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EAN : 9782290206522
224 pages
J'ai lu (13/03/2019)
3.5/5   100 notes
Résumé :
Valentina coule des jours paisibles sur sa petite île au large de l’Italie avec son fidèle acolyte à quatre pattes, Ferdinand, et travaille dans un bar.
À Londres, Laure fait ses premiers pas en tant que journaliste, et tous les moyens sont bons pour épater le rédacteur taciturne qui la chaperonne.
Tout oppose les deux jeunes femmes jusqu’à l’apparition inopinée d’une seule et unique photographie qui va bouleverser leurs existences à jamais…
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Critiques, Analyses et Avis (44) Voir plus Ajouter une critique
3,5

sur 100 notes
Laure, 25 ans, vit à Londres et a commencé, à l'essai, une carrière de journaliste événementielle dans le magazine « Come on London ». Très vite, elle se fait positivement remarquer par sa débrouillardise et par le talent de sa plume au point d'obtenir un contrat. Elle peut compter sur Bridget, une débutante dans le même journal et qui est aussi très talentueuse. Elles forment un super duo jamais à court d'imagination.

Valentina habite sur une superbe île italienne, au nord de la Sardaigne, La Maddalena, et travaille comme serveuse. Elle a un diplôme d'institutrice mais il n'y a aucun poste disponible. Elle a un chien, Ferdinand. C'est une force tranquille, un setter irlandais très affectueux.

Nikola, splendide jeune homme beau parleur, prêt à batifoler avec la première jolie femme venue est un ami d'enfance de Valentina. Ils sont inséparables, tout comme l'est Isa, pétillante rousse, serveuse dans le même établissement que Valentina.

Valentina a débuté une chasse au trésor depuis que sur une plage elle a découvert une bouteille contenant un plan pour l'atteindre. D'énigme en énigme, elle essaie de trouver le mystérieux jeune homme qui lui soumet ce curieux jeu de piste. Elle redécouvre ou découvre pour la première fois des aspects de son île adorée et profite de cadeaux pleins de romantisme offerts par ce mystérieux soupirant qui l'intrigue au plus haut point et qui semble si bien la connaître.

Mauro, un ami de Valentina et cuisinier dans l'établissement où elle travaille, prend quelques jours de congé. Au cours de ses pérégrinations, il passe par Londres et en revient avec une étrange photo… le sosie de Valentina existe ! La ressemblance est tellement frappante que Valentina finit par entamer des recherches sur son passé…


Critique :

Je remercie Babelio et les éditions J'ai lu pour m'avoir offert ce livre.

Qu'il me soit pardonné de ne pas lui attribuer d'étoiles. Non, parce qu'il n'en mérite pas ! Non ! Non ! Cela n'a rien à voir avec la qualité de cet ouvrage. Il se trouve simplement que je suis très mal placé pour juger de la pertinence d'un roman aussi « girly » ! Avec mes soixante balais et ne me souvenant guère d'avoir été jeune fille dans une autre vie, je suis mal placé pour juger des qualités d'un bouquin qui s'adresse à des jeunes demoiselles, voire à des dames en quête de romantisme !

Je ne doute pas un instant que les intentions de l'auteure, Angéline Michel, soient d'apporter un peu de bonheur à des lectrices en mal de tendresse et d'amour. Cette histoire dégoulinant de bons sentiments et de gentillesse fera sûrement du bien à beaucoup de femmes par son côté positif, par la rencontre avec des personnages gentils, soucieux du bien de leur entourage. Un peu de douce fraîcheur dans un monde infernal de brutes ravira celles qui voudraient encore croire aux princes charmants, bien éduqués, pleins de petites attentions, de tendresse et par-dessus tout se souciant du bonheur de leurs bienaimées.

Messieurs, si j'ai un conseil à vous donner, c'est de lire ce livre. Il vous en apprendra probablement plus sur les attentes du beau sexe que tous les ouvrages qui prétendent vous faire comprendre les subtilités de la psychologie féminine. Je sais. Je vous demande un gros effort : pas de bagarres, pas d'explosions, pas de terrorisme, pas de psychopathes, pas un seul flic, ni même un détective privé, pas de trahisons (enfin, si quand même une, celle d'Antonio – dites, l'auteure, choisissez un autre prénom la prochaine fois ou je vous fais un procès ! Non, mais ! Faire passer les Antonio de tout l'univers latin pour des # !%$@#, franchement, vous voulez la guerre ?)
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Je suis d'accord avec mon coreligionnaire Seigneurdeguerre, il est difficile pour un gars de nos âges (j'en ai 50 pour ma part) de juger un livre si "girly".
Toutefois, je n'arrive pas à me résoudre de ne pas noter un tel bouquin ne serait-ce que pour inviter les récalcitrants à l'eau de rose à ne pas le lire.
En le lisant puis en le refermant je n'avais qu'une expression en tête que me disait ma mère (et qu'on n'emploie plus aujourd'hui) "cucul la praline". J'ai pensé à "Cet été là" d'Olmi ou "A la lumière des petits matin" de Martin-Lugand qui dégoulinent de niaiserie. Ici aussi c'est d'une mièvrerie sans nom. L'auteure use et abuse de participes présents, adjectifs et d'adverbes excessifs : un rire tonitruant (mais il peut aussi être à gorge déployée), irradiant, bluffant, sabrant (évidemment un "champagne hors de prix"), épatant, enthousiasmant, tonitruant, extrêmement, terriblement, tendrement, intimement, énormément, gigantesque, magnifique, magique, merveilleux, heureux... le verbe enthousiasmer est sans doute, sous toutes ses formes, le mot le plus utilisé par l'auteure. Il y a extasier aussi et adorer ou subjuguer.
On lit pléthore de mots tels que bonheur (indicible !!! irradiant !!!), coeur, bienveillance, les yeux s'illuminent, émotions, se réjouir, paradis,
Le bel italien séduit la belle anglaise, alors que l'autre bel italien séduit la belle italienne ! ces termes sont employés tout au long du bouquin, je n'invente rien. Et le bel italien est tellement romantique qu'il envoie un carnet à la belle anglaise emballé avec un ruban parme ! Si, si parme ! Il ne pouvait pas lui donner le carnet tel quel, ni y mettre un ruban jaune, vert, noir, bleu... le ruban devait forcément être rose? parme, voire rouge pour la passion. ET là, je ne résiste pas : "Lorsqu'elle découvrit l'objet, la respiration de la jeune femme se coupa. Ses doigts glissèrent sur le cuir italien couleur cognac qui recouvrait le carnet".
D'ailleurs ils sont tous beaux, même les vieux. C'est un monde magique fait de sucreries et de bisounours. Rien de négatifs peut arriver. Dans les bluettes états-uniennes il y a toujours un moment au milieu du film où Jennifer Anniston connaît un amour qui se termine mais c'est pour mieux rebondir vers en happy-end ensuite quand tout va mieux avec l'amoureux ou un autre. Ici pas de happy-end, c'est un happy-tout. Les seuls moments flippants sont le stress engendré par la rencontre, et les tremblements qui rendent impossible l'envoi du mail ! Affligeant !
On suit donc une belle (évidemment), jeune (évidemment), working-girl (évidemment) qui habite une grande ville (évidemment), ici c'est Londres, sinon c'est Paris ou New York il n'y a pas d'autres villes pour les bluettes, Rome peut-être ? je ne suis pas bluettologue ! Et parallèlement une belle (évidemment), jeune (évidemment), italienne (évidemment, mais elle aurait pu être états-unienne ou parisienne) qui a des diplômes (évidemment) mais fait serveuses dans un bar merveilleux, sur une île merveilleuse avec des collègues merveilleux. Toute l'intrigue repose donc sur comment vont-elles se rencontrer, pourquoi et quel bellâtre vont-elles mettre dans leurs lits ? Ah non pas de sexe, ce serait moins romantique, on le suppose seulement.
En fait j'aurais dû m'arrêter de le lire lorsque je suis tombé sur le nom Louboutin. Dès que cette marque est mentionnée dans un bouquin on sait qu'il appartient au genre bluette avec une working girl en mal d'amour (mais qui a plein d'amis et une animal absolument génial et parfait, ici on pousse l'anthropomorphisme jusqu'à donner un nom d'humain au chien). Promis la prochaine fois que je vois Louboutin, je referme le bouquin.
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Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un roman au titre extrêmement attrayant, le Goût du Bonheur, et à l'histoire qui me promettait entre autres du dépaysement en veux-tu en voilà, notamment en me faisant voyager en Italie, terre de mes racines maternelles ; une aventure humaine tout ce qu'il y a de plus poignante et bouleversante et de l'Amour (oui, avec un grand A, carrément) et de la Joie (avec un grand J aussi - pourquoi pas ?) à profusion. Et je peux désormais confirmer que ce roman a su tenir toutes ses promesses de mon côté du moins. Je remercie infiniment les éditions J'ai Lu pour ce ravissant envoi accompagné d'un tote-bag résolument pratique car large et résistant. Parfait pour transporter une multitude de livres en tous genres donc ! Et puis, je peux balader ma sincère affection pour ce roman en particulier partout comme ça avec ce sac en toile à son effigie. Plus sérieusement, merci du fond du coeur à la maison d'édition et à la community manager pour leur patience et leur gentillesse. Maintenant que les remerciements sont faits en bonne et due forme, place à ma critique sur ce livre au charme juste ravageur !

Très honnêtement, je me demande encore à l'heure actuelle pourquoi je n'ai pas lu ce bouquin plus tôt. J'ai en effet un peu relayé ce SP aux oubliettes à l'époque, plus que de raison je dois l'avouer. Mea culpa. Et non seulement j'ai manqué à tous mes devoirs à cette période particulière de mon année 2019, tiraillée que j'étais en mes études, mon petit boulot et le blog, mais j'avais d'autant plus tort sur toute la ligne car ce roman n'aurait pas du tout été contraignant à lire à cet instant précis de ma vie étudiante vu qu'il se lit pour ainsi dire à vitesse grand V. Pour ma part, je l'ai trouvé tout bonnement « impossible à lâcher », c'est clairement le mot. Si vous cherchez un titre qui vous fera vivre un véritable moment d'évasion et de détente, foncez sans hésiter sur celui-ci ! Pour ma part, j'avais la sensation indéniablement jouissive, euphorisante, grisante (bref, tous les synonymes de ces adjectifs s'appliquent ici) d'être comme enveloppée dans une bulle réconfortante, dans un plaid bien douillet et extrêmement agréable en le lisant, ou devrais-je dire en le dévorant goulument telle l'une des succulentes et si alléchantes pâtisseries de Lisbeth (quel magnifique prénom au passage, J'ADORE ! ♥) - et pourtant, je n'aime absolument pas ça (les pâtisseries) de base alors juste CHAPEAU à l'autrice pour m'avoir ne serait-ce que de donner envie de goûter aux petites merveilles de cette auto-entrepreneuse de talent qu'est ma Lili d'amour (quand je commence à donner des surnoms aux personnages du récit, c'est que ça sent très bon dans l'air) !

Cette transition parfaite, bien que tout à fait involontaire, me permet d'aborder la question des protagonistes de cette fabuleuse histoire que j'ai tous trouvés profondément humains et indubitablement attachants. On adorerait avoir une telle famille de sang et de coeur qui nous donne assurément envie de nous secouer, de garder espoir et d'ouvrir les yeux face aux petites beautés de la vie qui changent en réalité tout une fois qu'on en prend conscience, ça, je peux vous le garantir. A ce niveau-là, j'ai notamment énormément apprécié le fait que l'autrice ait su contourner habilement la plupart des clichés propres à ce genre de la littérature dite feel good de laquelle je suis fort peu coutumière à cause des fameux stéréotypes caractéristiques de ce type de publications, également souvent empreintes du libellé "romance" (ce n'est pas au coeur de l'intrigue dans les romans feel good mais j'ai remarqué en voulant me penchant un peu plus sur ce sujet que ça y jouait tout de même un rôle important la plupart du temps), justement. Pour en revenir à mon propos, malgré la présence de quelques schémas narratifs inévitables avec ce type d'histoire qui, comme je l'évoquais à l'instant, fleurent généralement bon le romanesque et le fleur bleue, Angéline (quel joli prénom là encore !) Michel a su me conquérir grâce à son écriture pétillante, tout ce qu'il y a de plus rafraîchissante et chaleureuse à la fois (ce qui démontre à mon sens la complexité sous-jacente et la beauté de sa plume), d'une sincérité désarmante, touchante et grandement appréciable qui donne à ce récit beaucoup moins prévisible et mièvre, naïf, qu'il ne peut l'y paraître de prime abord tout son sel et son supplément d'âme. Je dirais que ce que je retiendrai le plus du Goût du Bonheur, c'est qu'il m'a donné le besoin irrépressible de croire de toutes mes forces en ce qu'il me racontait, à savoir une histoire d'amour sous toutes ses formes extraordinaire imprégnée d'une gaieté et d'un romantisme à l'état pur qui me semblaient avoir disparu à tout jamais. A tout le moins, qui me paraissaient avoir été dilués, presque décolorés, dans la morosité et la noirceur de notre présent. Angéline Michel est parvenue à me prouver avec un aplomb sans failles qu'il n'en était rien en m'offrant à lire un roman à la lumière aussi éblouissante, douloureuse que salvatrice. Pourquoi, douloureuse ? Tout simplement parce que le plus difficile, ce n'est pas d'appréhender ce qui est le meilleur pour nous mais d'agir, de laisser le rêve prendre le pas sur l'implacable (en apparence seulement, l'autrice me l'a bien fait comprendre) réalité. En clair, j'avais besoin qu'Angéline Michel éclaire ma lanterne sur comment vaincre les ombres qui menacent à chaque seconde de submerger nos existences à tous, mais il n'empêche que cela fait mal dans un premier temps. le réveil fut effectivement très dur et, même si la partie est loin d'être terminée en ce qui concerne ma victoire face à mes propres ténèbres, le Goût du Bonheur m'a rappelé à mon optimisme premier et à tous ces petits bonheurs qui parsèment le chemin de notre vie et qui nous donnent l'insatiable désir de voir un autre jour se lever encore.

Pour vous parler un peu plus de la délicieuse écriture de l'autrice, ce qui m'a aussi immensément séduite à ce niveau-là, c'est l'indéniable évidence de tout l'amour débordant qu'Angéline Michel porte à ses "enfants" d'encre et de papier. Cela se sent définitivement qu'elle ne leur souhaite rien de moins que tout le bonheur et l'or du monde et elle leur en fait cadeau avec une tendresse et une justesse infinies. Valentina et Laure, les deux irrésistibles héroïnes solaires de ce récit, ne rechignent jamais à la tâche. Elles se tracassent souvent (comme je me reconnais bien dans ce trait-là de leurs personnalités respectives - et dans beaucoup d'autres, d'ailleurs !), vont devoir prendre des décisions semblant être difficiles au commun des mortels, y compris bien entendu à elles mêmes, mais qui sont en réalité bêtes comme choux (il suffit de suivre la voie/voix de son coeur - plus facile à dire qu'à faire, j'en ai parfaitement conscience), et elles vont faire cela progressivement, en prenant en effet petit à petit la peine d'écouter leur être intérieur tout en restant fidèles à leurs principes. Vous l'aurez compris, rien n'est jamais véritablement facile. Néanmoins, quand on fait son petit bonhomme de chemin avec le sourire et toujours la main tendue vers les autres, il ne peut nous arriver que du bon. Tout est question de patience et d'efforts, c'est ce que les parcours très différents l'un de l'autre mais amenés au bout du compte à ne faire qu'un de Laure et Valentina nous enseignent, entre autres choses. Ce qui est certain, c'est que le coeur d'Angéline Michel déborde d'amour pour chacun des nombreux personnages de ce récit hors du commun et que cette déferlante de douceur, d'espièglerie et de bonté est purement et simplement contagieuse. Au fond, je dirais que mon seul minuscule regret avec le Goût du Bonheur concerne son côté "dépaysement", ou ce qui m'avait justement le plus attiré quand j'avais lu le communiqué de presse réalisé pour sa promotion. J'aurais effectivement aimé des descriptions plus poussées et en longueur des deux lieux de vies de nos adorables héroïnes, en particulier de la Maddalena, le coin de Sicile si idyllique où vit notre superbe Valentina et le meilleur chien du monde, j'ai nommé Ferdinand. Je pense que j'aurais aimé que ce livre soit beaucoup plus porté sur le contemplatif comme cela avait pu être le cas avec La Maison au bord de la nuit de Catherine Banner qui nous dépeint avec moult détails méticuleux la magnificence de l'île Santa Lucia, en Sicile toujours. Après, si Angéline Michel avait procédé de cette manière, on aurait totalement perdu l'intérêt du roman feel good qui est d'avancer rapidement dans l'intrigue sans s'appesantir et avant toute chose sans se prendre la tête. Et puis, ce livre m'a permis de découvrir l'exceptionnel archipel qu'est La Maddalena en effectuant les recherches adéquates pour en apprendre beaucoup plus sur cet authentique paradis sur Terre et c'est tout ce qui compte !

Pour conclure, je dirais que le Goût du Bonheur est un livre qui porte décidément bien ce nom. Ce premier roman signé Angéline Michel est à mes yeux une très jolie réussite qui m'a définitivement mis des étoiles plein les yeux et des rêves plein la tête. En outre, cette parution sous le signe du courage, de la persévérance, de la bonne humeur et de la joie de vivre nous donne une sacrée leçon de vie et respire la positive attitude à plein nez. Pour ma part, il m'a permis de déstresser un bon coup juste avant ma rentrée en master 1 (une nouvelle grande étape de ma vie de jeune femme qui s'annonce !) et cela m'a fait un bien fou. de quoi me remettre sereinement sur les rails d'une quatrième année d'études intensives qui commence et que je suis désormais d'autant plus impatiente d'attaquer ! L'obstination et les encouragements l'une envers l'autre de Laure et Valentina auront eu raison de moi. Et ne me demandez pas pourquoi, mais je suis persuadée qu'Angéline Michel est à l'image de ses héroïnes de choc, aussi vivante, enjouée et avenante ! A défaut de rencontrer les fantastiques habitants de la Maddalena, j'adorerais la rencontrer ! Encore un rêve à inscrire sur ma checklist des choses à absolument faire longue comme le bras ! Mais ce sont toutes ces petites/grandes espérances qui nous rendent encore plus pressés de vivre intensément fort et de croquer la pomme à pleines dents, n'est-ce pas ?
Lien : https://lunartic.skyrock.com..
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Feel good ce premier d'Angéline Michel, LE GOUT DU BONHEUR, qui doit paraître le 13 mars 2019 aux Editions J'ai Lu inédit.
Ce roman m'a été adressé par l'Editeur dans le cadre de la Masse Critique de Babelio et je les en remercie.
Nous commençons par un duo dans lequel interviennent :
- Laure, Britannique de 25 ans, qui débute comme journaliste événementielle au « Come on London ». Elle y rencontre ses nouveaux collègues dont Lucy, quarantenaire, et Bridget un peu plus âgée qu'elle et qui partage le même poste. Elles vont devenir complices et partager les sujets, Laure réussira, par son talent de journaliste, à décrocher un emploi en CDI.
- Valentina, qui vient de fêter ses 30 ans est serveuse en Sardaigne, elle vit heureuse en compagnie de son chien, Ferdinand et de ses amis Nikola, Isa et Mauro. Au cours d'une promenade sur la plage, elle trouve une bouteille dans laquelle une carte est enroulée, c'est le début d'un jeu de piste ou chasse au trésor qui au fil du temps sera dévoilé.
Un jour Mauro rentre de Londres et montre une étrange photo à Valentina.
On va se poser des questions : Qui est ce personnage sur photo ? Où les indices vont-ils mener Valentina ? A vous de le découvrir quand vous lirez ce livre. Je ne peux pas vous dévoiler la fin.
Comme je l'ai dit plus haut c'est très feel good, en le lisant je n'ai pas ressenti de sensation particulière, je ne sais pas dans quelle catégorie le classer, peut-être une comédie romantique ? C'est facile à lire, on devine aisément la suite, le bonheur qui en fait le titre est omniprésent. J'y ai relevé une erreur l'âge des héroïnes est-il 25 ou 30 ans ?
En un mot je n'ai pas été fascinée par ce bouquin. J'ai une excuse, je n'aime pas beaucoup ce genre de lecture. Malgré tout l'auteure, qui débute, fait preuve d'une écriture fluide, c'est bien rédigé. Ca se lit facilement mais, à mon avis ça manque d'actions, de rebondissements, de mouvements.
Je pense que le style de l'écriture d'Angéline Michel va lui permettre de s'améliorer avec le temps et l'habitude, je suis prête à lire son prochain roman pour pouvoir évaluer ses progrès.
Je recommande ce roman à tous ceux qui aiment les livres faciles à lire.
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Le Goût du bonheur porte magnifiquement bien son titre. Ce feel-good à l'histoire fraîche vous mettra de bonne humeur. L'écriture est agréable et les pages se tournent naturellement. Les personnages, peu nombreux, sont attachants et bien travaillés. Valentina et Laure sont deux femmes de caractère, indépendantes, qui donnent une image très positive de la femme moderne. L'intrigue, tantôt placée à Londres, tantôt se déroulant dans une petite île italienne, alterne le monde du travail très urbain et celui détendu du soleil et de la Méditerranée avec un dosage parfait.
Le Goût du bonheur est le premier roman d'Angéline Michel. Je remercie les éditions J'ai Lu et Babelio pour m'avoir permis de découvrir ce livre en avant-première grâce à une opération “masse critique”. N'ayant jamais lu de feel-good, j'ai eu une très agréable surprise et je pense que nous avons besoin, de temps en temps, de romans sympathiques qu'on doit lire sans exigence particulière, et qui font du bien (d'où le nom “feel-good”).
Bref, une réussite ! le roman sera disponible en librairie à partir du 13 mars 2019, je vous invite à vite le découvrir pour passer un agréable moment en compagnie de Laure, de Valentina et de son chien, Ferdinand.

Plus de chroniques littéraires sur :
Lien : http://raisonlectureetsentim..
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
S’il ne me restait que quelques mois à vivre, que pourrais-je entreprendre pour qu’aujourd’hui compte vraiment ?
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Nous sommes beaucoup à courir après des futilités, et nous oublions que nous n’avons qu’une seule et unique vie. Combien de personnes se reveillent à 80 ans en se disant : pourquoi diable n’ai-je pas fait mieux que ça, j’ai travaillé comme un âne pour gagner e l’argent que j’ai dépensé bêtement, j’ai vécu près des amours de ma vie sans profiter d’eux. J’ai été de mauvaise humeur pour des broutilles, je me suis fâchée avec la famille pour des soucis d’ego mal placé…
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L’exposition avait été insipide. Les photos étaient fades, bonnes à égayer un calendrier de la poste. Pourtant, elle ne pouvait pas l’annoncer comme ça. C’était la première fois qu’elle était bloquée. Son instinct ne se manifestait pas. Elle luttait contre son envie de s’affaler dans son canapé et de regarder une comédie sentimentale américaine, juste pour faire le vide dans sa tête. Elle était usée. Pourtant, la fin de sa période d’essai arrivait dans quelques jours. Elle ne pouvait pas flancher maintenant.
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On m'a récemment fait découvrir le portrait chinois, je trouve que c'est un moyen ludique d'apprendre à se connaître, alors voici le mien :
Si j'étais un objet, je serais une boîte de thé en fer.
Si j'étais une saison, je serais le printemps.
Si j'étais un instrument de musique, je serais un piano
Si j'étais un plat, je serais un plat de pâtes aux scampis.
Si j'étais un animal, je serais mon chien Ferdinand.
...........................
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Il jouait de ses charmes, promettait monts et merveilles à ses conquêtes, mais ne tenait aucun engagement. Il était drôle, léger et ne savait pas ce qu'il attendait de la vie : bref, il était le meilleur ami idéal, mais cela s'arrêtait là.
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