C'est très déçue que je viens de terminer ce onzième tome de Peacemaker. Déjà dans le volume précédent, j'avais eu le sentiment que les scènes de combat s'éternisaient et que le scénario manquait un peu de consistance. Cette impression s'est confirmée.
Dans ce nouveau tome, on ne peut pas dire qu'il se passe grand chose. L'intrigue se résume à un interminable combat entre Nicola, ses compagnons et leurs ennemis ninjas... Et voilà, rien de plus. J'avais espéré que l'auteur abrègerait ce combat pour enfin en venir aux choses sérieuses : le tournoi du Gun of domination. Mais il semblerait que ce ne soit pas pour tout de suite...
Vers la fin du tome, l'auteur approfondit un peu l'histoire d'Atra et sa famille mais je n'y ai pas vraiment trouvé d'intérêt. Encore une histoire de famille manipulée et finalement détruite par les Crimson, qui n'apporte pas grand chose à l'histoire. Même l'apparition de Cole ne parvient pas à faire décoller l'intrigue.
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- Soit tu es ma prisonnière, soit tu meurs. Je te laisse libre de ce choix.
- Tu parles d'un choix ! Tu ne me laisses pas beaucoup d'alternative ! [...] On a le droit d'être libre de mener l'existence qu'on veut. Désolée, mais franchement, pas question de devenir ton petit canari. Si tu persistes à vouloir me mettre en cage... Alors tant pis, cela aura été plus tôt que prévu... Mais réglons définitivement notre problème ici.
- Depuis ce jour où j'ai saisi ton arme, j'ai espéré me révéler à la hauteur et devenir meilleure que toi. C'est pourquoi je ne reculerai pas. J'irai au Guns of Domination. Et je vous montrerai à tous que cette arme... est un symbole de paix.