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EAN : 9791028503871
266 pages
Leduc.S Editions (15/05/2017)
4.05/5   153 notes
Résumé :
Un chaton famélique est arraché des bidonvilles pour être transporté vers un somptueux sanctuaire par nul autre que le dalaï-lama. Ses yeux bleus, saisissants, découvriront bientôt tout de la vie du grand maître bouddhiste: une sagesse éternelle qui ne se révèle que dans les moments de grande tranquillité entre l'homme et l'animal. Vous suivrez le chat de Sa Sainteté tandis qu'il se frotte contre les vedettes de Hollywood, qu'il enseigne aux pieds des maîtres tibéta... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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sur 153 notes
De retour d'un voyage aux États Unis, Le Dalaï-lama patiente dans les embouteillages de New Delhi. Soudain, son regard est attiré par l'étrange trafic auquel se livrent deux enfants. Après avoir négocié la vente de quelques chatons, ceux-ci s'apprêtent à en jeter un qui n'a pas trouvé preneur. Sa Sainteté sauve, in extremis, une chatonne malingre qui, élevée dans le monastère du Jokhang devient vite une magnifique Himalayenne. de son poste d'observation sur l'appui de la fenêtre, elle assiste aux audiences privées et mûrit le projet d'écrire ses mémoires. Elle livre ainsi des anecdotes de sa vie de bouddhiste félin, auxquelles elle mêle des leçons de sagesse dont elle a bénéficié.
J'adore les chats. le bouddhisme ne me laisse pas indifférente. Et, justement, lors d'une opération Masse Critique sur Babelio, je repère l'ouvrage de David Michie. Par chance, quelques jours plus tard, il tombe dans ma boîte aux lettres. Je m'y plonge immédiatement.
Chogyan et Tenzin, les adjoints du Dalaï-lama, nomment leur protégée CDSS, « Chat de Sa Sainteté ».
Son histoire n'est, bien évidemment qu'un prétexte pour faire découvrir, de façon simple et sans pédanterie, les grandes lignes de cette philosophie à la mode.
J'ai reçu un format poche dont la couverture me déçoit. La « belle édition » offre la photo d'un véritable Himalayen, de la race de notre héroïne. le poche, malheureusement, a choisi un petit chat gris, très mignon, certes, mais qui ne correspond en rien au portrait de CDSS. Pourquoi ce changement ? Mystère.
Je découvre, au fil des pages, des entretiens que Le Dalaï-lama accorde à des personnalités connues. Elles ne sont jamais nommées, mais CDSS donne au lecteur des indices qui lui permettront de deviner leur identité. Hélas, à moi, ils ne disent rien. Cela m'énerve. Par exemple : « J'ai reconnu le visiteur au moment où il fit son entrée dans le bureau de Sa Sainteté. Il était, après tout, l'un des gourous du développement personnel les plus réputés dans le monde, et ce, depuis longtemps. Son visage apparaissait sur les couvertures de millions de livres et de DVD. Il avait fait la tournée des capitales du monde et il s'était adressé à des foules gigantesques dans les plus grands stades de la planète. Il avait ses adeptes parmi le gratin d'Hollywood, il avait rencontré des présidents américains et il faisait régulièrement des apparitions dans les émissions de variétés les plus regardées. »
La traduction de Martin Coursol n'est pas très bonne, ce qui ne manque pas de me perturber. Je passerai sur les nombreuses fautes d'orthographe (ainsi, bien que CDSS soit une chatte, les participes passés qui la décrivent sont, le plus souvent, accordés au masculin). Mais les tournures fautives, telles « Mme Trinci et le Café Franc ont reçu instruction de me servir que des demi-portions », voire carrément incompréhensibles, comme « N'est-il pas vrai que, de temps en temps, vous éprouvez un souci excessif quant à la façon dont vous vos vêtements aux autres ? » me dérangent et m'arrêtent dans ma lecture.
Certains passages m'ont causé de gros problèmes et j'ai éprouvé beaucoup de mal à les lire. Ils concernent la cruauté humaine envers les animaux qui, de plus en plus, me révolte, me bouleverse, me désespère. Ainsi, au début du livre, des enfants laissent tomber la petite chatte sur le pavé, puis, l'emballement tout simplement dans une feuille de journal, dans l'intention de la jeter comme un détritus. Je ne peux pas prendre de recul car cette situation se produit trop souvent dans la réalité.
Le pire, pour moi, est le moment où Franc, qui déteste les chats, s'apprête à projeter l'intruse loin de son café. J'en avais les larmes aux yeux, une boule dans la gorge. Y repenser me cause encore toujours un malaise, d'autant plus fort que la situation est vécue de l'intérieur : « La plupart des chats sont capables d'encaisser les chutes sans le moindre mal. Mais je n'étais pas comme la plupart des chats. Mes jambes de derrière étaient déjà faibles et instables. Un impact supplémentaire pourrait leur causer un tort irréparable. Serais-je encore capable de marcher ? »
Je n'ai donc pas du tout aimé le personnage de Franc, vaniteux, vantard, brutal, profiteur. Oui, par la suite, il accueille la chatte comme une reine, lui offre de friands morceaux, lui aménage un coin avec coussin en forme de lotus. Mais ce n'est nullement par gentillesse. CDSS n'est pour lui qu'une réclame vivante, susceptible d'attirer la clientèle. Il s'enorgueillira, devant chaque visiteur, de s'occuper du chat du Dalaï-lama, tout comme il est intarissable sur l'histoire de ses innombrables bénédictions ou porte un signe « Om » en diamant à l'oreille. Je ne l'aime pas, même après qu'il a fait son mea culpa, même après les efforts qu'il fournit pour s'amender.
En revanche, le livre nous offre, pour contrebalancer, toute une galerie de figures sympathiques et attachantes, comme Tenzin et Chogyal, ou, ma préférée, Mme Trinci, la cuisinière, qui offre à sa petite protégée, des mets plus délicats les uns que les autres et la serre sur son coeur avec une réelle affection.
J'aimais beaucoup le fait que la chatte se voie gratifiée de plusieurs noms (ce que chaque amoureux des félins ne manque pas de faire avec son animal, mais aussi, comme le racontait Philippe Ragueneau dans un de ses romans, parce que nos petits fauves visitent différentes personnes, qui, toutes, leur donnent des noms différents.) Bien entendu, mon favori est celui qu'utilise Sa Sainteté en personne : « petite lionne des neiges ».
Si je n'ai pas appris grand chose de nouveau à propos du bouddhisme, j'ai malgré tout vraiment apprécié de découvrir des leçons faciles et aisément applicables dans la vie de tous les jours par tout un chacun. Ce livre me rappelait « Le voyage d'Hector ou la recherche du bonheur » de François Lelord que j'avais beaucoup aimé.
Celui qui se dévalorise sans cesse apprend à acquérir de la confiance, celui qui se vante devient plus modeste, un couple donne un bel exemple en sachant profiter de l'instant présent. Quand ils dégustent leur café, ils le font en silence et en prêtant attention à leur breuvage, au lieu de se laisser distraire par l'environnement (c'est déjà ce que nous disait Montaigne au XVIe siècle!).
Enfin, pour ma part, je devrais appliquer ce précepte : « lorsque quelqu'un est fâché, le premier à souffrir, c'est lui. Une personne fâchée n'a l'esprit ni heureux, ni paisible. » « Nous devons également penser à l'impact que nous avons sur les autres. Quand nous disons des choses blessantes que nous ne pensons pas vraiment, nous pouvons créer des blessures profondes qui ne peuvent être guéries. » Avec mon fichu caractère, cela me ferait du bien d'y songer. Hélas, j'ai bien l'impression d'être irrécupérable. Je devrais apprendre par coeur ces pensées et me les réciter continuellement à la façon d'un mantra !
Cet ouvrage m'a donc beaucoup plu et je le conseillerais à tous ceux qui aiment les chats et veulent découvrir de jolies leçons de vie à méditer, sans devoir se prendre la tête avec des termes techniques pédants et incompréhensibles.
Je remercie une fois encore Babelio et son Opération Masse Critique, ainsi, bien sûr, que les éditions Leduc.S qui ont eu la gentillesse de me l'offrir.
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Avec son format mini et sa couverture noire ornée d'un superbe chat doré, cette édition est matériellement un véritable bijou. Son contenu peut avoir autant de précieuse valeur pour celui qui est intéressé par la philosophie bouddhique.

J'aime les chats et j'avoue que l'angle utilisé par l'auteur pour mettre en avant cette pensée est originale. Chaton recueilli dans la rue par hasard et par le chauffeur du Dalaï-lama himself, CDSS (chat de sa sainteté) est le narrateur de sa propre histoire. Comme au théâtre, cette belle minette de race himalayenne, assiste au quotidien du grand maître et à ses diverses rencontres de personnalités. Elle interpelle le lecteur aussi bien sur problèmes de félin (comme celui par exemple des boules de poils que tout chat connait bien), que sur la philosophie bouddhiste et sur sa façon très personnelle d'en appliquer les pensées à son propre vécu.
C'est assez amusant d'autant plus que chez elle, l'humilité nécessaire à sa fonction n'a pas encore réussi à effacer toutes traces de mauvaise foi et de prétention inhérentes à l'espèce féline. Dommage que certains passages (peut-être est-ce dû à la traduction ?) restent abscons au quidam des lecteurs. Mais peut-être est-ce mon empressement d'occidentale qui m'a rendu hermétique ?

Un livre à savourer très lentement pour profiter pleinement de l'initiation aux principes du bouddhisme.
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A travers les yeux d'un chaton adopté par le dalaï lama, l'auteur explicite quelques leçons de sagesse qui gagneraient à être appliquées par chacun pour améliorer son vécu. L'objectif avoué ? Donner les secrets du bonheur véritable. L'originalité du récit vient du fait que le chat, grâce à qui nous assistons à des audiences, tente d'appliquer ces leçons à son propre vécu.
Je ne suis pas convaincue par ce livre : d'une part l'artefact du chat m'a paru très artificiel même si l'idée est sympathique. Souvent, cette petite chatte relate des dialogues auxquels elle assiste, elle joue principalement un rôle de témoin, et récapitule, donnant possibilité à l'auteur de donner des leçons. Son rôle oscille donc en permanence entre la voix de l'auteur, le petit témoin et le cobaye expérimentant les mêmes déboires que tout un chacun. La voilà, par exemple, qui nous dit : «Je ne pouvais pas éviter de me rappeler mes propres sentiments d'insuffisance en matière de Dharma en général, et de méditation en particulier ». Cela m'a fait sourire d'imaginer mon chat tenir ce même discours… J'imaginais plutôt son dialogue intérieur comme : « Oh, je reprendrais bien une ou deux croquettes » ou encore « tiens voilà mon humain, je vais me faire gratouiller »
Sans doute ai-je déjà lu trop de livre de développement personnel pour être marquée par les leçons contenues dans ce livre, reprenant de grands principes maintenant bien diffusés dans nos cultures occidentales. Mais pour une sensibilisation ou pour les amoureux des chats, ce petit livre reste une sympathique introduction à des préceptes qui ne peuvent qu'aider dans la recherche du bonheur.
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Une excellente introduction au bouddhisme et au quotidien du dalaï-lama, au travers des yeux de son chat.

La narratrice féline est totalement crédible, avec son ton qui mêle raffinement distingué et instinct animal, ses tête-à-tête hilarants avec des chiens, et son amour passionnel pour la nourriture. On sent que l'auteur connait très très bien les chats, et qu'il les adore.

Le roman est une succession de petites leçons bouddhiques, entrelacées de pensées félines.
Le tout passe très bien et permet de s'initier un peu à cette religion.

Le livre baigne dans la sérénité, les sourires sages et les conseils bienveillants sur la manière d'adoucir sa vie.
Les chats semblent faits pour le bouddhisme, et le bouddhisme fait pour les chats !

Si je n'en ressors évidemment pas converti à cette religion, je la connais maintenant bien mieux, et ai gardé de côté quelques concepts qui pourraient m'être utiles.
Merci à Babelio & Leduc.s Éditions pour cette découverte !
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Un livre absolument délicieux à offrir à tous les amoureux des chats et à tous ceux qui souhaitent découvrir le bouddhisme : c'est une jolie petite chatte de race himalayenne qui s'exprime, raconte sa propre histoire, nous dit comment elle est devenue la plus fidèle compagne de l'un "des plus grands leaders spirituels du monde et un Prix Nobel de la paix".
Recueillie à un moment critique de sa jeune vie par Sa Sainteté le chef spirituel du Bouddhisme Tibétain, elle devient le CDSS (Chat de Sa Sainteté), partage sa vie quotidienne ainsi que celle de ses moines à Dharamsala, petite ville du nord de l'Inde où se trouve le monastère qui les accueille depuis leur exil (1959).

Dotée d'yeux saphir et d'un pelage somptueux, CDSS adhère facilement à ces deux désirs communs à tous les êtres sensibles et édictés par le dalaï lama : celui de vivre heureux et celui d'éviter les souffrances.

Avec beaucoup d'humour, le petit félin qui se divertit du "théâtre des humains" nous explique à la fois le monde des chats, la vie d'un Bouddha vivant et la religion/philosophie bouddhiste ; surnommée "petite lionne des neiges" par son maître adoré, la coquine va grandir, découvrir le monastère dans son ensemble et ... rencontrer un autre chat.

L'importance d'une simple vie et le devoir de la protéger, la grandeur de l'amour bienveillant, l'intérêt d'apprendre de ses erreurs, la force puisée dans la méditation, l'inutilité de la culpabilité ; la petite chatte comprend tout et nous le distille avec finesse et espièglerie !
Beaucoup de citations, on aimerait toutes les noter, sont à la fois réjouissantes et apaisantes ; pour n'en citer qu'une " À certains moments de notre vie, notre propre lumière s'éteint et se rallume par l'étincelle d'une autre personne. Chacun d'entre nous doit une profonde gratitude à ceux qui ont allumé la flamme en nous." (Citation attribuée à A. Schweitzer, p 267)

Suivons le CDSS dans ses tribulations et découvertes diverses, et essayons de trouver, nous aussi, les secrets du bonheur véritable !

Extrait (p 10) : " ...elle s'est avancée vers moi pour me flatter le cou, geste que j'ai accepté avec un énorme baillement et un léger étirement de mes pattes avant. Je ne savais pas que vous aviez un chat ! s'est-elle exclamée. Je suis toujours étonnée de voir à quel point les gens lui font si souvent la remarque - bien que tous ne soient pas aussi spontanés que les Américains dans leur façon d'exprimer leur étonnement à pleine voix. Et pourquoi Sa Sainteté ne devrait-elle pas avoir un chat - si "avoir un chat" est une juste compréhension de notre relation ?

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Citations et extraits (61) Voir plus Ajouter une citation
Je suis, cher lecteur, un vrai glouton.
Je sais, je sais, c'est dur à croire, hein ? A me regarder avec mes allures de boîte de chocolat et mes yeux bleus sophistiqués, on ne penserait pas ça de moi, n'est-ce pas ? Mais mon poil lustré cache un estomac qui, dans le passé du moins, était trop grand pour être sain et me tenait en esclavage.
Je ne suis certainement pas fière d'avoir été à ce point dépendante de la nourriture. Y a-t-il une culture sur Terre qui admire le mangeur insatiable, le sybarite ou l'hédoniste sans-gêne ? Mais avant que vous ne sautiez aux conclusions, laissez-moi vous demander ceci : avez-vous déjà essayé d'imaginer à quoi pouvait ressembler la vie dans la peau d'un chat ?
Aucune fébrilité à l'idée de humer le premier café de la journée, quelque chose que je peux voir sur le visage des clients, le matin au Café Franc. Pas plus que le plaisir à se délecter, les yeux fermés, de cette première gorgée de sauvignon blanc à la brunante. Nous, les chats, n'avons aucun accès à des substances pouvant servir à améliorer l'humeur au quotidien. A l'exception de l'herbe à chat, il n'y a aucun refuge pharmaceutique pour soigner notre ennui, une dépression, une crise existentielle, ou même un mal de tête quotidien.
Tout ce que nous avons, c'est la nourriture.
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Des boules de poils. Peu de choses peuvent être plus désagréables que celles-là, n'en convenez-vous pas, cher lecteur ?
Allons, allons ! Nul besoin de jouer l'innocent avec moi ! Juste parce que vous êtes humain ne signifie pas que vous êtes immunisé contre le narcissisme. N'est-il pas vrai que de temps en temps vous éprouvez un souci excessif quant à la façon dont vous vous présentez aux autres ? Que vous êtes obsédé par vos vêtements, vos chaussures, vos parures et votre hygiène, lesquels ont bien plus à voir avec l'image que vous souhaitez projeter qu'avec de simples considérations pratiques ?
(...)
Si à la lecture de ces quelques paragraphes une boule se forme dans votre gorge, alors vous comprendrez très certainement la vexation qui a trait aux boules de poils. Sinon, vous êtres clairement un être plus équilibré que la plupart des gens, et dans ce cas, je m'excuse d'avoir mis en doute votre caractère. Par ailleurs, vous n'aurez probablement pas besoin de lire ce chapitre non plus, alors je vous suggérerais même de passer au suivant
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Dans le bouddhisme, poursuivit le lama en penchant la tête vers l'arrière en guise de provocation, nous dirions que vous êtes paresseux. [...]
- Se dénigrer soi-même, penser que l'on est pas assez bon, dire "Je ne peux pas faire ça ", c'est un esprit de faiblesse. Vous devez travailler pour le surmonter.
- Ce n'est pas une question de choix, protesta Sam faiblement.
- Alors vous devez choisir de surmonter cet état d'esprit. Qu'arrivera-t-il si vous continuez de vous en remettre à un esprit faible ? Vous nourrissez votre faiblesse. Le résultat en sera un esprit encore plus faible dans l'avenir. Au lieu, vous devriez cultiver la confiance en vous !
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A certains moments de notre vie, notre propre lumière s’éteint et se rallume par l’étincelle d’une autre personne. Chacun d’entre nous doit une profonde gratitude à ceux qui ont allumé la flamme en nous.
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N'était-ce pas Winston Churchill qui disait qu'un chat est une devinette, à l'intérieur d'une énigme, à l'intérieur d'une exquise fourrure de tendresse ? Non ? J'aurais pu jurer avoir récemment lu quelque chose à cet effet dans un article à son sujet. Et s'il ne l'a pas dit, il l'avait presque assurément pensé. Wikipedia devrait en être informé sur-le-champ !
Et ensuite, il y a Albert Einstein qui disait, me semble-t-il, que la musique et les chats étaient la seule échappatoire aux affres de la vie. Notez qu'au sujet des autres espèces d'animaux domestiqués, le plus grand penseur du XXe siècle est demeuré curieusement coi. Je vous laisse le soin, cher lecteur, d'en tirer vos propres conclusions.
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