Ce sont les parents de 11 chiots, et finalement 101 doivent être adoptés, tous menacés de la même façon.
Enlevés par deux gros niais, des canailles (et non "Can I?") qui servent d'ersatz de nounous, mais qui ne travailleraient pas dans l'intérêt des parents mais dans l'intérêt d'une Cruella qui en a après leur peau.
D'où l'angoisse des parents évidemment, qui pensent perdre leurs petits, et l'angoisse des enfants, qui s'imaginent déjà le génocide des 101 petits en écoutant cette histoire.
Et en plus, comme toujours, cela semble une bonne amie qui aide à l'enlèvement? Ça je n'en sais trop rien, en fait il y a toujours deux sens à un symbole, et on ne peut jamais affirmer quoi que cela soit : ça aussi ça fait partie de l'enlèvement de tous ces petits mozarts qu'on assassine.
Mais revenons à nos moutons, c'est-à-dire au sujet, car le hors sujet est sanctionné en France et seuls les experts peuvent le risquer, à partir de mots comme "comme" justement (et ne pas écrire "come", qui n'est pas français les petits).
Alors, dans ce sujet, le choix de la race de chiens : les dalmatiens.
Ouvrez vos livres, la Dalmatie est une région réelle qui existe vraiment.
Je le sais. Par contre, je ne sais plus où elle est, cette région, quelque part en Europe, plus à l'Est que la France ne l'est en Europe, en tout cas.
Comme exemple encore, je peux vous dire que le LOULOU de POMERANIE vient donc de Poméranie, une région dont on parle en histoire, je ne sais plus quand exactement.
Ou comment apprendre l'histoire par l'histoire des chiens.
En effet, le Dobermann est un chien allemand, je crois qu'il a été créé pendant la guerre. le chien qui appartiendrait à un homme nommé Dober? Je ne sais pas non plus la cause du choix du nom.
Il y a moyen de s'intéresser à tout, j'avais rencontré un enfant lorsque j'étais petite dont la passion était les plaques de voiture. Tout est utile, toutes les spécialités. Il y a toujours un moyen de trouver un emploi adapté à ce que l'on sait. Avant qu'il ne soit trop tard, et que ce ne soit que vous-même qui deveniez le chien de je ne sais quelle maison dont vous ne pourriez plus partir, pour cause de collier impossible à briser.
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Petite j'aimais bien cette histoire.
Je viens de la relire à mon loulou il adore également 😊.
Je me souviens encore de cette peur ressentie pour les dalmatiens.
Cruella est et reste toujours terrifiante...
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Enfant, je trouvais le personnage de Cruella tout simplement terrifiant. C'est sans doute la "méchante" imaginée par Disney qui était la plus crédible et qui donnait le plus froid dans le dos. L'histoire des petits dalmatiens était également touchante, mais je soupçonne que je me serais sentie beaucoup plus concernée et beaucoup plus impliquée s'ils avaient été des chats! Déjà à l'époque, j'avais de grandes préférences quant aux animaux présentés dans les différents contes de Disney.
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Certainement l'un de mes Disney préférés. Une histoire simple mais accrocheuse et vraiment mignonne avec tous ces chiots. Un peu effrayante aussi peut-être pour les plus petits avec l'horrible Cruella... Heureusement cela est compensé avec énormément d'humour et une belle preuve de solidarité pour retrouver les chiots de Perdita et Pongo. Cela en fait une histoire aussi sympa à lire qu'à regarder en dessin animé.
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"Bonté divine ! Auriez-vous invité des chiens noirs pour Noël ?"
"Oh! Ce sont eux! " s'écrie Anita, en brossant un peu la suie du dos de Perdita. Puis des chiots.
"Regarde, Roger! Nous voilà avec 99 petits !"
"Ca ne fait rien", dit Roger tout heureux.
"Gardons-les tous ! Et, pour les loger, nous achèterons une grande maison à la campagne !"
À Londres, ce matin-là, le soleil s'est enfin décidé à sortir de sa cachette.
"Quel temps superbe ! C'est un jour à faire des bonds et des cabrioles au parc !" se dit Pongo.
Mais Roger, son maître, compose de la musique et travaille beaucoup : alors Pongo passe son temps, la truffe collée à la fenêtre, à regarder les passants.
"Perdita et Pongo sont très fiers de leurs quinze bouts d'choux. Ils ont beau se ressembler comme deux gouttes d'eau, ils ont chacun leur caractère."
_ Neuf, annonce Nanny.
_ Non, onze, crie Anita.
_ Treize maintenant, corrige Nanny.
_ Non, quinze, surenchérit Anita.
Quinze petits?! Pongo ne se tient plus de joie et de fierté.
- Tout le monde est là ? interrogea anxieusement Pongo, tous les quinze ?
- Plus du double, papa, dit Lucky, maintenant nous sommes quatre-vingt-dix-neuf !
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