Momo Lover, tome 3

Dans ce dernier volume, Edward, le père de Momo, frère de Yomi et prince héritier d'un pays étranger fait son apparition pour emmener Momo dans son pays. Cependant la petite ne le connait pas et surtout, ne le reconnait pas comme étant son père. Il va donc tout faire pour se faire aimer de Momo et de Chieri par la même occasion.
Un dernier tome mignonnet... un peu décevant. Je n'en dis pas plus si ce n'est que la fin me semble vite expédiée.

Certes, ce ne sera pas la série de l'année : l'idée de départ est originale (une jeune lycéenne reçoit deux déclarations le même jour des - ô hasard - deux garçons les plus populaires de l'établissement ; mais pire, sa soeur lui abandonne temporairement son bébé). L'ensemble reste un peu bêbête, mais c'est sûrement l'idée recherchée par l'auteur. Il ne faut pas attendre de cette trilogie autre chose que se vider la tête. Les dessins sont agréables et le bébé Momo, avec ses habits animaux, est très mignon.

Le premier tome ne m'avait pas fasciné.
Le deuxième était léger mais se lisait tout seul.
Le troisième est une pépite d'humour et de tendresse ! Un vrai bonheur !
On sent bien l'évolution de la mangaka, qui avoue avoir trouvé ses marques au fur et à mesure.
Du coup ça donne envie de jeter un oeil à son prochain projet ^^

une fin drôlissime, avec une Momo parfaite et têtue!
situation tendres et coquasses au menu!
fous rires garanties!

Résumé : Edward, le prince papa de Momo, arrive au Japon pour récupérer sa fille. Que va faire Chieri ? Et quel est l'avis de la principale intéressée, Momo ?

Mon avis : Ce tome termine la série avec amour et tendresse. L'heure des décisions a sonné : Edward veut récupérer sa fille et reformer une famille avec Ichigo et Momo, Chieri adore Momo et a beaucoup de mal à la laisser partir. Et si c'était Momo qui choisissait ? Les jeunes filles aimant les bébés vont adorer Momo, ses improbables tenues et ses espiègleries. Il est dommage qu'à la fin, on n'en sache pas plus sur les relations entre Chieri et ses deux princes charmants, même si par ailleurs l'auteur s'en explique.
Lien : http://docbird.over-blog.com..