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Critique de Gaphanie
Il s'agit de la réédition d'un livre originalement intitulé Traité de morale pour triompher des emmerdes.
Je trouve personnellement le titre initial plus approprié.
Au gré de 20 chapitres très courts, et assez percutants - ce qui est, au fond, je crois, sa marque de fabrique, Fabrice Midal nous amène à nous interroger sur notre rapport à ce qui nous arrive et comment on réagit à ce qu'on appelle "les emmerdes".
Dans le chapitre 5, il aborde l'authenticité : attendez-vous à remettre en cause votre vision de cette valeur !
Le chapitre 12 est quant à lui une invitation à se pencher sur la question de l'adaptation de nos actions à la réalité.
Chaque fois, il part d'exemples vécus, très concerts - l'enfant qui a peur du monstre dans l'armoire au chapitre 10,par exemple - pour déconstruire certaines idées reçues qui nous crispent, nous emprisonnent, et termine par un aphorisme qui va illustrer et confirmer sa démonstration : "Ne pas se laisser faire, ce n'est pas être agressif, mais savoir se montrer rusé", par exemple.
Le bonus : à la fin, il présente les auteurs et ouvrages qui ont nourri sa réflexion.
Plus ça va, et plus le risque que je devienne une fan inconditionnelle de Midal augmente, je le crains. C'est un auteur qu'il convient cependant d'aborder avec prudence : si vous avez l'impression qu'il vous sort un lieu commun, ça mérite d'y réfléchir, et de ne rien tenir pour acquis.
Je trouve personnellement le titre initial plus approprié.
Au gré de 20 chapitres très courts, et assez percutants - ce qui est, au fond, je crois, sa marque de fabrique, Fabrice Midal nous amène à nous interroger sur notre rapport à ce qui nous arrive et comment on réagit à ce qu'on appelle "les emmerdes".
Dans le chapitre 5, il aborde l'authenticité : attendez-vous à remettre en cause votre vision de cette valeur !
Le chapitre 12 est quant à lui une invitation à se pencher sur la question de l'adaptation de nos actions à la réalité.
Chaque fois, il part d'exemples vécus, très concerts - l'enfant qui a peur du monstre dans l'armoire au chapitre 10,par exemple - pour déconstruire certaines idées reçues qui nous crispent, nous emprisonnent, et termine par un aphorisme qui va illustrer et confirmer sa démonstration : "Ne pas se laisser faire, ce n'est pas être agressif, mais savoir se montrer rusé", par exemple.
Le bonus : à la fin, il présente les auteurs et ouvrages qui ont nourri sa réflexion.
Plus ça va, et plus le risque que je devienne une fan inconditionnelle de Midal augmente, je le crains. C'est un auteur qu'il convient cependant d'aborder avec prudence : si vous avez l'impression qu'il vous sort un lieu commun, ça mérite d'y réfléchir, et de ne rien tenir pour acquis.
