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EAN : 9782743645953
112 pages
Payot et Rivages (02/01/2019)
2.64/5   221 notes
Résumé :
Céline Minard revisite avec brio les codes du film de braquage autour de la thématique du vin pour distiller un cocktail explosif où l’ivresse se mêle à la subversion. Voilà cinquante-neuf heures que la brigade de Jackie Thran encercle la cave à vin la plus sécurisée de Hong Kong, installée dans d’anciens bunkers de l’armée anglaise. Un groupe de malfaiteurs est parvenu à s’y introduire et garde en otage l’impressionnant stock qui y est entreposé. Soudain, la porte ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (58) Voir plus Ajouter une critique
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sur 221 notes
« Bacchantes » : des braqueuses de bacchanales

Avec son nouveau roman, Céline Minard nous plonge dans un univers gangster extravagant au style maîtrisé et convaincant

À Hong Kong, les caves de garde ECWC sont parmi les plus sécurisées au monde. Un véritable bunker, où sont conservées dans les meilleures conditions des centaines de milliers de bouteilles de vin.
Valeur du stock : 350 millions de dollars. Des grands crus uniquement, confiés par leurs riches propriétaires à M. Coetzer, ancien ambassadeur reconverti dans le marché de services aux milliardaires.
La cave est imprenable, grâce à son système de sécurité ultrasophistiqué : « la plus grande forteresse des vins d'Asie du Sud-Est ».
Et pourtant, c'est bien ce tweet qu'il recevra un beau matin : « Vous ne pouvez plus entrer. Nous avons tout ouvert. Nous avons tout relié ». Des intrus se sont introduits dans sa place forte.

La police est convoquée. Jackie Thran, la cheffe de la brigade, veut faire sauter la porte blindée et donner l'assaut. le négociateur, Marwan Cherry, préfère attendre et voir.
Voir quoi ? Un escarpin déposé devant l'entrée, puis une bouteille de grande cuvée, vidée de son contenu mais remplie d'urine.
Ce ne sont pas des braqueurs, mais des braqueuses, et elles ont décidé de se faire un grand banquet digne de Bacchus. Une bacchanale.

La menace d'une explosion cyclonique.
Alors que le puissant typhon Shanshan menace la baie de Hong Kong, un véritable festin devait accueillir les clients milliardaires de M. Coetzer pour « vivre un moment de totale sécurité, chez lui, dans l'oeil du cyclone, dans sa pupille ». Car sa forteresse de vin offre une meilleure protection que toutes les habitations des hommes.

Subversif ? Pas seulement. Même si ces trois braqueuses atypiques, qui n'auront pas assez de leurs vies pour boire tout ce précieux nectar, compte bien prendre leur part de gâteau et de sécurité réservées aux plus riches.

Absurde ? Totalement. Leurs exigences : un nécessaire de maquillage, pied de nez d'une dérision volontaire, cachées derrière leurs masques de clowns et leurs communications excentriques.

Dans l'ivresse ? Absolument. « le temps de la sidération » est venu... C'est ce cocktail explosif, absurde et aviné au rythme échevelé qu'il faut absolument découvrir.

Un millésime 2019 à lire sans modération !

Lu en décembre 2018.

Retrouvez ma chronique complète sans le conseil des libraires Fnac :
Lien : https://www.fnac.com/Bacchan..
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Prenez un ancien ambassadeur, Ethan Coetzer. Laissez-le aménager une douzaine de vieux bunkers britanniques de la Seconde Guerre mondiale à Hong Kong en super caves à vin ! Attention ! Pas n'importe quelles caves ! Non ! Non ! Une cave forteresse aussi bien sécurisée que les banques les plus sécurisées peuvent l'être. Pas n'importe quels vins, non plus ! Pas de la bibine à cent ou deux cents euros la bouteille ! Voyez grand ! Plus grand ! Plus grand encore ! Vous y êtes ? Des bouteilles à quelques centaines d'euros comme entrée de gamme, c'est le minimum, mais un tel chef-d'oeuvre d'ingéniérie mérite d'abriter les plus grands crus ! Des bouteilles uniques où les dizaines de milliers d'euros sont seuls dignes de les fréquenter… Ah ! Les clients ! Ils viennent de partout dans le monde : milliardaire suisse, riches Arabes, acteur américain… Ils confient à l'ancien diplomate leurs plus précieux breuvages pour qu'ils soient gardés à l'abri dans des conditions de maturation parfaites…

Imaginez qu'au moment où un terrible typhon menace l'île… Il est en route… Il va frapper… Ce n'est plus qu'une question de jours… Imaginez que ce soit là le moment choisi par des braqueurs pour… prendre en otage le stock des bouteilles de vin confiées à la vigilance de monsieur l'ancien ambassadeur ! Mais c'est impossible ! Comment ont-ils fait ?
Ils ? Vous avez dit « ils » ? Vous avez tout faux ! Elles ! Et elles sont trois : les trois folles du bunker !

Par respect pour ses soixante-sept printemps, commençons par la Bombe : Jelena Drogan La Bombe ? Oui ! N'y voyez rien de sexuel, encore que… La Bombe parce que cette dame est une formidable spécialiste des explosifs ! Et une meneuse d'hommes… Enfin… dans ce cas-ci, je devrais dire de femmes…

Tiens ! Justement ! Présentons les deux autres… Bizzie, la clown, hyperactive, une vraie tarée ! Et puis, il y a Silly, la brune… Que dire, sinon qu'elle a de très beaux escarpins et que les vêtements ne semblent guère être familiers avec sa peau…
Ces trois dames semblent bien s'y connaître en (grands) vins…

Mais comment sont-elles entrées ? Quel est leur objectif ? … Des tarées, je vous dis…

Pensez à cette pauvre Jackie Tran qui commande les opérations de police… Elle en perd son latin (pas grave, elle n'en a probablement jamais eu) mais si cela continue, elle va perdre son anglais et son chinois ! Grave !

Et puis, ce fameux négociateur, ce Marwan Cherry que Jackie Tran étriperait volontiers, à quoi sert-il ? Franchement ? Mais à quoi sert-il, Monsieur l'Expert en Expertitude ?


Critique :

Vanté comme un des quinze livres incontournables de la rentrée, je me suis précipité pour l'acheter. D'habitude, je me fiche des rentrées littéraires, mais devant les commentaires dithyrambiques et la 4e de couverture, je me suis laissé posséder !

Verdict : Beaucoup de bruit pour pas grand-chose ! Ouille ! Mais… Mais, je me fais caillasser ! M'enfin ! Bande de fans, laissez-moi une chance de m'expliquer !

L'histoire est vendue comme étant un mélange d'escroquerie de haut-vol, une histoire d'un cambriolage hors du commun, de l'humour à gogo… Et j'ai le sentiment de me retrouver avec un synopsis de cette histoire, un roman incomplet manquant cruellement de détails et à l'humour plus que limité.

Si vous avez compris la fin, faites-moi signe car mon demi-neurone n'a pas suivi !

Par quel miracle les trois cambrioleuses ont-elles réussi à s'introduire dans des bunkers mieux protégés que la Banque de France ? Mystère et chocolat ! Quel est l'objectif poursuivi ? Secret Défense !

Bref ! Une ENORME déception ! Deux étoiles, c'est vraiment bien payé pour un livre très cher vu la taille, le nombre de pages et la qualité de l'histoire…

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À l'image de ces cuisiniers cathodiques qu'on nous inflige constamment et qui trouvent dans la "revisite" la quintessence de leur art, Céline Minard continue de passer en revue ses gammes de genres littéraires. Sauf que dans son cas, c'est plutôt réussi !

Ainsi, après le western ou l'épopée en montagne hier, elle nous livre avec Bacchantes et beaucoup d'adresse, une "revisite" du livre de braquage, dont elle reprend les codes en y ajoutant sa marque personnelle, la profondeur.

Alors qu'un typhon menace Hong-Kong et que ses habitants s'apprêtent à se calfeutrer pour de longues heures, 3 femmes, la Bombe, la Brune et la Clown sont retranchées dans le bunker alpha. C'est la plus grande cave à vin du monde imaginée par Ethan Coetzer et remplie des bouteilles les plus illustres pour une valeur de plusieurs centaines de millions de dollars. Une flic, Jackie Tchan et un consultant-négociateur Marwan Cherry, tentent d'en finir au plus vite avant que le typhon n'empêche toute intervention.

Chacun de ces personnages est caricaturé à l'extrême, de la flic sur les nerfs et pressée d'intervenir, au consultant dépassé, en passant par ces 3 Bacchantes, adoratrices de Bacchus autant que femmes exubérantes et débauchées.

Céline Minard réussit à la fois à nous plonger dans son atmosphère tendue dès ses premières lignes, puis à nous inviter à une approche hédoniste et jouissive de la vie et de la possession, où l'ivresse transcende et transforme. Le tout en une simple petite centaine de pages où chaque mot compte et joue son rôle : chapeau !
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Au fur et à mesure de la parution de ses romans, on découvre Céline Minard avide d'explorer tous les genres, de se servir de leurs codes pour nous faire passer un message à sa sauce. Après la science-fiction dans le dernier monde, le roman moyenâgeux avec Bastard Battle ou encore le Western avec Faillir être flingué, voici le roman noir avec cette histoire de braquage mené par trois intrépides amazones.
Nous sommes à Hong Kong à quelques jours de l'arrivée d'un typhon. Autant dire que la tension est déjà grande quand on apprend que l'un des endroits les mieux protégés de la ville, l'ancien bunker des forces anglaises reconverti en gigantesque cave à vins, vient d'être braqué.
Quand s'ouvre ce court roman, voilà déjà près de trois jours que la police a pris position autour du bâtiment, sans pouvoir pour autant intervenir. Elle manque tout simplement d'informations sur ce qui se trame derrière les portes blindées. Soudain, la porte s'ouvre et une jambe fuselée, terminée par un talon-aiguille, dépose une bouteille avant de s'éclipser. Un romanée-conti de 1969.
Quel message les braqueurs ont-ils voulu transmettre?
Jackie Thran, qui est en charge des opérations au sein de la police essaie d'en savoir davantage, veut analyser chacun des faits et gestes, suivre les caméras de surveillance, tenter de comprendre. À ses côtés, un ancien diplomate sud-africain est dans tous ses états. C'est Ethan Coetzer, gérant de ce stock estimé à quelques 250 millions de dollars et que les braqueurs menacent de faire exploser. le message initial envoyé par tweet ne laisse guère de doutes sur leur professionnalisme: «Vous ne pouvez plus enter. Nous avons tout ouvert. Nous avons tout relié. ECWC 21h 18». Il faut désormais tenter de répondre aux trois questions qui? comment? Pourquoi?
Au fil des pages qui suivent, la première va trouver au moins partiellement une réponse: trois femmes occupent le bâtiment : Silly, Bizzie et Jelena. Avec elles, Illiad, un rat dont le rôle est loin d'avoir été anecdotique dans la prise de contrôle du bâtiment et qui répondra en grande partie au comment. À la question du pourquoi, il faudra se rappeler le titre du roman. Les Bacchantes désignant, on le rappellera, les femmes qui rendent un culte à Dionysos (devenu Bacchus dans la mythologie romaine et dieu du vin).
Voici donc un petit bijou passablement subversif – attendez l'épilogue! – et un tantinet alcoolisé pour commencer joyeusement l'année.
Notons enfin, pour ceux qui auront aimé la plume élégante de Céline Minard, la parution simultanée de son précédent roman «Le grand Jeu» en Rivages/Poche.

Lien : https://collectiondelivres.w..
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« Un vin exceptionnel doit être ouvert, décanté et apprécié dans des conditions elles-mêmes exceptionnelles. » (p. 20) Un typhon se rapproche de Hong Kong. Tout le monde se confine pour laisser passer le cataclysme. Mais l'inspectrice Jackie Thran est sur le pied de guerre pour gérer un braquage pour le moins original. Un groupe de femmes en talons aiguilles a infiltré la plus grande cave du monde et piégé les bunkers enterrés qui abritent des bouteilles inestimables. Et elles sont facétieuses, ces braqueuses : elles jouent avec les grands crus, les malmènent et elles ont des exigences farfelues. Ethan Coetzer, le propriétaire de la cave, est prêt à tout pour sauver sa superbe collection et savourer encore un précieux verre. « On devrait toujours boire comme ça. [...] Conscient. Nu. Dévalisé. » (p. 67) Mais que veulent-elles, ces femmes que la police tente d'identifier le plus vite possible ? Pourquoi avoir choisi cette cave ?

Férocement drôle et fulgurant comme un coup de feu, ce très court roman ne s'embarrasse pas de fioritures. Il va au plus court, au plus percutant. Céline Minard réinvente la figure antique/mythologique des prêtresses dédiées au dieu du vin. Comme elles, faites fi des conventions et des carcans : libérez-vous, osez tout. Et jetez-vous sur ce roman qui vous surprendra jusqu'au dernier mot !
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critiques presse (6)
LaPresse
15 février 2019
Céline Minard, qui aime jouer avec les codes des œuvres de genre [...] signe ici un roman pointu, très cinématographique, au style ciselé, où chaque mot compte plus qu'une histoire avec un début, un milieu et une fin - ce qui pourrait déplaire aux amateurs de polars plus traditionnels.
Lire la critique sur le site : LaPresse
LeFigaro
15 février 2019
Dans le sillage du génial et touche-à-tout réalisateur américain, Céline Minard construit au fil de ses écrits une œuvre éclectique et stimulante. Son dernier roman, Bacchantes, offre une parodie de hold-up féminin.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LeFigaro
17 janvier 2019
Céline Minard n'est pas une romancière intimiste. Elle écrit, revolver au poing, et percute sa cible. Un thème précis toujours, traité avec le maximum d'ajustement technique: western, capsule de survie en haute montagne, et cette fois-ci: braquage. Et prise d'otages.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Culturebox
15 janvier 2019
Un roman court, avec lequel la romancière revisite avec maestria le thriller, ou le film de braquage.
Lire la critique sur le site : Culturebox
LeSoir
14 janvier 2019
Un grand cru ramassé à savourer lentement.
Lire la critique sur le site : LeSoir
LeMonde
07 janvier 2019
Les trois héroïnes dionysiaques de Céline Minard ont de la descente. Le vin est bon, excellent même, et la pente est raide : le récit file à toute allure, d’autant plus vite que le lecteur garde les yeux rivés sur la ligne jaune, gosier sec.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
Il se contente de goûter le vin. À l’aveugle, mais plongé dans ses sensations, sans essayer d’en appeler à ses connaissances, ses souvenirs, ses réflexes, uniquement mais absolument attentif à ce qui s’annonce, passe, et prends corps dans son corps. Il part. Il descend sur des terres humides et fraîches, sur l’épiderme d’un monde organique travaillé par les météores et les vents, arrosé de soleil, givré, bourgeonnant, craqué.
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À partir de ce moment et jusqu’à la fin de la carafe, Coetzer se suspend. Il se contente de goûter le vin. À l’aveugle, mais plongé dans ses sensations, sans essayer d’en appeler à ses connaissances, ses souvenirs, ses réflexes, uniquement mais absolument attentif à ce qui s'annonce, passe, et prend corps dans son corps. Il part. Il descend sur des terres humides et fraîches, sur l’épiderme d’un monde organique travaillé par les météores et les vents, arrosé de soleil, givré, bourgeonnant, craqué, il glisse parmi les feuilles, se coule dans les rus, tombe comme une pluie, monte dans la sève, gonfle de concert avec les milliers de fruits ronds, pleins, pruinés, les grappes entières accrochées sans effort au bois plongeant au travers des herbes entre les vies d’insectes innombrables. Branché sur toutes les variations, il sent la forme des nuages, le cri des bêtes et les plumes, le départ d’un lièvre, la nuit comme une vasque, sans dessus ni dessous, aussi vaste en lui qu’un état de l’âme et du cœur. Il plane. Il absorbe autant qu’il est absorbé. 
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Malgré la profonde vexation causée par le cambriolage, il se sent une certaine affinité avec le ou les pillards qui ont si judicieusement sorti les bouteilles sans grand intérêt, et choisi de boire un chambolle-musigny et un romanée-conti de 1969, hors du monde, dans les bras tièdes de ses fauteuils grand confort tendrement enfoncés à vingt mètres sous terre.
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- C'est une très belle cuvée. Il est possible que ce soit mon dernier vers, mais je le trouve magnifique. On devrait toujours boire comme ça.

- Comment ? demande la Bombe.

- Je ne sais pas. Conscient. Nu. Dévalisé.
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Aucun badge ne répond plus, les caméras de surveillance n’enregistrent rien d’anormal, les écrans de contrôle affichent des températures habituelles, une humidité constante et un éclairage réduit au bunker de réception.
Ethan Coetzer a d’abord cru à un canular. Il s’est trompé. Le premier assaut donné par les forces de police a été un échec. La porte blindée est à l’épreuve des obus, le système d’ouverture par reconnaissance faciale a été détruit. Et personne à l’intérieur de la place ne s’est laissé impressionner par le vacarme des détonations. En échange, ils ont trouvé à quatre heures du matin, debout devant la porte parmi les plaques de peinture brûlées, la première bouteille débouchée. Aux trois quarts vide. Sans commentaire. Sans s’expliquer non plus comment elle était arrivée là. Ils ont néanmoins compris à cet instant qu’ils avaient perdu le contrôle des caméras de surveillance. À quel moment exactement ? Cette question travaille le cerveau de Jackie Thran comme une ritournelle. Avec trois autres, qui tournent en boucle : qui, comment, pourquoi ?
Pour la brigade d’intervention, la plus importante est « comment ». Pour Jackie et pour le négociateur, c’est « qui ». Pour Ethan Coetzer, c’est « pourquoi ». Mais pour tous, elles sont intimement et différemment liées. Chacun pense à part soi qu’une seule réponse suffirait à résoudre la situation, mais aucun d’entre eux n’a le début d’une piste.
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Récipiendaire de nombreux prix, pensionnaire de la prestigieuse villa Médicis, voix majeure de la littérature française actuelle, Céline Minard a d'abord étudié la philosophie avant de se lancer dans l'écriture. Rencontre avec celle qui nous entraine en ses mondes incertains…
Avec : Céline Minard Modération : Jeanne-A Debats
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