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Critique de moravia


A vrai dire, je ne parlerai que d'une seule nouvelle de ce recueil inégal. En effet si les deux premières, "14ème district" et "Je porte un ange en filigrane", peuvent captiver l'attention du lecteur, les autres sont une longue logorrhée imbuvable, au point que je me suis posé la question de savoir si Henry Miller n'avait pas abusé de certaines substances illicites.
C'est grâce à la nouvelle intitulée " La boutique du tailleur " qu'Henry Miller évite la catastrophe.
J'ai enfin retrouvé là toute sa causticité, son humour qu'il utilise pour dépeindre ses semblables au sein d'une boutique de tailleur juif. Avec finesse il n'épargne personne, tous ridicules, autant le patron que les clients qui viennent pour un costume sur mesure.
Du Charles Bukowski avant la lettre !
Malheureusement cette embellie ne durera que soixante pages. Après, à vous le long désert de l'ennui avec les autres nouvelles. J'ai fermé le livre avant la fin, totalement démotivé.
Heureusement qu'Henry Miller a écrit des livres autrement intéressants et je vous conseille de lire celui-ci uniquement quand vous aurez épuisé sa production.
Ce n'était vraiment pas jours tranquilles et le titre aurait dû m'alerter.
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