Henry Miller, c'est simple : si vous êtes parvenu à aimer sa petite musique folle, son humanité pleine avec sa saleté, et ses lumières, ses impostures et ses courages, alors vous aimez
Henry Miller.
Et si vous aimez
Henry Miller, vous aimerez tout ce qu'il fait. Même quand c'est un peu moins bien. Objectivement.
Ce livre-ci est moins abouti que la trilogie de la Crucifixion en rose, par exemple. C'est un ensemble de textes-nouvelles relativement longs où Miller se perd, se retrouve, son style est là, débridé, parfois chiant, il faut le dire. Mais méfiance car une claque se trouve très vite au détours de certaines lignes.
Enfin bref, j'aime
Henry Miller, j'aime donc ce
Printemps noir, mais je ne le recommanderai pas à un lecteur vierge de cet auteur.
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