Les marchés financiers régulent aujourd'hui l'économie mondiale.
Cet état de fait qui n'ira qu'en s'amplifiant n'est certainement pas à considérer comme un épouvantail menaçant les libertés individuelles ou nationales : c'est tout au contraire par une meilleure compréhension des mécanismes de la mondialisation que l'intérêt sera servi. Tel est le défi que le pouvoir politique doit relever sans tarder, sans quoi le pays connaîtra un déclin inéluctable.