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Critique de CDemassieux
Je me suis fait avoir comme une première communiante à qui on dirait que « Gorges profondes » est un film sur la grotte de Lascaux !
Par naïveté, ouverture d'esprit ? Que nenni ! Par paresse intellectuelle, il n'y a pas d'autre excuse.
Ce livre je l'ai donc lu, à sa sortie, et j'avoue que ses circonvolutions, pour nous faire avaler sa pilule même pas drôle, avaient quelque chose de séduisant. Puis, j'ai compris ce que l'auteur dissimulait à peine : une pensée infecte. La même qu'on retrouve chez Faurisson et sa contestation écoeurante et infondée des chambres à gaz. Meyssan est dangereux précisément parce qu'il n'attaque pas de front : il sème le doute, distille son venin par petites quantités. Pourquoi en parler alors et lui faire de la publicité ? Parce que…
Aujourd'hui, le désormais célèbre numéro 1178 de Charlie Hebdo entre les mains – dont je suis autant lecteur que détracteur et ce, depuis plus longtemps que beaucoup de leurs « nouveaux amis », dont la sincérité, pour la plupart, n'est certes pas feinte –, j'apprends que Meyssan poursuit sa course à l'abîme d'infamie, en voulant, sur sa page Facebook, nous persuader que l'attentat contre le journal – et par voie de conséquence, contre le supermarché casher, plus l'assassinat d'une policière municipale – est un coup monté. C'est pitoyable.
Ici, on critique des livres. Mais la critique ne saurait être amorale, car si tel était le cas la majorité de ceux présents sur ce site n'auraient pas droit de cité. Meyssan est libre de déblatérer ses sordides inepties, moi je suis libre d'écrire ce que j'en pense.
Par naïveté, ouverture d'esprit ? Que nenni ! Par paresse intellectuelle, il n'y a pas d'autre excuse.
Ce livre je l'ai donc lu, à sa sortie, et j'avoue que ses circonvolutions, pour nous faire avaler sa pilule même pas drôle, avaient quelque chose de séduisant. Puis, j'ai compris ce que l'auteur dissimulait à peine : une pensée infecte. La même qu'on retrouve chez Faurisson et sa contestation écoeurante et infondée des chambres à gaz. Meyssan est dangereux précisément parce qu'il n'attaque pas de front : il sème le doute, distille son venin par petites quantités. Pourquoi en parler alors et lui faire de la publicité ? Parce que…
Aujourd'hui, le désormais célèbre numéro 1178 de Charlie Hebdo entre les mains – dont je suis autant lecteur que détracteur et ce, depuis plus longtemps que beaucoup de leurs « nouveaux amis », dont la sincérité, pour la plupart, n'est certes pas feinte –, j'apprends que Meyssan poursuit sa course à l'abîme d'infamie, en voulant, sur sa page Facebook, nous persuader que l'attentat contre le journal – et par voie de conséquence, contre le supermarché casher, plus l'assassinat d'une policière municipale – est un coup monté. C'est pitoyable.
Ici, on critique des livres. Mais la critique ne saurait être amorale, car si tel était le cas la majorité de ceux présents sur ce site n'auraient pas droit de cité. Meyssan est libre de déblatérer ses sordides inepties, moi je suis libre d'écrire ce que j'en pense.
