AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,78

sur 221 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  

L'auteur Zymunt Miloszewsi situe son enquête à Olsztyn, au Nord-Est de la Pologne, une région à forte influence allemande, et qui en garde un certain état d'esprit.
Ce qui est évident, vus les peu flatteuses descriptions touristiques locales au long du roman, son embauche éventuelle au syndicat d'initiative de ladite région, si telle etait son ambition, ne restera à jamais qu'a l'état de projet... En tout cas, je n'irai pas specialement sur place pour visites d'une ville moche voire sinistre de par son développement architectural et urbain anarchique dixit l'auteur.
Le décor est planté, et l'on se doute que l'histoire sera moche voire sinistre. Et nous aurons raison pour notre plus grand plaisir de lecteur.

Le très rigoriste et légaliste procureur Teodore Szacki s'y installe en provenance de Varsovie, avec sa fille adolescente difficile par définition, dont le rôle secondaire mais essentiel est l'implacable déclencheur de l'irfeversble explosion de sa rage latente de "misanthrope sociopathe".

Le roman se déroule sur fond de question récurrente : faut-il que la loi du "talion social" en réponse aux violences sociales et familiales, et bien sûr appliquée par une élite capable de condamner, se substitue à une Justice estimée trop laxiste, formelle, lente et plus encore ?
L'ultra légaliste et néanmoins misanthrope sociopathe procureur Szacki y est bien sûr opposé mais rendra lui même sa justice personnelle en tuant un coupable présumé ; je precise que ce n'est pas divulgâcher car effectif dès les premières pages.
Le roman va démonrer le mécanisme et la machination l'amenant à ce geste, ainsi que les conséquences.

Les personnages sont épais, fouillés, intéressants, et la chute, amorale, surprenante par son aspect non conventionnel.
Le tout baigne dans une écriture nerveuse, remplie d'un humour mordant et d'un cynisme réjouissants.
L'avantage du roman est que l'auteur ne tombe pas dans les leçons de morales lourdingues, ne juge pas ses personnages, il anime un scénario bien huilé.

Je découvre évidemment à la fin que ce sympathique voyage polonais est le dernier tome d'une trilogie... qui peut se lire indépendamment des autres sans problèmes.
Une bonne découverte.

Commenter  J’apprécie          472
La Pologne, trois régions et un procureur incorruptible.

En trois livres, Zygmunt Miloszewski a gagné haut la main ses galons d'auteur de polar, et il est regrettable que ce roman mette un terme à ce qui restera une trilogie très originale.

J'avais été intriguée par le premier thriller*, un nouvel enquêteur dans un nouveau pays...
J'avais été passionnée par sa seconde enquête**, dans un magnifique petit bourg du centre de la Pologne...
J'ai retrouvé avec grand plaisir le ténébreux Teodore Szacki, même si je ressors légèrement déçue de cet ultime opus. L'immersion dans la société polonaise est toujours plaisante, car l'auteur s'y entend à la décortiquer avec ironie, humour et acidité. Mais l'histoire m'est apparue alambiquée et tortueuse et le récit parfois une peu trop bavard.

Je garderai néanmoins en mémoire un personnage de procureur fort bien construit, naviguant à vue dans des décors urbains plus que laids, sous un climat détestable et une ambiance assez désespérante sur fond de violences conjugales.

L'auteur semble être le poil à gratter de la littérature polonaise, fustigeant ses contemporains, leur passé, leurs travers, se moquant du climat et de la laideur de son pays. Il y va un peu fort, car découvrir la Pologne est un plaisir.
Mais peut-être pas y vivre?...


* Les impliqués
** Un fond de vérité
Commenter  J’apprécie          420
Troisième et dernier opus de la trilogie consacrée au procureur Teodore Szacki, qui officie désormais à Olsztyn, dans le Nord-Est de la Pologne -à son grand désarroi.

En Pologne, c'est le procureur qui dirige l'enquête, et celle qui se présente à Szacki est des plus mystérieuses : un squelette, parfaitement bien conservé, est retrouvé dans un ancien abri antiaérien du centre-ville. Après analyse, il s'avère que le squelette est un peu trop propre pour être honnête ; qu'est-ce donc que cette diablerie ?
C'est avec plaisir que j'ai retrouvé le psycho-rigide Teodore Szacki ("dont la raideur aurait pu humilier un acteur porno"), son professionnalisme rigoureux, sa maladresse avec les femmes, ses ronchonnements de perfectionniste, et ses problèmes de conscience (on est en terre slave). Dans ce troisième volume, il est aux prises avec une machination qui le dépasse, et j'ai admiré tout le talent de l'auteur pour imaginer et structurer une intrigue d'une telle complexité. le souci est que je m'y suis parfois quelque peu égarée, tant les ramifications sont profondes et nombreuses.
J'ai également apprécié de retrouver un morceau de Pologne, revoir un peu comment les Polonais vivent, et découvrir un bout d'Histoire, à savoir celle de la Warmie-Mazurie. J'ai aussi aimé la franchise avec laquelle Zygmunt Miloszewski évoque son pays ("un territoire encombré de la pire architecture d'Europe") et ses concitoyens ("une foutue mentalité de gueux du moyen-âge") ; derrière l'acidité, on perçoit la tendresse, un peu comme la kapusta, ce plat de chou adouci par des morceaux de pommes. Toutefois, si la thématique de ce roman est universelle, elle semble résonner plus durement en Pologne -et l'actualité le démontre encore. D'où la forte impression que laisse ce livre, une fois refermé.

A l'instar des deux précédents, cet opus m'a tenue en haleine sur ses 550 pages, et confirme que Miloszewski est l'un des meilleurs auteurs de polars actuels ; ça change des Scandinaves.
Commenter  J’apprécie          3914
Dernier voyage en compagnie du procureur Teodore Szacki ! Et peut-être le plus réussi. Le prologue laisse entendre une conclusion sombre, ce qui sera le cas...

Puis nous revenons un peu en arrière, en novembre 2013. Notre procureur, après un bref retour à Varsovie, est nommé à Olsztyn , au nord-est de la Pologne. Il vit maintenant avec Zénia, et sa fille, Hela, qui n'a pas voulu suivre sa mère aux Etats-Unis. Une drôle d'enquête commence, avec un cadavre devenu squelette car rongé à l'acide, composé de différents ossements humains. A ceci s'ajoute que Szacki n'a pas assez prêté attention à la démarche d'une femme, venue le voir pour lui dire qu'elle a peur de son mari, mais comme elle ne sait rien avouer de ce qu'elle subit, il la laisse repartir, le regrettant ensuite. Ce en quoi il n'a pas tort... car tout va s'enclencher à partir de cet événement...Et la rage n'a jamais été bonne conseillère...

Comme dans les autres tomes, la dimension sociale est ici essentielle, la maltraitance, les violences conjugales sont au coeur du livre. On retrouve aussi le ton caustique de l'auteur, à travers l'humour noir, le côté désabusé de son personnage .

Et l'on quitte à regret ,mais définitivement , ce procureur irritant certes, un brin dépressif , mais si attachant....
Commenter  J’apprécie          340
♫ Szacki, c'est fini, et dire que c'était le procureur de mes premiers amours ♫ Szacki, ses enquêtes c'est fini, je ne crois pas que je m'en remettrai un jour ♪

Je vous rassure de suite, je ne me suis pas faite l'intégrale d'Hervé Vilard, juste que je ne sais pas pourquoi sa chanson "Capri c'est fini" est venue à mon esprit lorsque je cherchais le début de ma chronique.

Eh oui, c'est fini car qui dit trilogie dit trois tomes… Ceci était donc le dernier tome des enquêtes de mon procureur polonais préféré : Teodore Szacki.

Je l'avais rencontré il y a quelques années à Varsovie, au prise avec un cadavre dont l'oeil avait embroché par une broche à rôtir (Les Impliqués). Puis, je l'avais suivi à Sandomierz, 4 ans plus tard, muté, divorcé, avec un corps de femme exsangue pour débuter une enquête des plus carabinées (Un fond de vérité).

Quatre ans de plus se sont écoulés dans la vie de mon proc' préféré et le voici en poste à Olsztyn (la ville aux onze lacs…), habitant juste en face de son lieu de travail avec sa copine et sa fille, devenue une ado un peu chiante et manipulatrice. Normal, c'est une ado.

Alors, raconte, comment ça s'est passé cette lecture !

Et bien, mes retrouvailles avec le procureur Teodore Szacki se sont bien passées, il est toujours aussi ronchon, colérique, énervé, cynique, misanthrope, sociopathe et se retient très souvent de balancer les petites vacheries auxquelles il pense, mais dont nous, lecteur, profitons. Bref, je l'adore !

Parfois, il ne se retient pas et balance le tout brut de décoffrage dans la figure de la personne, ce qui fait du dégât, surtout avec les médias, qu'il déteste cordialement.

J'ai ressenti une pointe de nostalgie tout de même en sachant que c'est le dernier tome et que mon Teodore – le Sherlock Holmes des procureur – ne me fera plus vibrer avec ses enquêtes tout en me contant sa Pologne et ses jolis petits travers, ses problèmes, sa bureaucratie de merde et tout le reste.

C'est que j'avais apprécié dans les autres tomes : le côté politique.

L'auteur ne se contente pas de nous faire suivre une enquête de type whodunit ! Il nous parle de son pays, de cette Pologne que nous connaissons mal, de sa politique, de sa population, de son administration (de merde), de la Russie toute proche, du passé Prussien, du racisme et de l'antisémitisme de certains.

Ce qui donne au final des romans denses, bien achalandés, Noirs et sans sucre, le tout servi par une écriture qui se dévore, qui se déguste, et qui vous emporte dans de nouvelles contrées (sous le froid et la grisaille, dans ce tome-ci).

De ce côté là, j'ai eu de la chance avec ses romans, je les ai souvent lu au bon moment, atmosphériquement parlant : celui-ci commence un 25 novembre et je l'ai commencé à le lire le 20 novembre (le 1er tome avait été lu en mai et le roman se passait en juin, le second se déroulait en avril et lu en avril), ce qui donne plus de poids aux conditions météo incluses au début de chaque chapitre, avec les événements clés qui ont eu lieu à cette date là.

En plus de nous donner une atmosphère particulière, l'auteur brosse bien ses personnages, chacun étant unique, bien détaillé, sans devoir en faire trop et chacun peut évoluer à sa manière, nous étonner ou nous décevoir.

Teodore, lui, il reste fidèle à son caractère de cochon, à son côté parfois pas social pour deux balles, à ses exaspérations sur les aménagements routiers de la ville, à ses envies d'étrangler le chef des travaux et son ras-le-bol du chauvinisme de ses habitants.

Il est sexiste, macho et voit souvent les femmes comme la propriété de l'homme (comme beaucoup dans son pays), même s'il essaie de changer sa vision.

C'est rempli d'humour noir et de cynisme, en fait, et j'adore ça !

L'enquête que nous a servie l'auteur était canon, digne d'un final pour notre procureur, c'était une belle enquête, malheureusement, je suis restée avec des questions sans réponse une fois la dernière page tournée.

Dommage, ça casse le coup de coeur assuré car je suis restée dubitative et en proie au syndrome de la dernière page qui vous coupe le cordon un peu trop brutalement.

Malgré tout, je ne regretterai jamais d'avoir lu cet auteur et découvert son procureur, souvent de mauvaise humeur, évoluant dans un pays que j'ai été contente de découvrir, bien loin d'un Guide du Routard et des affiches flamboyantes des agences de voyage. Ici, c'est cru et sans édulcorants et sans colorants artificiels.

♫ Nous ne te lirons plus jamais,
Procureur que j'aimais,
Nous ne te lirons plus jamais,
Ton auteur l'a décidé,
Nous ne te lirons plus jamais,
Ce soir, j'ai beaucoup de peine,
Avec toi nous n'enquêterons plus jamais,
Comme les autres années. ♪
♫ Szacki, c'est fini, et dire que c'était le procureur de mes premiers amours ♫
♫ Szacki, ses enquêtes c'est fini, je ne crois pas que je m'en remettrai un jour ♪

Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          304
Et voilà, c'est fini ! Je viens de terminer avec un peu de tristesse « La rage » qui est le troisième tome de la trilogie mettant en scène le procureur Teodore Szacki, personnage créé par Zygmunt Miloszewski.
J'avais beaucoup aimé les deux premiers tomes, aussi c'est avec beaucoup de fébrilité que je me suis plongée dans la lecture de « La rage ».
J'ai évidemment retrouvé avec plaisir Teodore Szacki qui a déménagé une fois de plus. Il a quitté Sandormierz pour s'installer dans une autre ville de Pologne : Olsztyn.
Il a fini de papillonner et habite à présent en concubinage avec en prime il a maintenant la garde de sa fille. En effet, Teodore est maintenant le père d'une adolescente dans toute sa splendeur, donc on ne peut qu'imaginer l'ambiance qui peut régner chez lui par moments.
Nous le retrouvons donc en novembre 2013 et il va être amené à enquêter sur un meurtre bien particulier : en effet des ossements ont été découverts et il semble bien qu'il s'agit d'un meurtre.
Peu de temps après, Teodore Szacki va être mêlé à une histoire de violence conjugale…. Et on va passer à la vitesse supérieure. L'enquête et l'histoire sont vraiment très bien élaborées.
Je reconnais, que en plus du plaisir de retrouver ce procureur haut en couleur (non seulement il est ronchon, mais il est aussi très compètent), voyager dans cette Pologne, qui, il faut le reconnaitre, je connais fort mal, a été pour moi un moment de lecture vraiment fort.
Oui, l'auteur excelle dans l'art de nous restituer la situation sociale et politique de ce pays qui finalement n'est pas très connu. Les différentes institutions polonaises passent aussi au crible de sa plume sans concession.
Le final de ce livre est vraiment très fort et j'avoue que la fin m'a un peu scotchée même si un petit moment elle m'a fait penser à un ancien film avec Michael Douglas : La nuit des juges (mais bon, il y a quand même pas mal de différences finalement )
Bon, même si j'ai terminé avec cette trilogie, j'ai l'intention de continuer à lire les autres livres de monsieur Zygmunt Miloszewski.


Challenge Séries 2019
Challenge Pavés 2019
Commenter  J’apprécie          260
La Rage est l'un de ces romans qui dénoncent, qui prennent parti et donc qui font du bien. A travers une intrigue policière, l'écrivain Miloszewski nous parle des violences domestiques dans sa Pologne natale. On prend rapidement conscience que le sujet lui tient très à coeur et que ce problème gangrène la Pologne de façon inquiétante. Pour ce qui est du suspense, il est bien tenu et on se laisse happer dans cette histoire sordide de cadavre reconstitué. Néanmoins, j'ai quelquefois eu des problèmes de compréhension sur certaines scènes : qui parle ? pourquoi certains personnages font-ils ce qu'ils font ? d'où viennent-ils ? Je ne sais pas si cette lacune est dûe à la traduction ou à l'écriture originale, mais c'était parfois pénible de se dire “je ne comprends rien”. Ces petits épisodes n'étaient cependant pas très nombreux et La Rage est un roman à lire pour le message qu'il fait passer.

Plus de chroniques littéraires sur :
Lien : http://raisonlectureetsentim..
Commenter  J’apprécie          253
Je ne suis pas une grande amatrice de polars mais j'avais envie de savoir comment Zygmunt Miłoszewski s'est séparé de son personnage principal, le procureur Szacki. La récente parution de la version française du dernier opus de la trilogie, a été une bonne occasion de me plonger dans l'exemplaire polonais dormant dans ma bibliothèque.

L'enquête démarre lentement mais cela ne m'a pas du tout dérangée. L'attente est agrementée par les déboires personnels de notre enquêteur, son attitude un peu blasée, son humour, son ironie et sa colère. L'excentricité de quelques personnages qui l'entourent (l'ambitieux stagiaire Falk ou l'extravagant légiste Frankenstein) embellit un peu le paysage maussade de la Pologne automnale. Olsztyn n'est pas une ville aussi attrayante que la pittoresque Sandomierz (lieu de la précédente enquête) mais quelle autre ville polonaise peut s'enorgueillir d'avoir dans son périmètre onze lacs?

Passé deux cents pages l'intrigue devient de plus en plus intéressante, l'enquête accélère et devient vraiment captivante pour arriver à un dénouement inattendu. Tous les amateurs du procureur polonais ne devraient pas être déçus mais il seront frustrés par le fait qu'il s'agit malheureusement de son ultime affaire.
Commenter  J’apprécie          210
Troisième épisode des enquêtes du procureur Teodore Szacki. Troisième ville de Pologne.

A partir d'un squelette, théoriquement ancien, se développe une intrigue riche et intéressante. On retrouve le style enlevé, humoristique, dynamique de l'auteur, plaisant.

Après, comment dire, j'ai tout de même un peu l'impression que l'auteur a perdu une certaine affection pour ses personnages. Certes, Teo nous avait montré ses faiblesses dans les deux premiers épisodes, mais, et ça n'engage que moi, j'ai tout de même l'impression que Zygmunt force le trait.

Cela reste un très bon bouquin, de qualité. Intéressant aussi de lire le mot de l'auteur, à la fin, s'étonnant que ses livres aient du succès en France. Comme il parle bien français, et qu'il vient à Toulouse au salon polar du Sud, je lui poserai la question s'il nous fait l'honneur de revenir au salon 2017.
Commenter  J’apprécie          160
Le procureur Teodore Szacki, déjà mélancolique et un peu déprimé dans les deux précédents romans, se questionne beaucoup. Cette rage qui l'anime perpétuellement fait-elle de lui un bon procureur, ou au contraire dessert-elle la réussite de ses enquêtes ?

D'abord il piétine pour retrouver l'assassin d'un homme dont seul le squelette a été retrouvé et dont les os sont mélangés avec d'autres... Puis un autre homme disparait, sans que ses proches semblent beaucoup s'en inquiéter. Enfin il prend à la légère la plainte d'une femme pour violences conjugales avant que celle-ci soit retrouvée presque morte et son mari blessé sauvagement. Tous ces drames semblent avoir un point commun, celui des violences conjugales. Serait-il possible qu'un justicier veuille punir tous ces hommes, et comment faire pour reconstituer ce puzzle ?

L'atmosphère dans cette ville de province polonaise, en plein hiver, est glaciale. le procureur doute de lui-même, de son travail, de son rôle de père et d'amant. Les descriptions de torture sont insupportables. Bref rien que du noir dans ce bon polar que j'ai toutefois trouvé un cran en-dessous des précédents. Un peu trop d'hémoglobine et de perversité à mon goût. Les précédents faisaient appel à l'histoire de la Pologne, soit récente, soit pendant la guerre, et apportaient une vraie épaisseur à l'histoire.

Et la surprise vient de la fin… à vous de lire le roman pour la découvrir ! (mais je vois que plusieurs Babeliotes en disent plus que moi...)
Commenter  J’apprécie          162




Lecteurs (486) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2859 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}