Quand le gentilhomme errant échappa aux antres et monta jusqu'à l'arbre centenaire, il en embrassa l'écorce et pleura de bonheur. Oh, l'agonie de l'homme tombé au milieu des profondeurs... et le ciel promenant sur lui sa splendeur bleue !. .. Seigneur, quelle horreur ! Mais son âme était joyeuse, son regard s'étendait, avide d'infini, et ses poumons s'enivraient d'un air libre, parfumé de résine.
Au loin, le phare se dressait comme au milieu d'un temple en ruines et, dans le fanal, le soleil couchant allumait un bûcher...