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Ce n'est absolument pas une analyse psychanalytique de l'amour. La méthode est philosophique et l'auteur conclut que l'amour vrai, libre, est le plus haut niveau de bonheur auquel peut aspirer l'être humain, qu'il est le fondement d'une éthique. |
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Ce n'est absolument pas une analyse psychanalytique de l'amour. La méthode est philosophique et l'auteur conclut que l'amour vrai, libre, est le plus haut niveau de bonheur auquel peut aspirer l'être humain, qu'il est le fondement d'une éthique. |
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je me suis souvent ennuyé, même si je reconnais le talent de la réflexion de l'auteur. Peut-être parce que, comme beaucoup de philosophes, il n'ose pas s'aventurer là où ça fait mal c'est à dire là où cee n'est plus la pensée (aussi brillante soit elle) qu'il faut mettre en mouvement mais soi même avec ses vulnérabilités. Bref pas beaucoup de chair d'une certaine façon... le comble pour un bouquin qui traite de l'érotique du bonheur !
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Comment trompé sa femme de façon philosophique. C'est ce que nous explique Robert, avec une préface de Michel Onfray. C'est un philosphe qui, tel un dj, a mixé Spinoza (pour la joie) avec Sartre qu'il a connu (pour la liberté). Ici donc ses histoires de fesse. |
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Pour une érotique du bonheur faudrait-il être deux, l'auteur semble s'en arranger de lui même ?
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http://cestarrivepresdechezmoi.wordpress.com/2014/04/09/la-joie-damour-de-robert-misrahi/
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![]() | Lexpress 10 février 2014
Dans ce petit livre intelligent, clair et drôle, le philosophe Robert Misrahi appelle à un art de l'amour fondé sur la liberté. À lire toutes affaires cessantes.
Lire la critique sur le site : Lexpress |
![]() | Piatka 22 février 2014
Si les littératures et les psychologies de toute l'humanité donnent une si grande place à l'amour, si l'angoisse et la souffrance sont la tonalité la plus fréquente des méditations sur l'amour, si " l'objet perdu " ou " l'être manquant " ou " l'être manqué " sont les marques les plus corrosives de l'expérience amoureuse, c'est bien parce que l'enjeu de l'amour n'est pas le plaisir mais le sens même de l'existence. Or, celle-ci ne prend sens que par la joie d'être. Hors cette joie, l'existence n'est que persévérance végétative et consumériste, lutte aveugle et vaine pour la domination, ou combat futile contre l'ennui.
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![]() | Piatka 08 février 2014
En réalité, aimer c'est d'abord aimer l'autre et ensuite être heureux que l'autre vous aime. Tout dans l'amour véritable se passe comme si chacun offrait à l'autre un don d'amour sans attendre de retour, mais en se réjouissant singulièrement de ce retour éventuel. Et ce mouvement vaut dans les deux sens, de chacun vers l'autre. La réciprocité d'amour n'est pas un dû.
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![]() | Piatka 04 février 2014
L'éthique de la joie dit que la joie véritable, la joie intense et réfléchie qui se présente comme le Préférable absolu et l'enjeu radical, est une vie à construire et non une grâce à recevoir.
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![]() | ZzizZ 26 mars 2019
Le Désir, c'est-à-dire la conscience de tout un chacun, ne pourra effectuer le passage de la vie spontanée et maladroite à la vie souveraine et réfléchie que parce qu'il est déjà une conscience capable de se dédoubler, et parce qu'il est donc déjà libre dans sa spontanéité obscure. Les amants malheureux ne pourront se "reprendre" (se retrouver maîtres d'eux-mêmes et de leur amour) que parce que leur affectivité, leurs Désirs, leurs désirs sont déjà les actes libres d'une conscience. C'est donc par sa propre nature de conscience libre (d'un premier degré) que le sujet pourra transformer son affectivité malheureuse, angoissée ou agressive, en une affectivité heureuse et accomplie. Encore faut-il que le sujet en ait le Désir. (p.151) + Lire la suite |
![]() | Stefy89 28 septembre 2014
" Le présent se nourrit du projet d'avenir mais l'avenir est soutenu et justifié par le présent"
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Jostein Gaarder fut au hit-parade des écrits philosophiques rendus accessibles au plus grand nombre avec un livre paru en 1995. Lequel?