Je l'ai déjà écrit, ce que je préfère dans Kid Paddle, ce sont les gags qui mélangent le jeu vidéo et la réalité. Ceux, le plus souvent, où son père est paré des attributs de guerriers "berserk" ou de monstres glaireux verdâtres à souhait... Et la dernière case ramène brutalement Kid Paddle dans la réalité... qu'il s'agisse du saut du lit ou de son assiette de soupe. Dans ce tome, on a aussi l'instituteur ou le gérant du luna park. Même combat...
Dans ces moments-là, le héros de
Midam me fait penser à mon aîné. Et je suis sûr qu'il évoque des tas de souvenirs à pas mal de parents. C'est la grande force de
Midam. Savoir croquer en quelques cases, des situations à la fois cocasses et empreintes de réalité, ce n'est pas donné à tout le monde.
Midam a un grand talent d'observation.
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