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sur 404 notes
Mais quand va t-on enfin nous lâcher avec toutes ces injonctions au bonheur, au nirvanâ, au lâcher-prise, à la grande félicité intérieure, à la béatitude ineffable? A coup de méditation transcendantale, de séances de yoga, de voyages au Tibet, de marche dans le désert, de communication avec le cosmos, de feng-shui ou de spiritisme, chacun nous donne la vraie recette garantie de l'accès à la sagesse infinie, le chemin vers un moi authentique et nettoyé en profondeur.
Le dernier en date se paye le culot de nous balancer que tout ça n'est que foutaises et qu'il faut oublier au plus vite les préceptes des précédents ouvrages. Inutile de se farcir la position du lotus pendant des plombes ni de psalmodier des mantras en respirant de l'encens, c'est mauvais pour les poumons et pour les lombaires. Suffit juste de se la jouer cool et de pas trop se mettre la rate au court-bouillon. Et la méditation, on sait pas trop à quelle sauce la pratiquer, finalement.
Mais jusqu'où iront-ils dans le foutage de gueule? Surtout avec un titre aussi tarte!
Le développement personnel me sort par les yeux, cette vaste arnaque pour gogos qui génère de gros bénefs pour les gourous de tout poil (souvent barbus, les gars) avec produits dérivés en tout genre me fout les glandes. Derrière toutes ces petites ou grandes misères humaines il y a souvent de belles grosses névroses, qui mériteraient une vraie thérapie et non une couche de pommade pour les bobos. Quant aux autres, plus légèrement atteints, qu'ils s'en remettent à des moyens plus classiques, une petite aspirine, une tisane ou quelques bouffées de plantes séchées, et tout ira bien.
Je tiens cependant Fabrice Midal pour un type capable d'écrire de bien meilleurs livres, comme "Pourquoi la poésie? l'héritage d'Orphée", un essai dont j'ai dit le plus grand bien dans une autre critique et que je recommande aux amateurs de poésie. Car la poésie c'est la vérité qui jaillit toute nue de l'inconscient et ne s'accoutre pas des oripeaux du marketing. Elle pousse comme les herbes folles, pauvre comme une bohémienne qui dort sur la paille. Elle ne rapporte pas un kopeck aux éditeurs.
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Je ne suis pas une grande fan de la méditation. Les rares fois où j'ai tenté l'exercice, je n'ai jamais réussi ne serait-ce qu'à me détendre. Il faut dire que rien que l'idée de devoir penser sans cesse à ne pas penser, ça m'épuise. Puis la position en tailleur ne m'est pas habituelle, du coup, j'ai vite mal au dos, au genou ou ailleurs ! Enfin, essayer de respirer, de se tenir droit, de ne pas penser... fichtre, je préfère m'abstenir et me vider l'esprit en lisant un bon bouquin.
Je ne suis pas sure que "Foutez-vous la paix ! et commencez à vivre", le dernier livre de Fabrice Midal, connu comme philosophe et enseignant en méditation, participe de ma définition d'un bon bouquin. En revanche, c'est un ouvrage facilement abordable, qui évoque la vie de tous les jours, et le petites misères que l'on s'inflige soi-même quand elles ne viennent pas des autres, avec pas mal de franchise et de liberté.
Je regrette personnellement la formulation du titre et des chapitres, au format d'injonctions au final contradictoires (la forme impérative a quand même un côté contraignant qui jure à côté du message de se foutre la paix, non ?). J'ai moyennement apprécié le déballage de la vie de l'auteur, qui expose sa propre expérience pour nous démontrer comment il s'est sorti de cet engrenage, en prenant le temps de s'écouter et de constater ce qu'il en était de lui et de son état émotionnel du moment, grâce à la méditation pleine présence (et pas pleine conscience, ne pas confondre SVP !!). du coup, il nous invite à y parvenir, comme lui y est parvenu ; ce qui est quand même un chouïa culpabilisant.
Ceci dit, je me trouve plutôt mauvaise langue : ce livre de F. Midal est, comme je l'ai dit, facile à lire et à appréhender. Ses messages sont relativement simples, et vont, me semble-t-il, dans le bon sens, celui d'un peu plus de bienveillance et de tolérance envers soi. Même si je parais un peu ironique, j'ai apprécié la précision du discours, l'attention portée par exemple à des mots pouvant paraitre proches mais qui sont significativement dissemblables : la pleine conscience vs la pleine présence (l'une procède de la conceptualisation, l'autre de la sensation), être calme vs être en paix (quand l'un se prémunie des émotions, les autres les accepte pour ce qu'elles sont).
Je suis un peu critique sur cet ouvrage car il donne une impression de facilité "à se réconcilier avec soi-même", ce qui, finalement, ne dépend que de nous et de notre capacité à nous foutre la paix. Or, si les problématiques exposées me semblent à la fois pertinentes et bien amenées, il n'y a pas tellement de "solutions" apportées, en dehors d'une exhortation à moins de violence vis-à-vis de soi, et de l'apport que peut avoir la méditation pour certains. Un peu court, me dis-je, si des lecteurs de ce livre se trouvaient en souffrance...
Quoiqu'il en soit, un grand merci à Babelio et aux éditions Flammarion pour cette découverte !
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Pour être heureux, il faut méditer, ne pas être agressif, ne pas ressentir de la colère, sourire, penser comme les autres, suivre le groupe, consommer, parfois au-dessus de ses moyens et se taire, surtout se taire.

J'ai fait tout ça pendant deux ans et cela ne m'a pas empêché de perdre mon boulot dans un chaos destructeur. Je pense simplement que j'étais tellement dans la retenue de mon être que je transpirais le contraire et mes collègues et cadres n'étaient pas dupes, j'étais le mouton noir.

Fabrice Midal arrive alors dans ma vie avec le titre de son livre qui me fait de l'oeil et il remet les pendules à l'heure (du moins les miennes).

Je n'ai pas envie de posséder un mois d'avance de fringues pour aller bosser, de peinturlurer mes ongles assortis aux fringues, de dire du mal de mes collègues dès qu'elles sortent de mon bureau mais de jurer mon amitié aux mêmes dans la salle de pause, de faire dix pauses café dans la journée, pas envie de leur sourire, et même pas envie de leur parler si je les croise dans la rue. C'est fini !

À bas les injonctions contradictoires, les soi-disant normes de la société, les modèles qui ne nous correspondent pas, l'agitation inutile, le contrôle, la perfection qui ressemble souvent à de la médiocrité puisque forcée et contre nature.

Ce livre fait du bien, il est tout simple, juste du bon sens, mais quand nous sommes pris dans une certaine mouvance, il est difficile d'en sortir sans aide. L'auteur nous aide à déculpabiliser, nous pouvons nous retrouver sans être comme les autres et en ressentir une liberté certaine.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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J'avais repéré ce titre depuis peu… son titre m'interpellait, et puis mardi je n'ai pas pu résister à la tentation, lorsque je l'ai vu à la devanture d'une librairie boulevard Voltaire - j'avais un peu de temps avant de participer à une rencontre Babelio… et bien m'en a pris.

Foutez-vous la paix est un ouvrage assez déroutant. Son titre est volontiers provocateur. Si, comme moi, vous recherchez un ouvrage sur la méditation, vous serez surpris ; Fabrice Midal est avant tout un philosophe. S'il place la méditation au centre de sa « pratique » philosophique son propos est avant tout de nous mettre en garde : le fameux « Foutez-vous la paix » qu'il répète tout au long de son ouvrage vise à nous interpeller, à nous faire douter, à remettre en cause nos certitudes. Se foutre la paix, c'est renoncer , c'est choisir d'être "autrement", de déplacer le curseur de soi vers les autres, c'est donner la préférence à l'être et non pas au faire, c'est renoncer à l'action fébrile.

Foutez-vous la paix est un ouvrage qui n'est pas vraiment facile ; le langage de Fabrice Midal peut surprendre. Deux chapitres :« Cessez de vous torturez, devenez votre meilleur ami », et « Cessez de vous comparer, soyez vous-même » m'ont paru un peu plus abordables… Pour autant, je suis convaincue que cet ouvrage ne va pas me quitter. La dernière page tournée, j'ai envie de reprendre certains chapitres pour les approfondir - et en particulier mieux comprendre la notion de « paix » que développe Fabrice Midal.

Pour moi, Foutez-vous la paix est un ouvrage original, qui défend et développe des idées neuves, c'est une réflexion qui nous enrichit, qui nous donne envie d'avancer. Bien loin du « prêt à penser contemporain», il s'agit d'une redécouverte du sens de la méditation et de la plein présence.

Un petit plus : une bibliographie bien conçue, et même un site internet permettent au lecteur d'aller plus loin.
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Vraiment, j'ai beaucoup aimé ce livre de Fabrice Midal.

J'avais déjà lu "Suis-je hypersensible?" et là encore, c'est une belle découverte.

L'auteur nous propose de nous foutre la paix et d'être nous-mêmes par le biais de la méditation. Par exemple, ne pas avoir peur d'être vulnérable.

J'ai déjà lu ce livre deux fois, une fois dans le désordre et une autre fois du début à la fin. Et je sais que je vais le relire à l'avenir. Ne passez pas à côté!

Un grand Merci à Fabrice Midal!
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Un style à l'image du titre : expéditif, franc, sans fioritures. C'est vraiment un livre bouffée d'air frais dans la catégorie : l'auteur s'autorise à râler, nous autorise à râler, à vivre nos émotions, nous invite à être pleinement en vie et connectés à nous même, au lieu de prôner une pseudo-sagesse morne, désincarnée et apathique.
J'ai eu du mal à lâcher ce livre qui se lit très facilement et rapidement, dans lequel l'auteur nous parle avec beaucoup de franchise, d'honnêteté, de simplicité, en donnant des exemples qui illustrent parfaitement son propos. « Foutez-vous la paix ! Et commencez à vivre » est une ode à l'acceptation et à la vie.
Un livre que j'ai apprécié et qui me donne envie de le prêter pour en faire profiter d'autres.
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Fabrice Midal Foutez-vous la paix ! Et commencez à vivre
Flammarion /Versilio ( 188 pages- 16, 60€)


Un titre choc pour un livre qui nous invite à cesser de nous gâcher la vie.
Un livre idéal pour se déculpabiliser et y puiser d'autres résolutions.
Fabrice Midal étaye les 15 chapitres en glissant des expériences, personnelles ou pas.
Les citations sont pléthore, celles en exergue de chaque rubrique donnent le ton.

Son but ? Nous recentrer sur l'essentiel. Savoir dire non aux multiples sollicitations, aux injonctions, savoir s'affranchir du carcan des contraintes.
Commencez par «  être son meilleur ami » et non pas son tyran, son bourreau.
Pourquoi vouloir toujours être parfait en tout, jouer au super -héros, être le best?
L'auteur nous encourage à savoir prendre des micro pauses, afin de retrouver notre liberté, notre énergie majeure , afin de doper notre créativité, et de nous éviter le burn out inévitable quand les tensions s'accumulent.

Dans le chapitre 12, intitulé : Cessez d'avoir honte, l'auteur souligne la nuance entre s'aguerrir et s'endurcir. Comme Thomas Andrieu, le héros du roman de Philippe Besson, Fabrice Midal, confie avoir mal vécu sa différence, obligé de la taire dans une famille où l'homosexualité relève d'une maladie. Il met en garde, conseillant de s'aguerrir pour être capable d'aimer, de s'émerveiller , d'espérer et non pas de s'endurcir, comme ceux qui se renferment jusqu'à « manquer la vie ».
L'auteur incite à cesser d'avoir honte, à ne pas rejeter sa vulnérabilité et à vivre « ses émotions avec douceur et humour ».
Le chapitre final s'adresse aux parents à qui on demande de «  cesser de discipliner leurs enfants », de les «  bombarder d'injonctions ». le philosophe ne cache pas son admiration pour le parcours du footballeur Griezmann qui s'est lancé un défi à 14 ans, un choix personnel et non le «  fruit du désir inassouvi de ses parents ».

Pour les émules de Fabrice Midal, les adeptes de la méditation, il faut savoir qu'il organise des séminaires. Dans ce recueil, il décline les nombreux bienfaits que la méditation apporte. «  Méditer, c'est s'oublier pour s'ouvrir au monde ». «  La méditation est une respiration sans consignes ni sanctions », «  un art de vivre ».
«  Rester ouvert et curieux », comme le préconise la pratique de la «  mindfulness, la pleine présence ».
Ce livre extrêmement libérateur et déculpabilisant ne se lit pas d'une traite, le propos demande une relecture parfois, vu sa portée philosophique.

Les notes bibliographiques listent les ouvrages de références de l'auteur, nourri par la poésie ( Dickinson, Eliot), le bouddhisme, l'hypnose, la philosophie.

Fabrice Midal, philosophe et enseignant de la méditation, signe un livre rassérénant, dans lequel chacun peut tirer profit. La bienveillance, un maître mot.
Merci à Babelio pour la découverte de cet ouvrage, qui m'a permis de ne pas stresser en voyant le décompte des jours qui me restaient pour rédiger une chronique.
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Dans cet ouvrage, Fabrice Midal tient à nous rappeler qu'on aura beaucoup de mal à se sentir bien dans cette vie si on ne se fout pas la paix...

Ce livre a de quoi rendre confus : certes il parvient à identifier les idées qui peuvent nous traverser l'esprit et nous embourber dans un paquet de sentiments différents tels l'insatisfaction, la dépression ou la déprime, toujours avec des mots justes et des exemples simples mais ô combien représentatifs, mais il nous embrouille gravement sur la notion de méditation ou la façon de méditer.
On a l'impression qu'au fil des pages, l'auteur ne nous donne pas la même définition de la méditation. Il nous dit que ce n'est pas s'asseoir et respirer mais bien juste être conscient du moment et de se laisser du temps, alors que vingt pages plus loin la méditation se pratique tout autrement, alors qu'il fustige le fait de méditer mal, comme les gourous contemporains auraient tendance à le recommander !! Franchement, on en perd son latin. Et c'est dommage, car au-travers de concepts philosophiques (parfois quand même durs à suivre pour qui n'en a pas fait depuis le lycée vu le nombre de mots très proches en matière de sentiments), il explique que se foutre la paix, c'est bien arrêter de se laisser bouffer par ce qui nous entoure, par les idées imposées par la société, et de se réapproprier son temps.
Par contre, de là à en écrire 160 pages, sûrement pas !
Il y a de bons conseils perdus toutefois dans des méandres d'explications. Au final et même si ce n'est pas le but initial, on peut retenir de cet ouvrage que chacun devrait pouvoir "gérer" (un mot qu'il déteste) sa façon de se foutre la paix. Se donner le temps, se poser, réfléchir (ou pas), apprécier le monde extérieur (ou pas), mais en tout cas laisser son être... être. Si on parvient déjà à mettre de côté le quart de ce qu'il recommande d'oublier ou de ne pas faire, ce sera déjà bien !
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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Un grand merci tout d'abord à Babelio et aux éditions Flammarion qui m'ont permis de lire en avant première ce livre écrit par le philosophe Fabrice Midal.
Je lis régulièrement des manuels de développement personnel, aussi j'étais curieuse de découvrir celui-ci et sa nouvelle approche anticonformiste. L'auteur aborde plusieurs thèmes en accordant beaucoup d'importance à la méditation qu'il pratique depuis des années. Pour lui la méditation doit être simple, elle ne s'enseigne pas, elle n'a pas de but ni ne doit être un exercice à réussir à tout prix. Fabrice Midal nous recommande de nous faire confiance, de suivre notre intuition sans forcément chercher à tout analyser. Bref pour lui, il faut "se foutre la paix", ne pas essayer à tout prix telle ou telle recette de psychologie mais être soi-même, vivre ses sentiments pour être en paix avec soi-même.
Je ressors de la lecture de ce livre aux idées nouvelles assez déconcertée. J'ai trouvé cet essai assez complexe, il faut être très concentré pour bien suivre et tout comprendre, ce n'est pas un livre pour se détendre ni pour le soir quand on est un peu moins disponible intellectuellement. Il est souvent fait référence aux philosophes antiques, à certains écrivains, c'est un livre écrit par quelqu'un de cultivé, cela se voit. de façon assez surprenante, l'auteur s'exprime avec un langage parfois étonnant, simple voire familier, comme le dit d'ailleurs le titre "Foutez-vous la paix !". le chapitre que j'ai préféré est celui qui s'intitule "Cessez de vous torturer", j'ai trouvé l'auteur à ce moment là très clairvoyant. Je pensais trouver des idées et des conseils quotidiens à mettre en pratique, il n'en est rien, l'auteur reste plus dans le général et personnellement, je trouve cela dommage. Je pense que cet essai s'adresse plus aux personnes intéressées par la méditation plus spécifiquement car il n'aborde pas les autres approches de développement personnel.
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Fabrice Midal, philosophe et écrivain, enseigne la méditation boudhiste en France. Il a créé le boudhisme occidental et a écrit de nombreux livres sur la méditation, notamment sur le recours à la "pleine présence".
"Se foutre la paix" c'est : cesser d'obéir, d'être calme, de vouloir être parfait, de rationaliser, de se comparer, d'avoir honte de soi, de se torturer, de vouloir aimer.
"Se foutre la paix" c'est commencer à vivre.

Dans son ouvrage, l'auteur présente une série de chapitres dans lesquels il parle d'une méditation de pleine présence. Méditer, ce n'est pas faire le vide autour de soi mais c'est être pleinement présent, conscient de ce qui nous entoure. C'est accepter les tracas du quotidien sans chercher à les évacuer car il font partis de la vie. Etre en paix c'est accepter et assumer ce que l'on est sans viser la perfection. C'est être nous, tout simplement avec nos failles, nos vies, nos passés et notre vécu.

Etre libre de penser, libérer notre enthousiasme, intégrer les tumultes et les aléas de la vie, porter attention à ce qui nous entoure, écouter notre corps et nos émotions, s'ouvrir à notre créativité et être nous-même. Voici les principes que Fabrice Midal tente de nous rappeler pour que l'on se libère du stress et des angoisses, et que l'on se sente bien.

Voilà un petit guide dont j'ai beaucoup entendu parler, je suis contente de l'avoir découvert. Une petite lecture à lire et à relire, en une fois ou par petits bouts, en fonction de nos besoins et de nos envies.
Lien : http://labibliothequedemarjo..
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