Analysant la place des femmes depuis les premières civilisations sédentaires,
Ana Minski montre l'évolution parallèle de la domestication animale et de l'asservissement des « femelles humaines ». Confrontant des récits mythologiques aux données archéologiques, historiques, ethnologiques et éthologiques, elle se demande si cette violence oppressive ne serait pas à l'origine de la destruction actuelle du vivant.
(...)
Essai particulièrement riche en références, qui réussit une synthèse de l'histoire de l'humanité sous le prisme de l'oppression des femmes qu'
Ana Minski inscrit dans l'appétence humaine pour la destruction.
Article complet sur le blog de la Bibliothèque Fahrenheit 451 :
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