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B.P.R.D. - L'Enfer sur Terre tome 6 sur 8
EAN : 9782756093185
320 pages
Delcourt (05/07/2017)
4.5/5   4 notes
Résumé :
L'alliance récente du B.P.R.D. avec les militaires leur permet de disposer des munitions nécessaires. Et leur mission suivante semble "facile" en comparaison des problèmes rencontrés depuis quelques mois. En revanche, Johan Kraus va devoir faire face à un traumatisme dont les racines remontent à la Second Guerre mondiale, et implique la présence de l'arme secrète connue sous le nom de Sledghammer...
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Ce tome contient 2 recueils VO.

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- Flesh an stones : épisodes 125 à 129, initialement parus en 2014/2015, coécrits par Mike Mignola & John Arcudi, dessinés et encrés par James Harren, avec une mise en couleurs réalisée par Dave Stewart. Les couvertures ont été dessinées par Laurence Campbell.

À l'époque où il y avait encore des mammouths, Gall Dennar consulte l'ancien avant d'aller combattre ce qui menace la tribu. L'ancien se désole que les pierres amulettes qu'il avait préparées aient été récupérées par des marmots et aient servi de cailloux pour faire des ricochets. de nos jours, une équipe du BRPD revêt des combinaisons de protection contre les risques biologiques pour évacuer ce qu'il reste d'une ville isolée, avant qu'elle ne soit rasée par les avions de l'armée. L'agent Ted Howards (celui qui porte l'épée bifide) en fait partie.

À New York, Miss Evelyn a la surprise de découvrir que des employés de l'entreprise Zinco essayent de domestiquer un mutant. Dans la base du BPRD au Colorado, Liz Sherman s'essaye à faire pousser des plantes sous les conseils sarcastiques de Fenix. En Russie, Iosif Nichayko constate le peu d'effets de ses efforts, et repousse les sous-entendus sournois de Varvara. de retour dans la ville isolée, l'équipe du BPRD est confrontée à un monstre qui résiste au napalm.

Avec ce tome, les auteurs reviennent aux affaires courantes du BPRD. le lecteur a le plaisir de voir passer les principaux personnages, certains pour une seule séquence, d'autres pour plusieurs. Autour de l'histoire principale (la lutte contre le monstre, par l'équipe du BPRD), ils font le point sur la situation de Liz Sherman & Fenix (une période calme pour elles), sur Iosif Nichayko et Varvara (le constat d'une situation de plus en plus instable), sur Black Flame et Madame Evelyn (l'état d'avancement des manigances de ce qu'il reste de la multinationale Zinco). Ce tour d'horizon a pour effet de donner une vision d'ensemble au lecteur et de conférer une unité aux fils narratifs épars d'un point de vue géographique. le lecteur ne sait pas trop s'il s'agit d'un point d'étape avant un affrontement décisif, ou d'autre chose. Il lui permet de se faire une idée de l'état du reste du monde, toujours sous le joug des monstres (les Ogdru Hem), toujours un véritable enfer sur Terre. Il a la surprise de se rendre compte que la situation pourrait être bien pire, grâce à une explication imagée de Varvara.

Au cours de ces séquences, le lecteur est confronté à la mélancolie slave de Nichayko (une très belle scène de pêche sur un lac tranquille lorsqu'il était encore un être humain à part entière), à la volonté de s'adonner à une activité constructive de Liz Sherman, aux conseils moqueurs et pertinents de Fenix. Comme à leur habitude les coscénaristes savent mettent à profit ces moments pour mettre en valeur la personnalité de leurs protagonistes.

L'histoire principale se focalise sur l'affrontement contre le monstre résistant aux armes conventionnelles. La séquence d'ouverture permet d'établir que ce récit mettra en avant Ted Howards, l'agent qui a récupéré la lame bifide (dans le tome 5 de la série " The Pickens County horror, and others"). le temps est venu pour les auteurs de faire passer un nouveau cap à ce personnage. Il y a donc ce retour en arrière qui donne de la profondeur au rôle du porteur de la lame bifide. Il y a également une nouvelle notion qui s'introduit dans le récit, du fait des capacités du porteur de cette lame. Les auteurs jouent sur une dimension ludique de la narration pour développer Ted Howards. En effet ce personnage ne parle pas, ne répond pas à ses collègues. le lecteur est donc amené à regarder ses faits et gestes, et à en tirer lui-même ses interprétations, ses conclusions.

Un tel mutisme de la part d'Howards provoque un rejet de la part des membres de l'équipe, d'autant plus qu'il ne conforme pas aux ordres, et que personne ne le rabroue du fait de ses capacités hors norme de guerrier. Les auteurs montrent comment ce personnage finit par gagner le respect d'un des autres soldats, malgré sa position d'électron libre. À nouveau ils réussissent à élever le récit au-dessus du simple combat contre un monstre de plus, pour faire vivre leurs personnages, et enrichir encore la mythologie de la série.

C'est avec grand plaisir que le lecteur retrouve James Harren, comme dessinateur de cette histoire. Mike Mignola et John Arcudi ont écrit un récit avec une grande variété d'environnements et de situations, ce qui permet à l'artiste de donner la pleine mesure de son talent. La première case montre 2 mammouths progressant dans une vallée, avec un fleuve en arrière-plan et le lecteur peut y voir la richesse de la flore, la majesté de ces animaux, et le vent frais qui souffle en soulevant les feuilles, une belle démonstration de composition d'image qui montre, sans besoin de texte explicatif.

Ainsi tout au long de ces 5 épisodes, le lecteur constate que l'histoire a été écrite par des créateurs qui pensent en termes visuels, avant tout. Il retrouve bien sûr les scènes attendues d'affrontement contre des monstres. Comme souvent, ce tome contient quelques pages de croquis qui attestent du travail de conception réalisé par l'artiste pour se montrer à la hauteur de ses prédécesseurs en termes d'inventivité visuelle pour l'identité graphique de ces monstres. James Harren conçoit ses prises de vue de manière à mettre en évidence leur rage destructrice, leur acharnement et leur force. La séquence de combat en Russie culmine en un dessin double page d'une horreur inéluctable (bien que de telles compositions aient déjà été vues dans des tomes précédents). L'artiste réussit son dessin en évoquant des scènes équivalentes précédentes, tout en y insufflant assez de vie pour qu'il ne puisse pas être réduit à un cliché visuel, ou à une répétition insipide.

Non seulement Harren dispose des compétences de metteur en scène et d'effets spéciaux pour rendre les affrontements visuellement intéressants et tendus, avec une dimension horrifique, mais en plus il est tout aussi convaincant dans les autres moments. le lecteur gardera longtemps en mémoire cette page où Iosif Nichayko est dans un esquif (avec sa femme et son fils), dans une vue du ciel, permettant de se régaler de la transparence de l'eau, et d'admirer le requin passant en dessous. Dave Stewart s'est surpassé pour le rendu du chatoiement de l'eau. Magnifique !

Dans le deuxième épisode, l'équipe du BPRD progresse à cheval dans un champ de neige. À nouveau, Stewart trouve la teinte juste pour rendre le bleuté de la neige. Harren réalise une case toute en subtilité où une agente sourit à Enos, le chef de la mission, d'un sourire chaleureux et bienveillant, irrésistible. Dans le troisième épisode, Gall Dennar (l'homme préhistorique) contemple des animaux ayant été colonisés par une sorte de fungus immonde. Les déformations induites par ce parasitage soulèvent le coeur, et Dave Stewart établit un contraste chromatique entre le gris de cette faune morte et pourrissante, et les couleurs plus chaudes de la plaine environnante.

Dans l'épisode 4, l'artiste arrive à rendre menaçante une enfant au teint de porcelaine enfermée sous une cloche en verre, pas si facile que ça sans tomber dans le ridicule. Quelques pages plus loin, Ted Howards est très impressionnant en train de contempler une peinture rupestre sur le mur d'une pièce en sous-sol. Dans le dernier épisode, James Harren fait à nouveau la preuve de sa versatilité, dans une scène en 1 page se déroulant dans le vide spatial, dévolue à l'observation de l'Ogdru Jahad. Cette séquence réchauffe le coeur des lecteurs de la première heure de la série Hellboy, les coscénaristes jouant avec son anticipation à l'idée que ces créatures mystérieuses pourraient...

Après un tome un peu plus dispersé, Mike Mignola et John Arcudi s'attellent à resserrer leurs intrigues autour d'une chasse au monstre classique. En faisant ainsi progresser plusieurs fils narratifs, ils renforcent la cohérence de leur récit, en lui donnant une unité globale, et ils peuvent ramener sur le devant de la scène, tour à tour, plusieurs personnages récurrents. Ils mettent en valeur toute la richesse de la mythologie de la série. Enfin ils mettent à profit toutes les compétences narratives pour nourrir cette chasse aux monstres avec de vrais personnages, et des situations d'une grande variété et d'une grande richesse, très bien rendues par un excellent artiste.

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- Metamoprhosis : épisodes 130 à 134, initialement parus en 2015, tous coécrits par Mike Mignola et John Arcudi. Les épisodes 130 à 132 sont dessinés et encrés par Peter Snejbjerg. Les épisodes 133 & 134 sont dessinés et encrés par Julián Totino Tedesco. La mise en couleurs de tous les épisodes est réalisée par Dave Stewart.

Ce tome commence alors que Johann Kraus (le spectre d'un médium qui prend possession d'une combinaison étanche pour disposer d'une forme humaine) et une équipe d'agents du BPRD reviennent d'une mission en hélicoptère. Kraus essaye d'engager la conversation, mais l'agent Nichols le rembarre sèchement. À l'arrivée, Nichols envoie balader Kraus, puis va trouver le Docteur Kate Corrigan (la responsable du BPRD) pour lui dire qu'il refusera dorénavant toute mission sous les ordres de Kraus.

De son côté, Johann Kraus va se coucher dans ses quartiers, et rêve. Une fois reposé, il va trouver Liz Sherman pour lui parler de culpabilité, et de comment la gérer pour vivre avec. Il se fait aussi rembarrer par elle, mais pour d'autres raisons. Finalement il décide d'aller récupérer une clé à pipe, de sortir de la base, et d'ouvrir son scaphandre combinaison, pour prendre le large sous forme d'ectoplasme.

En découvrant la scène d'ouverture de ce tome, le lecteur se demande s'il n'a pas oublié une péripétie. Pourquoi diantre les agents humains évitent-ils ainsi de répondre à Johann Kraus ? En fait, la raison n'est pas à chercher dans un des nombreux tomes précédents, car elle est expliquée par la suite. En la découvrant, le lecteur se rappelle immédiatement pourquoi il continue à lire cette série, après autant de tomes parus. Sur la trame concoctée par Mike Mignola, John Arcudi réalise une narration soignée et sensible. Pour commencer l'attitude de l'agent Nichols en dit long sur ses valeurs, sans qu'il soit nécessaire qu'il les explicite. Il informe juste le docteur Corrigan qu'il ne travaillera plus avec Kraus. Quand elle s'enquière d'en connaitre la raison, il lui rétorque qu'il n'est pas une balance. En 2 cases, le lecteur sait à qui il a affaire.

Lorsque vient le retour en arrière, Arcudi a concocté une scène de combat, fortement chargée d'un point de vue émotionnel, les agents du BPRD étant confrontés au comportement de Johann Kraus qui a perdu une part d'humanité. La scène est irrésistible du fait des dessins de Peter Snejbjerg. Il se montre à la hauteur du haut niveau de qualité graphique de la série. Il soigne ses décors de manière à ce qu'ils soient réalistes et régulièrement présent (il y a très, très peu de cases dépourvues d'arrière-plans). Il accentue un peu les expressions des visages pour mieux les faire passer au lecteur. Mais surtout, il intègre une légère exagération cartoon dans ses dessins (attitude, posture) qui confère un degré d'humour noir à la fois terrifiant et drôle. C'est horrible de voir un agent se prendre une balle dans l'oeil gauche et rester étendue sur le sol, après s'être bêtement fait descendre. Par contre placer ce visage en premier plan (avec une orbite défoncée) mis en avant par un angle de vue en contreplongée à partir du sol rend ce cadavre à la fois atroce et ridicule.

Tout du long de ces 3 épisodes, Peter Snejbjerg va ainsi réussir un incroyable numéro d'équilibriste, entre dessins insoutenables de cruauté (sans pour autant aller jusqu'à des détails photoréalistes) et légère touche cartoon faisant ressortir la cruelle absurdité de ces morts, lors de conflits sans merci contre des monstres. Snejbjerg se montre tout aussi convaincant dans la conception du monstre de cette histoire, créant une forme étrangère à l'humanité, résolument incompatible avec les humains. Il se montre tout aussi habile à mette en scène une petite communauté terrifiée par l'intervention brutale de professionnels de la guerre (les agents du BPRD), exterminant les monstres avec efficacité et violence. Il sait glisser des petits détails qui rehausse le plaisir de lecture, comme la carte d'as de pique sur le casque de l'agent Nicols, ou la répétition de la composition de cases, relative à l'abandon de la combinaison de Kraus.

Dans cette première partie, John Arcudi donne une épaisseur peu commune au personnage de Johann Kraus, à la fois pour son détachement des émotions qui font un être humain, mais aussi pour ses actions pour essayer de compenser. Il insère des touches d'humour, à base de comiques différents. Il peut s'agir d'humour visuel quand Kraus prend la fuite en passant sous un panneau de limitation de vitesse, ou d'un second degré en jouant avec le lecteur (quand l'agent Enos demande à Kraus de l'appeler par son prénom, alors que ce prénom n'a jamais été prononcé dans la série).

Dans la deuxième partie, le lecteur voit apparaître un lien avec un tome annexe : Sledgehammer 44. Arcudi fait le nécessaire pour intégrer des rappels sur l'histoire du capitaine Ledro Fieldings, sur celles du docteur Helena Gallaragas, du soldat Patrick Redding et du caporal Dale Glesham, ainsi que sur l'armure Épiméthée. Néanmoins le nombre limité de pages fait que l'histoire est beaucoup plus intelligible pour quelqu'un qui a lu Sledgehammer, et qui se rappelle du lien avec l'énergie Vril, ou encore de cette étrange entité qui était apparue au soldat Redding.

Sous réserve d'avoir en tête ces éléments, le lecteur voit les scénaristes raccorder Sledgehammer 44 au BPRD avec une telle élégance, qu'il ne peut que supposer que c'était prévu de longue date. Pour commencer, la présence même de l'armure Épiméthée dans la base du BPRD repose sur une explication logique et naturelle. Ensuite le lien entre elle et Kraus s'impose avec un tel naturel que le lecteur veut bien faire l'effort d'accepter la présence de cette mystérieuse entité inexpliquée qui s'entretient avec Patrick Redding.

Le lecteur quitte à regret les dessins de Peter Snejbjerg pour ceux de Julián Totino Tedesco, tellement le premier apportait une dimension supplémentaire et complémentaire à la narration, renforçant la dimension horrifique, et ajoutant une couche d'humour horrible. Comme son prédécesseur, Tedesco a fort à faire pour mettre en images le scénario. Il lui faut reconstituer le bourbier du siège de Bastogne le premier janvier 1945, montrer Kraus bricoler avec l'armure Épiméthée, mettre en scène l'avancée d'un groupe de monstres sur une ville du Colorado, et faire croire à cette expérience mystique de décorporation vécue par le soldat Redding, sans parler des rappels sur Sledgehammer 44.

Tedesco s'en sort avec les honneurs. La reconstitution historique de cette bataille de la seconde guerre mondiale bénéficie d'uniformes conformes à la réalité, ainsi que de tanks du bon modèle. La base du BPRD est convaincante dans cette pièce fonctionnelle, sans décoration, même si les arrière-plans ont tendance à manquer 2 ou 3 cases durant. Les dessins savent convaincre de la présence et de l'avancée des monstres, avec un essai de couleurs un peu audacieux de la part de Dave Stewart qui mélange l'orange des flammes aux bleus et rouges des rampes de feux à éclat des voitures de police. L'expérience de décorporation reprend les visuels de la minisérie Sledgehammer, avec cette entité astrale peut-être un peu trop humaine dans sa forme, pour être totalement convaincante. Tedesco sait mettre en scène les confrontations physiques, avec force pour que le lecteur perçoive la force des impacts et la brutalité des coups.

À chaque nouveau tome de cette série, le lecteur se demande dans quelle direction partira l'intrigue. À chaque fois, il éprouve le plaisir de la surprise, et le plaisir d'un divertissement de qualité grâce à la compétence des auteurs. Ce tome ne déroge pas à la règle, avec une mise en avant de Johann Kraus, qui fait ressortir son caractère, et la situation paradoxale dans laquelle il se trouve, détaché de l'humanité, mais souhaitant désespérément mettre ses pouvoirs à son service. Peter Snejbjerg réalise des pages en phase avec le scénario, en leur apportant un petit supplément de saveur, aboutissant à 3 épisodes magiques. La deuxième partie plonge profondément dans la continuité de l'univers partagé du BPRD, assemblant plusieurs pièces du puzzle, pour un résultat sans solution de continuité. À la fin du tome, le lecteur n'éprouve qu'un seul regret (suscité par les auteurs) : mais quand découvrira-t-on enfin les motivations de Panya ?
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critiques presse (1)
Sceneario
18 juillet 2017
Métamorphoses est un volume que je vous conseille fortement ! Les amateurs de sensations fortes seront comblés par les aventures des agents du B.P.R.D. Une saga d'une rare qualité qui, jamais, ne déçoit !
Lire la critique sur le site : Sceneario

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