse qui se tient loin des pâtisseries et de la friture pour plaire à une jolie femme.

Comme le titre l'indique, il sera question de cupidité, de tous les mensonges et les trahisons que des gens sont prêts à faire pour gagner plus d'argent. Un peu aussi la mentalité de ceux qui font miroiter aux autres de trop bonnes affaires.

Un bon suspens, les pages tournent facilement et on passe un bon moment de lecture. En prime, un glossaire à la fin renseigne sur quelques mots « afrikaans ».
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Benny Griessel et Vaughn Cupido sont de retour et ils sont punis ! Les deux policiers, qui appartiennent aux Hawks, sont rétrogradés et envoyés dans un autre bled.

Pour Vaughn Cupido, c'est la honte de ne plus faire partie de l'élite. Heureusement, ils sont mutés à Stellenbosch, ça aurait pu être pire…

Un étudiant en informatique a disparu, et nos deux policiers sont chargés d'enquêter sur ce petit génie en informatique, ce programmateur brillant, mais solitaire.

D'un autre côté, nous faisons connaissance avec Sandra Steenberg, une agente immobilière qui court après l'argent depuis que toute la région a vécu une terrible récession lorsque l'économie s'est cassée la gueule.

Le rapport entre les deux affaires semble ne pas exister, tant elles sont diamétralement opposées et qu'il est presque impossible de les relier entre elles. Pourtant, autant la disparition que la vente d'un domaine viticole en secret seront importantes et auront des ramifications là où ne s'y attend pas.

Si je n'ai pas envie d'aller vivre en Afrique du Sud, j'adore y aller avec l'agence de voyage Deon Meyer, car j'ai la certitude qu'il ne me proposera pas un voyage digne d'une carte postale ou d'un joyeux Guide du Routard.

L'auteur nous fait entrer dans la corruption, dans la politique sale, dans les gans, dans les townships et si vous entrez dans une belle baraque, chez un plein de fric, croyez-moi que ce ne sera pas un gentil monsieur philanthrope. Mesdames, surveillez vos arrières.

Ses personnages sont réalistes et terriblement humains, que ce soient nos deux enquêteurs et leurs préoccupations (Benny, de ne plus boire et Vaughn, de perdre du poids) ou les personnages secondaires, tous guidés par l'appât du gain, la cupidité, même si celle de Sandra, l'agente immobilière, est surtout pour payer ses dettes et faire vivre sa famille.

Il y a tant de choses qui nous divisent dans ce pays. Mais la cupidité nous unit, dira un personnage à un moment donné, et il aura bien raison.

Les chapitres sont assez courts et bien que le roman fasse 570 pages et que le rythme ne soit pas celui d'un polar survolté, pas d'ennui à redouter à l'horizon. Les pages se tournent toutes seules et on avance d'un bon pas. Les deux enquêtes parallèles sont intrigantes et j'ai été surprise, agréablement surprise, je dois dire.

Un polar noir où la plume de l'auteur n'hésite pas à égratigner le pouvoir en place, ce gouvernement corrompu jusqu'à l'os, ce pays où les gens peuvent avoir peur de la police, qui ne sont pas à l'abri de la corruption et de l'avidité. Oups, de la cupidité !

Un voyage en Afrique du Sud, loin des paysages, des cartes postales… Un roman qui se dévore assez vite et qui est très instructif sur la culture de ce pays lointain, où l'apartheid fut loi durant de trop nombreuses années.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Le spécialiste du polar sud africain excelle une nouvelle fois.

Déon Meyer a remis le couvert pour un thème qu'il connait bien ; nous emporter vers la culture et les paysages africains afin de nous balader plus agréablement dans son intrigue.
Nous nous retrouvons près de Cape Town, dans la chic ville de Stellenbosch. Pourquoi Stellenbosch, tout simplement parce que nous y retrouvons les deux flics, Benny Griessel et Vaughn Cupido, rétrogradés pour avoir enfreint les ordres de leur hiérarchie et, de fait, se retrouver dans des histoires de guerre des polices. D'emblée on se demande pourquoi une mutation dans un si bel endroit ; ça sent de suite le roussi.
Arrive alors l'histoire de cette jeune femme, Sandra Steenberg, travaillant comme agente immobilière et se retrouvant embourbée dans un trop beau montage commandé pour un magnat. Puis la deuxième situation louche à traiter par nos deux flics, celle de la disparition d'un étudiant hacker surdoué et vivant au-dessus de ses moyens.
Partout le « trop beau » devient vite piège, surtout dans ce pays gangréné par toute sorte de corruption ainsi que ce qu'on nomme « la captation par l'Etat », captation dite secondaire au règne du Président Zuma.
On se retrouve avec deux affaires de fond à traiter par nos deux lascars, plus l'explication à trouver quant à leur mise au placard dans un lieu pareil.
Le tout va bien évidemment finir par s'entremêler pour devenir une intrigue accrocheuse.
Situations et personnages le sont également tels Lettie, Jasper ou encore la mère éplorée de l'étudiant.
Et pour boucler la boucle, ce dépaysement dont il est coutumier et ce multilinguisme qu'il s'approprie pleinement.
J'ajouterais que ce que j'apprécie peut-être le plus chez Déon Meyer : sa faculté à ressortir du moche, du laid chez l'homme. Oui, au-delà de la noirceur, il réussit toujours à nous emmener vers un peu de lumière, une pointe d'espoir pour la nature humaine, voire une résilience. La preuve qu'un polar peut aussi être une oeuvre à part entière.

Citation « y a tant de choses qui nous séparent dans ce pays. Mais la cupidité nous unit ».
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critiques presse (1)
Liberation
22 décembre 2022
Le patron du polar sud-africain confronte son tandem de prédilection à deux disparitions inquiétantes, sur fond de quête de fric.
Lire la critique sur le site : Liberation
Citations et extraits (60) Voir plus Ajouter une citation
Le capitaine Benny Griessel entend des pas pressés et le signal d’urgence. Vusi Ndabeni rameute dare-dare ses collègues, un vol à la voiture-bélier, là maintenant.
Un mardi matin de juillet, au milieu de l’hiver.
Il laisse tomber le dossier sur son bureau, saisit son Z88 dans le tiroir et se met à courir. De petite stature, Vusi est un esprit tranquille, toujours calme. Ce n’est pas le cas à cet instant, il y a de l’intensité dans sa voix, c’est pourquoi Benny n’hésite pas.
Tout en courant dans le couloir il boucle son holster sur sa hanche. Il voit arriver Vaughn Cupido, vêtu de sa longue veste qui lui bat les flancs, son « costume de Batman », son équipement d’hiver.
« Dieu soit loué », crie Cupido. Benny sait que son collègue n’apprécie guère les fastidieuses tâches administratives. Ils étaient justement en plein dedans. Voici une belle échappatoire.
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Le capitaine Benny Griessel entend des pas pressés et le signal d'urgence. Vusi Ndabeni rameute dare-dare ses collègues, un vol à la voiture-bélier, là maintenant.
Un mardi matin de juillet, au milieu de l'hiver.
Il laisse tomber le dossier sur son bureau, saisit son Z88 dans le tiroir et se met à courir. De petite stature, Vusi est un esprit tranquille, toujours calme. Ce n'est pas le cas à cet instant, il y a de l'intensité dans sa voix, c'est pourquoi Benny n'hésite pas.
Tout en courant dans le couloir il boucle son holster sur sa hanche. Il voit arriver Vaughn Cupido, vêtu de sa longue veste qui lui bat les flancs, son « costume de Batman », son équipement d'hiver.
« Dieu soit loué », crie Cupido. Benny sait que son collègue n'apprécie guère les fastidieuses tâches administratives. Ils étaient justement en plein dedans. Voici une belle échappatoire.
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« Crois-tu que Jasper Boonstra soit le premier client à qui j'ai eu affaire ? Le premier homme qui a essayé d'exploiter une situation contre des faveurs sexuelles ? Toutes les femmes connaissent ça. Je connais ça, je connais les hommes depuis que j'ai quinze, seize ans. Ça revient tout le temps. Ces attaques. Souvent en arrière-plan, sous la surface, surtout quand on commence à travailler en présence de collègues masculins et de clients masculins. La plupart sont lâches, prudents, ils tâtent le terrain. Mais c'est constant, inéluctable, cela enfle comme le bruissement d'une ville en bruit de fond. Un vacarme blanc. On apprend, lentement mais sûrement, à le gérer, on s'y habitue, on sait qu'il est présent, on choisit de ne pas l'écouter tout le temps. Parfois le raffut est direct, il détruit les défenses, il faut alors tout jeter à terre et faire face. Demeurer courtoise mais ferme, ou bien rire, selon les circonstances, cela désamorce l'affaire. Essayer de préserver sa dignité, son professionnalisme, sa carrière. Je l'ai appris durement, Charlie. J'ai commis des erreurs. Me suis fâchée, car je porte beaucoup de colère en moi. J'ai compromis mon premier emploi à cause de cette fureur, parce que j'ai perdu mon flegme face à un client qui ne voulait pas arrêter. C'est alors que j'ai compris que l'on ne jouait pas sur le même terrain. Ce n'est pas un combat à armes égales. Surtout pas quand on est une femme, jeune, pauvre, désespérée et sans qualification. Quand on n'a pas le filet de sécurité émotionnel et financier de parents attentifs, équilibrés. Se fâcher ne sert à rien. En référer aux chefs ne sert à rien, même s'ils émettent quelques grognements compréhensifs, car cela nous stigmatise : “un certain genre”,“pas d'esprit d'équipe”. Je l'ai appris à la dure, Charlie, si je veux gagner, je dois être plus maligne. Plus agile.
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Les hommes ne savent-ils donc pas qu'une femme n'est sexy que lorsqu'un homme le lui fait sentir ? Ne savent-ils donc pas qu'une approche non sollicitée, balourde et souvent maladroite provoque l'effet inverse ? Elle se sent dévaluée, bas de gamme, facile à berner.
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Les quatre véhicules des assaillants se rapprochent du fourgon – la Mercedes en tête pour tenir à distance un possible trafic venant de face, un de chaque côté, le dernier par-derrière. Les braqueurs sautent dehors et mitraillent le fourgon. Leur stratégie habituelle. Ils savent que les vitres et la tôle sont à l'épreuve des balles, mais le feu est tellement nourri, tellement angoissant que souvent les convoyeurs se rendent. C'est pourquoi ils vident leurs chargeurs et, le temps de recharger, offrent aux hommes de chez Pride la possibilité de sortir les mains en l'air. Afin qu'on puisse ouvrir les portes arrière sans autre tir ni coup de bélier.
Mais pas cette fois-ci. Les convoyeurs restent coincés par leur ceinture de sécurité, ils sont blessés, choqués, anxieux.
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Dans cet épisode, c'est Annaïk, libraire au rayon polar de Dialogues, qui nous partage ses coups de coeur de la rentrée.
Bibliographie : - le Tableau du peintre juif, de Benoît Séverac (éd. Manufacture de livres) https://www.librairiedialogues.fr/livre/20654028-le-tableau-du-peintre-juif-benoit-severac-manufacture-de-livres
- L'Or vert du Sangha, de Pierre Pouchairet (éd. Filatures) https://www.librairiedialogues.fr/livre/20911097-l-or-vert-du-sangha-pierre-pouchairet-filatures
- cupidité, de Deon Meyer (éd. Gallimard) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21310372-cupidite-deon-meyer-gallimard
- Les Sentiers obscurs de Karachi, d'Olivier Truc (éd. Métailié) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21362642-les-sentiers-obscurs-de-karachi-truc-anne-marie-metailie
- Obscuritas , de David Lagercrantz (éd. HarperCollins) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21401049-obscuritas-le-nouveau-polar-nordique-de-david--david-lagercrantz-harpercollins
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