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EAN : 9782081489240
256 pages
FLAMMARION / Versilio (29/01/2020)
3.34/5   37 notes
Résumé :
Dans son nouveau livre, le philosophe Fabrice Midal décrypte 40 citations inspirantes de penseurs, d’écrivains, de peintres ou de poètes pour inviter les lecteurs à penser autrement
et redevenir humain.

Une expérience inédite et profonde de philosophie et de méditation.
Que lire après 3 minutes de philosophie pour redevenir humainVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Il y a des livres, des films, des séries, qui squattent nos envies… Je n'ai pas toujours le budget/le temps/l'opportunité de céder à ces appétits malgré mon pseudo, pourtant je n'oublie pas une oeuvre que j'ai eu un jour l'intention de découvrir. L'ouvrage qui nous occupe aujourd'hui en fait partie. Lors de sa sortie, il y a presque un an et demi, j'avais remarqué ce titre un brin racoleur et sa couverture jaune. Bon, pour être tout à fait franche, ami-lecteur, l'estampille « France Culture » me rassurait car ce 3 minutes de philosophie pour redevenir humain me semblait trop très vendeur et je me suis parfois fourvoyée dans mes choix à cause de telles stratégies commerciales… Je n'écoute pas France Culture – et parce que j'aime bien te raconter ma vie, je prends le temps de te dire que je suis une fidèle de France Inter – donc j'étais complètement passée à côté des chroniques de monsieur Midal, diffusées en 2019 et sources du présent livre.

J'avais donc repéré l'objet et c'est pour cela que lorsque je l'ai croisé à la bibliothèque de ma ville, je l'ai emprunté dans la seconde. Il faut dire que le résumé donne envie...

Disons tout de suite les choses, je ne connais pas Fabrice Midal. Depuis ma lecture j'ai toutefois découvert un peu qui il était. Enfin, de manière tout à fait superficielle puisque je sais seulement qu'il est philosophe et fondateur de l'École occidentale de méditation qui propose une approche laïcisée de la méditation bouddhique. Voilà pour la présentation…

Au terme de cette lecture, je dois avouer ma déception. Non, en vérité, ami-lecteur, c'est bien plus qu'une déception… Au fil des chroniques, les agacements se sont enchaînés comme les pirouettes d'une danseuse. Monsieur Midal propose un principe simple : une citation, pas seulement de philosophes mais d'artistes et de penseurs variés, puis il nous livre son interprétation et de quelle manière cette réflexion peut nous aider dans notre vie. Il termine chaque article avec un sujet de méditation qui découle de la citation en question.

Chouette idée, non ? Sur le papier, oui. En tout cas ça m'aura permis d'apprécier au moins les citations et c'est toujours ça… Il faut dire que la première chronique m'a énervée. Sur la très belle citation de George Orwell « Être humain signifie essentiellement que l'on ne recherche pas la perfection », l'auteur nous explique plein de trucs sur l'humanité de nos imperfections et sur nos émotions. Bien... Sauf qu'après il nous offre une digression assez longue sur la littérature (page 15) :

Les mauvais écrivains restent à la surface des sentiments. Parfois même, ils nous asphyxient avec leurs promesses mensongères de bonheur. Contrairement à une idée reçue, les premiers sont mus par une infinie tendresse qui leur permet de regarder l'être humain dans toutes les dimensions, tandis que les autres n'y ont tout simplement pas accès. Au fond, ils ont peur. Ils ont peur de la vraie vie. Ils ont peur de leur coeur.

Je ne dois pas me cacher la vérité ami-lecteur, à en croire monsieur Midal, je suis incontestablement un mauvais écrivain. Non pas que j'ai "peur de mon coeur", ou que je sois incapable de voir l'humanité dans toutes ses facettes mais simplement parce que je choisis de faire du divertissement – ô mon dieu Alter', quelle vulgarité ! Quelle indignité ! Quelle infamie ! -. Que l'auteur ne comprenne pas la beauté et la noblesse de raconter des histoires pour le plaisir, je peux l'admettre, c'est sa condescendance que je trouve risible…

Après ça, j'ai fait une petite pause dans ma lecture, histoire de ne pas mal-lire sa prose. Il me fallait prendre du recul pour ne pas juger de la suite à l'aulne de ce qui m'a tant agacée dans ce passage.

Hélas, à ma reprise, les choses ne se sont pas complètement arrangées. Il multiplie les injonctions et continue à se poser dans la posture de celui qui sait face à l'ignorant, ainsi page 52, "Cette approche vous rendra plus heureux". Curieux pour un philosophe d'être ainsi persuadé de détenir la vérité… Plus loin, il écrit même : « Vous avez découvert le chemin le plus direct pour retrouver la joie d'être ». On en parle, du piège des certitudes ?

Cet orgueil va loin puisqu'il semble tenir toute la société dans son mépris, ainsi :

Pour nous, les héros sont ces hommes auxquels rien ne résiste, ces femmes qui ont un boulot de rêve, qui passent d'un avion à l'autre avec un brushing parfait…

Je ne suis pas naïve au point de ne pas penser que beaucoup fantasment ce genre de vie… Pourtant je ne crois pas que les gens les voient comme des héros, seulement comme une sorte de vie facile dans laquelle les soucis n'auraient pas de prise. N'oublions tout de même pas que l'Abbé Pierre a été élu seize fois personnalité préférée des français (et le Commandant Cousteau, encore plus). Mais peu importe, son mépris ne semble pas avoir besoin de preuves pour se manifester.

Si certaines des idées présentées par Fabrice Midal sont bonnes et pleines de bon sens, le ton qu'il emploie m'a donné envie de hurler. Je n'aime pas les donneurs de leçons. Surtout que dans l'Avant-Propos, il précisait :

L'expert veut qu'on l'écoute et obéisse à ses consignes. le philosophe vous invite à pense par vous-même.

du coup, monsieur l'expert, je note de retourner lire Marc-Aurèle ou Spinoza si je veux profiter de philosophie…

Enfin, l'auteur ne cesse de faire référence à une sorte d'ennemi, sans forme est sans nom :

Je suis frappé que la plupart des discours, sociaux, politiques, religieux, nous enjoignent à éteindre cette brûlure. Ils cherchent à nous rendre calmes, performants et soumis. (Page 38)

Ou encore :

C'est pourquoi plus on explique aux gens qu'il fait être calme, détaché, plus on leur apprend l'impuissance...

Mais QUI bordel ?! Qui tient ce genre de propos? Ça me fait plutôt penser à ceux qui comprennent mal ce que nous proposent certains philosophes ou méditants. Oui, on nous offre de ne pas nous attacher aux émotions, non pas dans le sens de ne plus ressentir et encore moins dans le but de ne plus agir mais dans l'optique de mettre un espace entre le ressenti et l'action. Ne pas être en réaction pour choisir ce qui permettra de faire avancer les choses. Si je tombe sur un post qui explique que tel enfant est mort de maltraitance, je vais être indignée. Quel sera mon premier réflexe ? Mettre un commentaire larmoyant pour partager mon émotion ? Je ne vois pas ce que ça apportera. Par contre, prendre le temps de réfléchir et choisir d'utiliser mon indignation pour trouver une association contre les violences domestiques et m'y investir, voilà qui a de la pertinence…

Il est vrai que la forme des chroniques proposées, très courtes, ne permet guère les nuances et sans doute que la pensée de monsieur Midal en pâtit… Hélas, il ne cherche pas à nous faire accoucher de la vérité, tel la maïeutique de Socrate. Non, il tente de nous l'arracher brutalement avec un scalpel. Et les processus sanglants ne m'intéressent pas… Alors la prochaine fois que je croiserai un ouvrage de ce monsieur, je passerai mon tour...
Lien : http://altervorace.canalblog..
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Fabrice Midal est un philosophe français, qui est né le 29 septembre 1967 à Paris. Plutôt mauvais élève dans son enfance (d'après ses interviews), il découvre la philo l'année du bac et c'est une révélation. Il suit les cours de Marcel Conche à la Sorbonne. En 1999, il soutient une thèse de doctorat en philosophie portant sur le sens du sacré dans les oeuvres d'art moderne.
En 2006, il fonde l'École occidentale de méditation afin de diffuser un bouddhisme d'Occident, laïcisé, en pratiquant notamment la méditation sans dimension religieuse.
Pendant l'été 2019, il anime une chronique sur France Culture : « 3 minutes de philosophie pour redevenir humain ». Ce livre reprend les citations des philosophes évoquées au cours de ces émissions ainsi que les méditations que l'auteur suggère à ses auditeurs/lecteurs.
J'ai été attirée par le titre du livre, pensant y trouver des phrases de philosophes décortiquées. Ce fut donc mon choix de "Masse critique" et je l'ai gagné. Mais j'ai finalement trouvé ce livre un peu "superficiel", les méditations proposées étant très courtes; il s'agit davantage de pistes de réflexion qui m'ont fait penser à de la "philosophie pour les nuls". L'intérêt est de survoler en phrases courtes la pensée de grands philosophes (Héraclite, Andréas-Salomé, Goethe, Erasme, Kant, Rilke, Weil...) puis de méditer. le travers est de ne creuser aucun sujet mais c'est sans doute le format qui le veut. En résumé, cet ouvrage se laisse parcourir mais plaira surtout aux inconditionnels de l'auteur.
Je remercie néanmoins Babelio et l'éditeur pour leur envoi et cette découverte.
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Le titre de ce recueil de petites chroniques (issues d'une émission de France Culture, que je ne connais pas) est, à mon avis, très mal choisi. En effet, il va à l'encontre des préceptes philosophiques qui voudraient que nous soyons tous humains quelques soient nos défauts, nos failles et nos faiblesses, et donc qu'on n'ait pas à le « redevenir » ! le principe est pourtant simple ; quarante citations d'artistes ou de philosophes suivies chacune d'une explication de texte de l'auteur. de fait cela ressemble à une sorte de bouquin « feel good » ou de développement personnel, légèrement honteux, je m'y suis néanmoins « retrouvé ».
Car parmi ces citations il y en a de particulièrement bien choisies et qui me « parlent » plus que d'autres (et certainement que ces autres vous parlerez à vous). Page 122 pour expliquer une phrase de Simone de Beauvoir : « Vous avez un doute. En réalité, ce que vous prenez pour une difficulté est une chance. Car si vous hésitez, c'est que vous êtes libre ». Plus loin Héraclite nous confirme que le combat est salutaire et qu'il n'est pas (forcément) synonyme de violence. Lorsque G. Flaubert écrit « La bêtise consiste à vouloir conclure » F. Midal ajoute p.219 « Pour changer, il faut apprendre à habiter l'incertitude ». Et pour finir, ces deux punch-lines, la 1ère d'Henri Michaux, la seconde de Goethe ; « Avec tes défauts, pas de hâte. Ne va pas à la légère les corriger. Qu'irais-tu mettre à la place ? » et, « C'est pour savoir où je vais que je marche ». Pour moi c'est pareil, alors je m'en vais de ce pas souple et léger qui me caractérise ;-) et je vous dis ; Allez, salut.
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C'est un livre qui se lit lentement, chapitre par chapitre ou plus exactement citation par citation.
Fabrice Midal ouvre chaque chapitre avec une citation, d'un auteur, d'un philosophe, un scientifique ou encore un poète. A partir de cette citation, il propose en quelques pages et de façon très simple non seulement une explication du sens profond de la citation, mais aussi de la rapprocher avec des situations de la vie de tous les jours et enfin il termine avec une "méditation" en lien avec le message de cette citation. Cette méditation est plutôt une réflexion, une invitation à penser, à s'approprier cette phrase et à lui donner un écho plus personnel.
A travers cet ouvrage, j'ai découvert de nombreuses citations que j'ignorais et qui sont plus que pertinentes. J'ai vraiment apprécié les éclaircissements, les rapprochements avec le quotidien et les conseils de Fabrice Midal. Parfois, la citation parait très conceptuelle et l'auteur parvient facilement à la rendre accessible et pragmatique. Sans tomber dans la facilité ou la simplification.
Les parties qui m'ont le moins convaincues sont les méditations qui viennent conclure les chapitres. Je les trouvais parfois un peu déconnectées, parfois un peu tirées par les cheveux. Mais je pense que c'est très personnel et lié au moment de lecture. Cela dépend de l'état dans lequel on est, et de ce qu'on souhaite faire de son moment de lecture.
Ce livre est une très bonne surprise. Un livre à garder, jamais loin, pour le lire petit à petit et souvent. Je ne peux que recommander de lire citation par citation. Comme une petite méditation: s'accorder un moment de calme, de pause avec soi-même pour s'imprégner de la citation, de son message et suivre l'exercice proposé par l'auteur.
Un grand merci à Babelio et à Flammarion de m'avoir permis de lire ce petit manuel de philosophie quotidienne.
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J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une Masse Critique Babélio. Tout d'abord, merci à Babélio et aux éditions Flammarion / Versilio pour cette opération promotionnelle intelligente qui sert les désirs dès lecteurs compulsifs et curieux.
Désolé mais je n'avais jamais rien lu de Frédéric Midal, et je n'ai donc pas de point de comparaison ente ses ouvrages. Néanmoins, je m'intéresse à la philosophie et à ses déclinaisons pratiques pour nos pensées et notre vie quotidienne, tant sur le plan professionnel que personnel. «  La philosophie nous bouscule. Elle ne nous laisse pas tranquille; elle nous réveille et nous éclaire. C'est pourquoi nous en avons si profondément besoin. » Frédéric Midal
Ce livre expose à l'analyse philosophique 40 citations d'auteurs connus ou moins connus, et propose des méditations liées à l'idée ou au thème évoqué. L'analyse faite par l'auteur est très personnelle et je n'ai pas forcément adhéré à toutes. de même certaines citations convoquent plus de réflexion que d'autres. Chacun y trouvera matière à penser en fonction de son propre vécu.
Après avoir lu ce livre d'une traite, je reprendrai certaines citations pour glaner et approfondir certaines d'entre elles, les plus inspirantes, qui nous touchent plus que d'autres. Chacun lira ces phrases avec une approche différente.
En conclusion, une bonne source d'inspiration pour nos actions quotidiennes. Petit bémol, alors que l'auteur fustige les experts, nous le sentons quelquefois prompt à affirmer ce qu'il pense et ce que nous devons en retirer. C'est souvent la limite des propos des gourous qui hantent les émissions de radio et télévision pour nous apprendre à vivre mieux. Je ne suis pas sûr de lire d'autres ouvrages de cet auteur.
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Citations et extraits (92) Voir plus Ajouter une citation
Il ne suffit pas de rester ouvert en cheminant, mais de découvrir que le sens de ce que je fais ne se dévoile qu’en m’y engageant. Si je choisis de faire tel métier, c’est peu à peu, à l’épreuve du réel, que je vais découvrir ce qu’il m’apporte. Si je décide d’écrire un livre, c’est en m’y consacrant que je vais comprendre le sens de ce travail.
Quand je suis fixé sur mon but, le chemin devient fastidieux. On n’a qu’une envie : qu’il soit fini, que l’on soit arrivé enfin à destination. C’est dommage ! Je manque tout ce que je pourrais y apprendre. L’intérêt de voyager, c’est justement, le voyage lui-même. C’est pourquoi le Rabbi Naham disait : « Ne demande jamais ton chemin à quelqu’un qui le connaît, car tu pourrais ne pas t’égarer. »
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Regardez autour de vous en essayant de ne porter attention qu’aux couleurs que vous percevez.
Généralement, on n’y prête pas attention. On regarde des choses et on les identifie : on voit un arbre de couleur verte, mais pas simplement le vert.
Regardez à présent le vert seul, sa qualité toute particulière.
Laissez-le être là, dans toute son intensité.
Laissez ce vert remuer le fond sensuel de votre existence. Il n’est plus séparé de vous. Votre être tout entier est travaillé par cette vibration.
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On condamne parfois Nietzsche parce qu’il a sombré dans la folie, Virginia Woolf parce qu’elle s’est suicidée, on pense que Monet a peint Les Nymphéas sans contours parce qu’il avait des problèmes de vue ou que l’œuvre si intensément colorée de Van Gogh s’explique par son épilepsie.
En réalité, le secret de leur œuvre ne vient pas du fait que ces créateurs ont eu tel type de souffrance ou telle maladie, mais de l’usage qu’ils ont fait de leurs difficultés.
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Platon nous raconte que Socrate restait souvent immobile sans bouger. Une fois, il est même resté debout d’une aurore à l’autre à l’étonnement de tous. Que faisait-il ?
Quand Socrate était dans l’embarras, il se posait au cœur de son trouble pour un moment. Sans rien faire. Sans chercher de solution.
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Un tableau parfois n’est pas complètement réussi, il faut le reprendre et encore le reprendre. Et cela sans certitude de succès. Vouloir établir des preuves à ce sujet est impossible.
Cela ne veut pas dire qu’il n’existe pas de bons tableaux. Et cela tout peintre le sent et cela oriente même son travail.
Mais alors quels sont les critères ?
D’abord ceux liés aux éléments propres à la peinture : le jeu des couleurs, l’accord des formes, la justesse de la composition, le sens de l’espace, la matière…
Mais aussi la façon dont l’œuvre vous touche. Une grande œuvre n’est pas seulement réussie plastiquement, mais elle doit vous toucher, peut-être même vous ébranler. Elle vous aide à vivre en quelque sorte.
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Videos de Fabrice Midal (94) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Fabrice Midal
Fabrice Midal vous présente "La théorie du bourgeon", son nouveau livre, disponible en livre audio !
Résumé : Le découragement est le problème majeur de notre temps. Là où nous pourrions avancer, nous baissons les bras. Là où nous pourrions être victorieux, nous partons perdants. On nous a fait croire que nous devions être dans le contrôle permanent, dans l'efficacité absolue. Mais la vie ne se contrôle pas, elle ne se gère pas. Comment inverser le mouvement ? Comment retrouver l'élan pour sortir de la paralysie qui nous guette, pour rejoindre enfin le monde et essayer de le réparer ? Se fondant sur les enseignements de philosophes qui, comme Nietzsche, Bergson ou Hannah Arendt, ont affronté ce péril majeur avec lucidité, Fabrice Midal nous amène à reprendre confiance en nous et en l'humanité. Avec La théorie du bourgeon, il nous apprend à cultiver la vie dans son surgissement, ce bourgeon qui réside en nous et qui ne demande qu'à croître pour donner des fleurs, pour donner des fruits. C'est ce remède anti-découragement que je vous invite à découvrir.
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