depuis la vie dans les villages à celle dans les châteaux-forts en passant par les villes, le commerce, les bâtisseurs de cathédrale, les maladies et famines, les fêtes, l'enseignement, les moines, les pèlerinages, la chasse aux hérétiques, les grands seigneurs, les tournois et les guerres, tous les grands aspects du moyen-âge sont évoqués. ajoutez à cela les emblèmes utilisés, l'habillement, les animaux en ce temps là et vous aurez un documentaire très complet, très bien illustré et beaucoup de texte. à réserver aux plus grands ou aux plus intéressés.
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Comme j'ai pu aimé ces livres étant enfant. Ils ont certainement contribué à mon édification et ma passion pour l'histoire. Ce n'est qu'arrivé à l'âge adulte que j'ai pu constater que la riche et colorée iconographie s'appuyait sur des recherches historiques précises qui ne souffraient d'aucune approximation dans les détails.
Les volumes de la collection illustrés par Pierre Joubert sont un must.
Ce numéro fut mon premier. L'écho de l'émotion ressentie à sa découverte ne me permet pas d'émettre un avis honnête à son sujet.
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Des ouvrages qui ont plutôt bien vieilli. Certes, les premières éditions datent des années 70, mais ces livres sont très bien réalisés avec des dossiers passionnants et de nombreuses illustrations commentées.
D'une lecture facile et donc abordable même pour les plus jeunes, on apprends de nombreuses choses au fil des pages qui abordent de nombreux sujets sur la thématique, ici : à l'abri des châteaux forts, le pouvoir des marchands, le fracas des tournois, famines et grands festins, la peste...
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Lu et relu étant enfant......
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Vers 1350...
Cinquante millions d’habitants pour toute l’Europe occidentale ! Vers 1300, la France, pays le plus peuplé d’Europe, ne compte guère plus de 15 millions d’habitants, et l’Angleterre, entre 3 et 4 millions. Depuis plus de trois siècles, on défriche, on assèche, on perce les grandes forêts. Mais l’Europe reste verte, des sapins des montagnes aux bois de la plaine ou aux roseaux géants des vallées fluviales.
Le foin est rare au Moyen-Age, et les faux coûtent cher. Aussi sont-elles soigneusement entretenues, affûtées à la pierre. Faute d’herbages suffisants, quand l’été est trop sec, on abat le bétail en novembre, la mort dans l’âme. C’est le « mois sanglant » de nos campagnes.