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Critique de Myriam3


La couverture est belle,le visage paisible d'une jeune femme aux yeux fermés penchée vers le spectateur ou ici le lecteur; on distingue des lettres calligraphiées sous l'illustration. Je pense que c'est ce qui m'avait fait acheter le roman, en plus d'une curiosité toute nouvelle pour la littérature japonaise.
En encart, il est précisé que l'auteure, Yu Miri, est une Japonaise d'origine coréenne qui a beaucoup souffert de moqueries durant ses années d'école. Ces détails m'ont toujours intriguée et je n'en comprends toujours pas la raison ici...

Le livre est composé de deux nouvelles. J'ai repris le livre par curiosité après l'avoir lu il y a une bonne dizaine d'années. J'ai redécouvert deux récits psychologiques un peu trop glauques pour moi, mais vu la critique de Rhodopsine, je ne suis pas la seule. On y suit, donc des relations familiales dans lesquelles les relations aux sexes sont crues et perturbantes; malheureusement on n'éprouve pas d'empathie, l'auteure ne nous en laisse pas vraiment le loisir, mais plutôt un mélange de dégoût et d'écoeurement. Peut-être l'auteure, pour son premier roman, a t'elle voulu jouer sur le thème de la provocation... Il y a certains passages descriptifs très beaux, pris sur l'instant, qui atténue ces mauvaises sensations, mais dans l'ensemble ce n'est pas un livre plaisant à lire et dont on tire quelque chose... je n'en comprends pas vraiment le but, l'intérêt.
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