De quoi conforter les stéréotypes si l'on fait le parallèle entre la fin wagnérienne d'Hitler et la pantalonnade tragique que fut celle de son acolyte italien . Sordide aussi car les épisodes écoeurants ne manque pas avant le summum que fut la barbarie infligée aux cadavres à Milan. Ce n'est pas le moindre paradoxe que de ce sentir , à leur lecture, pris de pitié pour un individu qui n'en méritait pas.
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