Kid Paddle, tome 14 : Serial Player

..."ajouter une critique..."
Oui, bon...ce n'est pas tout à fait ça...
Mais prisera à qui ça plaira...

Vous êtes de mauvais poil ou d'humeur encombrant ?
Mettez de la valériane dans la soupe de votr' enfant.
Dès que le petit dort... -aux anges souriant-...
Vous pouvez alors, sans larmes ni cris, lui dérober
Son dernier Kid Paddle, sa BD préférée !
Vous passerez une soirée tranquille (!) en vous bidonnant
Tandis que votre maussaderie se mue en enjouement !

Et ne croyez pas quand on vous dit
"Mais cet album de gags est pour les petits !"
...pour les gniards, les mômes et autres fanfans...
Non ! Cette BD est tout autant pour les parents !

Excellente balance entre les gags. Pas mal de gags mettant en scène le père de Kid Paddle... mes préférés. Surtout quand il explique un truc et que Kid fantasme en dérivant vers du gore. Comme quand le père lui explique comment faire "une machine" et termine par séparer les couleurs des blancs. Ou quand il explique comment presser une orange en utilisant "le robot"... un vieux modèle soviétique. On a une variante du gag du père: Kid Paddle arrive avec ses potes et le père est surpris dans une position "embarrassante"... comme parler à un tas de vêtements (dans lequel se trouve son gsm...).

Viennent ensuite les gags où Kid Paddle et son pote essaient de rentrer au cinéma pour aller voir un film interdit aux moins de 16 ans.

Le reste des gags se compose de scènes de Game Over où la princesse est assez cruche, de gags devant une console de luna park et de gags à l'école où Kid Paddle et son copain font des élocutions étranges ou répondent aux interros en mélangeant cours et jeux vidéo.

Du très très bon.

And let's go again, c'est parti.
On a des trucs en cours, on a du jeu vidéo, le père qui veut être cool, Kid et son pote…
Bref, ce qui fait le succès de la série depuis le début, qui se répète ad vitam eternam et qui, pourtant, fonctionne.
Midam semble rester un grand gamin qui s'amuse avec son personnage et, comme un gamin, on s'amuse avec lui à ressasser les mêmes histoires mais on s'en fiche, c'est cool, ça fait du bien parce que c'est toujours rigolo même si on l'a fait ou vu cent fois…
Et c'est donc un bon moment.

Dans ce nouveau tome on retrouve toujours la même ambiance, bien qu'un peu actualisée. En effet, alors qu'on avait droit avant aux "Petites recettes de Tante Ursule" cette fois-ci on retrouve Kid dans une version un peu améliorée de "Top Chef". Et j'avoue que j'ai trouvé ça assez drôle !
Ça et les épisodes "construction de châteaux de sable"... J'adore !

J'aime aussi le fait que malgré qu'une série entière lui soit consacrée on retrouve toujours des épisodes avec le Petit Barbare et ses déboires.

Par contre un petit bémol, j'aurai aimé qu'on revoit Mirador, le propriétaire de la salle de jeux vidéos. J'adore voir Kid et Horace se démener pour les tenir à l'écart, lui et son chien. C'est toujours ultra drôle.

Heureusement qu'une chose ne change pas: Horace se retrouve assez souvent sur un lit d'hôpital, pour des événements tout à fait incongrus.

En conclusion je suis contente d'avoir retrouvé tous les personnages de cette BD et toutes les situations cocasses dans lesquelles ils se mettent.
C'est toujours aussi drôle et léger.

Vivement le tome 15 !
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Ok, si j'ai choisi ce tome plutôt qu'un autre c'est en partie à cause de la couverture qui brille de mille feux et des effets tout sympa dessus…
Bon, il y a ça et le fait que j'étais sur de ne pas déjà avoir cet album, contrairement aux autres. Faudra que je pense à les ranger un jour, histoire de voir ceux qui me manque encore.

Dans ce volume on retrouve ce qui fait le succès de la série depuis le début. Les expériences dégeu, les amis barrés, la soeur blasée, la salle d'arcade, la princesse et le père de Kid. Tout les moments où il apparait, ou presque, sont hilarant. Midam s'amuse de plus en plus avec ce personnage et fait ressortir certains traits de sa personnalité qu'on ne connaissait pas encore. J'aime. Je kiffe. Je suis fan.

Malgré un thème que l'on pourrait croire assez vite limité ce quatorzième tome est tout aussi drôle que ses prédécesseurs et ne souffre nullement d'un effet de déjà vu comme c'est trop souvent le cas dans certaines séries qui durent depuis trop longtemps.
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