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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Seconde aventure d'Amelia Pritlowe.🔪

Londres en plein black out connait l'horreur des bombardements par les avions allemands, des couvre-feux... et d'un serial killer profitant de l'obscurité afin de traquer et assassiner des femmes. Amelia Pritlowe est contactée par le détective Dew, ancien inspecteur dans l'affaire Jack l'Éventreur afin de l'aider à appréhender ce monstre. Au départ réticente de se replonger de nouveau dans l'horreur, Amelia change d'avis lorsqu'elle comprend que les prochaines victimes programmées par le tueur sont des enfants...


Ce second volet nous propose non plus de se focaliser sur le passé d'Amelia Pritlowe en tant que fille de victime, mais de se plonger dans son présent avec un autre criminel ayant sévit à Londres dans les années 40. Comme pour Retour à Whitechapel, Michel Moatti base son récit sur des faits réels et avérés. Seulement, le tout est ensuite enroulé dans une trame fictive afin de rendre l'histoire cohérente avec son personnage d'Amélia Pritlowe.


En toute franchise, Retour à Whitechapel est nettement mieux. D'une part, nous connaissons dès les premières pages le nom du serial killer et nous le suivons au fil de ses pérégrinations. D'autre part, Michel Moatti semble avoir brodé une trame fictionnelle telle qu'elle "étouffe" un peu les faits réels : le roman passe énormément de temps sur les questionnements d'Amelia quant à son intervention ou non dans l'affaire, quant aux liens avec son passé et l'affaire Jack l'Éventreur...


Par contre, un grand bravo pour le travail effectué en amont afin de rendre ce Londres sous les bombes si réaliste. Michel Moatti réussit à nous plonger dans l'horreur avec ses descriptions détaillées et si vivantes : les bombes qui tombent, les destructions de bâtiments, l'abandon des automobiles au profit de charrettes par manque de carburant, les mesures du gouvernement concernant les lumières en soirées et l'éloignement des enfants. Comme toujours, Michel Moatti nous propose une image recto verso avec d'un côté les ordres gouvernementaux et la réalité des faits. J'ai ainsi pu découvrir que malgré l'ordre d'éloigner les enfants de Londres, beaucoup de parents pauvres préféraient les garder près d'eux puisqu'ils subvenaient aux besoins de la famille en travaillant dans des usines ou a des postes ingrats. Beaucoup sont morts sous les bombes ou gravement blessés par les bombes incendiaires.


Pour conclure : Un auteur et une série qui mérite d'être connue.👍
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Ce roman policier assez sanglant plaira aux amateurs d'Histoire, car le Londres de 1942 y est très bien décrit.
On y suit durant une semaine le quotidien d'une femme, Amélia Pritlowe, que l'on a déjà rencontré dans le précédent roman de cet auteur : « Retour à Whitechapel ».
Cette infirmière d'une bonne cinquantaine d'années va être confrontée à son passé et elle va avoir la possibilité de tirer un trait définitif sur une partie sombre de sa vie.
Mais nul besoin d'avoir lu ce premier roman pour comprendre celui-ci, dont l'histoire est indépendante, les éléments principaux sont de nouveau mentionnés de façon à assurer la compréhension totale des lecteurs.
Ici, il est question d'un tueur en série, un homme qui s'en prend à des femmes et leur fait subir des atrocités à la faveur des couvre-feux durant les bombardements.
Cette enquête est une sorte de prolongement non pas tant du roman précédent que de l'Histoire elle-même, car des personnages ayant officié plus de 50 ans plus tôt font une réapparition afin de clore un chapitre dans le grand livre du mal.
Une ambiance sombre et nostalgique alliée à des descriptions minutieuses de la ville bombardée rendent l'intrigue à la fois passionnante et enrichissante du point de vue historique.
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Plusieurs centres d'intérêts dans cette histoire qui se déroule en plein Blitz au coeur de Londres, ville très éprouvée par les bombardements des nazis.

D'abord les faits historiques : la guerre et le quotidien incertain des londoniens, les courses vers les abris, les hôpitaux débordés par le nombre des blessés. Mais aussi, un tueur sanguinaire, ayant réellement existé, qui choisit de profiter du couvre-feu pour remplir la mission dont il s'est investi, égorger des femmes, presque quotidiennement, pour tenter d'atteindre un objectif de destruction encore plus infâme, le massacre des enfants. Est-il inspiré par l'ombre de Jack l'Eventreur ou seulement par un livre mystique d'un théoricien du mal?

Ensuite, le roman proprement dit qui s'insère dans ce contexte historique, transformé par l'auteur pour lui donner encore plus de dimension où le mal côtoie le bien, mais lequel des deux triomphera et à quel prix?

La caractéristique principale de ce texte m'a semblé être la construction de sa progression qui alterne brillamment le suivi du meurtrier, les errements de la police, les scènes de guerre, et, petit à petit, l'intervention de plus en plus présente d'une infirmière, Amelia Pritlowe, la véritable héroïne de ce roman, torturée par mille démons ancrés dans son passé, qui va atteindre un extraordinaire dépassement de soi pour combattre sur tous les fronts.

La part laissée à l'enfance n'est pas à négliger avec des portraits de gamins blessés physiquement et moralement qui gardent le sens de l'humour et de l'analyse appartenant à cet âge.

Le climat que l'on peut imaginer du Londres de 1940 est magistralement instauré avec des descriptions où les briques des cheminées, les eaux grasses des canaux, les immeubles en ruines sont éclairés par des ciels obscurs dans lesquels les nuages de la guerre semblent être les annonciateurs d'autres calamités comme l'horreur des crimes commis.

Il manque peut-être une touche sur les ressentis de la population; était-elle informée des actes du tueur? Ou bien avait-elle assez à se soucier de sa survie sous les bombardements?

Ce blackout est donc un bon polar noir dans un contexte historique parfaitement mis en scène.
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Ce roman historique est à l'origine la compilation documentée d'un fait divers survenu dans le Londres des années de guerre.
Un tueur en série, affublé du surnom de " Blackout Ripper : l'éventreur du couvre-feu", sévit à la tombée de la nuit alors que la capitale est plongée dans le noir afin d'éviter des attaques aériennes.
Son histoire n'est pas sans rappeler un autre tueur ayant agit quelques années plus tôt sous le nom de Jack l'éventreur.
Une histoire d'enquête menée par un ancien de Scotland Yard et d'une infirmière touchée de près par les meurtres anciens; une enquête où la magie noire est présente et inspire le tueur.
Livre intéressant car documenté, il n'est pas sans rappeler les livres d'Erick Larson mais avec certaines longueurs et des descriptions menant au bord de la nausée.
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Amelia Pritlowe est une vieille amie, je l'avais déjà suivie dans son enquête sur la recherche de l'identité de Jack The Ripper, à Londres, en temps de guerre, sous les bombardements, lors du blitz (1941).

Nous sommes toujours à Londres, sous les bombes, en plein blackout et voilà qu'un autre tueur sévit, profitant de la noirceur qui règne dans la capitale durant les couvre-feux.

Blackout Ripper est une tueur en série qui a réellement existé, il se nommait Gordon Cummins et si d'entrée de jeu nous connaissons son identité, le but sera se savoir comment on va l'attraper, ou pas…

Mon ami Wiki aurait pu tout me dire sur lui, mais j'ai préféré suivre les péripéties de mon infirmière préférée, Amelia, dans cette enquête sur le tueur du blackout qui a eu le don de réveiller d'anciennes peurs de 1888.

Hé, on tue des femmes la nuit, on les égorge, on fout du sang partout, et on écrit sur les murs des phrases bizarres !

Cummins est un être détestable, un prétentieux se croyant tout droit sorti de la cuisse de Jupiter, avec de grande aspirations professionnelles qu'il a dû revoir fortement à la baisse et de ce fait, il a la haine de tout, surtout des femmes car il pense que nous sommes toutes des putains.

Prétentieux et dérangé, froid, dur, psychologiquement atteint, l'araignée de son cerveau qui se balade à l'envers, persuadé d'accomplir une grande mission… En un mot : un vrai salaud !

Entre nous, les passages où on se trouve avec lui sont plus qu'angoissants et je conseillerai aux esprits délicats de passer outre les descriptions des crimes, qui, sans être aussi détaillées que ceux de 1888, n'en sont pas moins violents et bestial.

Ce roman policier historique possède une atmosphère qui lui est propre, on sent la guerre, la peur des gens, le manque de tout, les ravitaillements au compte-goutte, l'envie de se changer les idées, le chaos, la ville en miette… Mais les anglais qui ne plient pas !

Certes, si un avion passe durant votre lecture, vous ne vous jetterez pas sous une table, mais… L'illusion des dégâts provoqués par la guerre sont très bien rendus dans ces pages et c'est toujours aussi flippant de se les imaginer.

Une enquête qui va progressivement, sans se presser, mais sans que l'on ressente de la lassitude car j'ai été happée par la vie londonienne durant la seconde guerre mondiale et par le boulot de fou que durent exécuter les médecins et les infirmières, propulsées pour certaines au rang de chirurgiennes à cause de la pénurie d'hommes.

Un roman qui mêle la réalité à la fiction avec brio car je vous défie de trouver où s'arrête le réel et où commence la fiction : nous sommes en présence de personnages ayant réellement existé et d'autres inventés, mais bien malin qui pourra dire où l'auteur a ajouté des choses (hormis dans les paroles dites par les victimes).

Un roman angoissant lorsque nous suivons les pas de l'assassin et que nous le voyons charmer les femmes avec aisance avant de les tuer agressivement, un roman où la fiction côtoie la réalité sans que l'on puisse les distinguer l'une de l'autre, sauf en lisant les notes en fin d'ouvrage.

Cela fait le deuxième roman sur un éventreur que je lis de cet auteur et il ne m'a pas déçu, que du contraire, et ses personnages principaux sont toujours aussi attachants.

Allez, rendez-vous au prochain roman de cet auteur, avec un éventreur dans ses pages ou pas !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Tout d'abord, je remercie HC Editions et la Masse Critique de Babélio pour cette découverte du dernier roman de Michel Moatti: Blackout Baby.
Après un flashback audacieux aux côtés du célèbre Jack l'éventreur dans Retour à Whitechapel, nous retrouvons Amelia Pritlowe qui peine à exorciser les fantômes de l'assassinat de sa mère, Mary Jane Kelly, dernière victime identifiée du célèbre serial killer londonien.
Nous sommes quelques mois après la fin de sa traque, en Février 1942, Londres subit le blackout total, chaque nuit. Amelia, infirmière, passe ses jours et ses nuits à rafistoler tant bien que mal les corps abîmés, brûlés, déchiquetés. On pourrait penser que la guerre et son cortège d'horreurs sont le pire des maux que la capitale doit gérer coûte que coûte, mais des femmes sont mutilées et tuées, accompagnées dans la mort par d'étranges messages.
L'assassin est rapidement surnommé Blackout Ripper, en raison des similitudes avec son auguste prédécesseur, Jack the Ripper.
Scotland Yard est dépassé par ce tueur agissant dans l'ombre et par la pression exercée par les autorités qui refusent que la population soit détournée de son devoir patriotique et paralysée par la peur.
Si rien n'est fait, le tueur continuera son oeuvre.
Dans l'obscurité et dans le sang.
Walter Dew, enquêteur malheureux des drames d'il y a 50 ans, voit dans cette enquête un moyen de redorer son blason et d'effacer son échec passé. Il a suivi l'enquête d'Amelia et la persuade de participer à ce nouveau mystère. Amelia n'est pas dupe des desseins du vieil homme mais ressent le besoin de mettre un terme à cette escalade sanglante.

Ce roman est fortement inspiré de faits réels et avérés. Et bien malin est celui qui arriverait à démêler la fiction des événements historiques! Et c'est ce que j'aime dans ce style de romans, c'est de se perdre naturellement dans les théories et extrapolations de l'auteur, les transposer à la réalité.
Autant nous connaissons tous Jack l'Eventreur, autant l'histoire de Gordon Cummins reste très très confidentielle voire ignorée.
Mince j'ai spoilé le nom du coupable?!? Non, rassurez-vous, on connaît dès le départ l'identité du tueur.
C'est d'ailleurs ce qui rend ce roman très angoissant: nous marchons dans les pas de l'assassin, nous pensons avec lui. Cette promiscuité avec cet individu instille une peur latente car il nous prouve qu'il est aisé de se fondre dans la masse pour traquer et approcher les victimes. Que la folie et la perversion ne sont pas inscrites sur les visages.
L'angoisse est exacerbée par les temps troublés de la seconde guerre mondiale et une description très détaillée et réaliste de ce que la capitale anglaise a vécue. L'ambiance est sombre, étouffante, rythmée par l'incertitude des lendemains et les tensions quotidiennes.
Amelia est le pont entre cette ville en guerre, préoccupée par le sort de ses enfants, de son avenir; et cette enquête dans laquelle elle jette toute son énergie. Loin d'être dans un rôle de super héroïne, ses fragilités titillent notre empathie pour partager son impuissance à empêcher qu'une nouvelle victime s'ajoute aux autres et sa volonté à poursuivre ses recherches.
Et, alors qu'Amelia est préoccupée par le côté inhumain, injuste et amoral de ces morts, Walter Dew, le professionnel, est noyé dans les chiffres, l'ego et la pression. J'ai aimé l'audace de cette femme à n'en faire qu'à sa tête, au péril de sa vie, parce que convaincue du bien fondé de sa démarche, face aux hésitations et incertitudes des hommes. Il y a un moment pour réfléchir, ergoter et un moment pour agir. Et c'est elle, seule, qui se mettra en travers du chemin de Gordon.
Si les agissements du serial killer sont le point central du roman, son mobile fait aussi l'objet d'une étude très intéressante par son mysticisme. Gordon suit les préceptes occultes du Livre de la Loi, écrit par un illuminé excentrique, à la vie dissolue mais qui a le talent de subjuguer quelques adeptes en mal de sensations ou à l'esprit faible ou déviant. Les dangers de certaines pratiques sont ainsi mises en avant pour tenter d'expliquer que, entre de mauvaises mains, certains délires mystiques sont de véritables armes de pouvoir et de destruction.
Cette lecture a été très agréable parce que l'auteur a su fondre la fiction et la réalité, a su distiller les éléments de ses recherches et documentation dans une histoire cohérente et glaçante, a su faire cohabiter avec talent l'atmosphère de la seconde guerre mondiale à l'horreur d'un meurtrier qui frappe à notre porte.
Je me demande maintenant, après Jack the Ripper et Blackout Ripper, quel éventreur anglais va devenir la cible de Michel Moatti?
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Londres 1942 : profitant du couvre-feu, un tueur hante les rues de la ville. En quelques jours, il assassine et mutile quatre femmes. Son modus operandi interpelle Scotland Yard et la presse, qui le surnomme aussitôt le Black Ripper.
J'ai découvert Michel Moati avec son premier roman, Retour à Whitechapel , un roman mi-policier mi-historique autour de Jack l'Éventreur. Dans ce polar, l'auteur tente de donner une réponse à l'énigme qu'est Jack l'Eventreur depuis le fin de 19e siècle. Il y expose sa thèse qui se tient et qui est passionnante.  Le mieux c'est que je vous fasse très vite une petite présentation de ce roman.
Ici avec Blackout baby, il récidive et nous propose une nouvelle fiction tiré d'un fait divers. Durant l'hiver 1942, pendant le blackout londonien, un tueur fou assassine impunément. Très vite en le surnomme Blitz Ripper 
Et pour raconter cette histoire Michel Moati fait appelle une nouvelle fois à Amelia Pritlowe . Cette infirmière que nous avions rencontrée dans Retour à Whitechapel. Il lui adjoint un flic à le retraite, Walter Dew , un vieux de la veille ayant déjà enquêter à l'époque sur les meurtres du Ripper .
Il vont se lancer sur les traces d'un assassin nyctalope particulièrement retord. Un tueur de prostitué. Un homme particulièrement charmant qui les séduit et ensuite les mutile et les tue.
Il profite de la confusion qui règne dans Londres durant l'hiver 42. Nous sommes en plein Blitz, Londres et à feu et à sang. Les bombardements sont intensifs. La population est choqué. Les enfants vont être évacués et envoyés à la campagne.
C'est cette ambiance si particulière que va merveilleusement restituer Michel Moati. Une capitale britannique sombre, aux ruelles ravagés et partiellement détruite. La tension est quotidienne pour les londoniens qui vivent sous les bombes. L'avenir est incertain. L'atmosphère est étouffante, pesante. Les description de l'auteur nous la restitue avec précision, on y est, on la visualise.
A l'instant de notre tueur en série, Gordon Frederick Cummins, notre vision va devenir , mésopique, photopique voire scotopique.  Toute l'histoire va s'éclairer de noir et de blanc pour apporter encore plus de magie à ce décor.
C'est bluffant et avec ce nouveau roman , Michel Moatti confirme tout son talent.
Et promis je vous reviens très vite vous parlez de Retour à Whitechapel
Ah oui, surtout , ne pas manquer, les notes de l'auteur à la fin de l'ouvrage.
Lien : https://collectifpolar.com/
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"Blackout baby" est un roman enivrant. Mêlant fiction et faits réels, il emmène son lecteur vers un Londres plongé dans la guerre, au coeur des bombardements avec le spectre,encore et toujours de Jack l'Eventreur.
J'ai été happé dès le départ: meurtres sanglants, style tranchant, écriture fluide :tout est réuni pour être hypnotisé dès le départ.
Le fait que l'auteur des crimes soit identifié dès le début, n'est nullement un problème, au contraire , la connaissance du coupable apporte toute son originalité au roman. on suit ce personnage du début à la fin, on apprend à le connaître, à l'analyser.
Michel Moatti accorde autant d'importance à l'histoire conductrice du roman: les meurtres produits à Londres, qu'au contexte: la guerre, les bombardements... Les personnages sont saisissants, ils sortent des sentiers battus, ils sont atypiques .Mais là où pour moi, Moatti a excellé c'est qu'il a réussi à mêler détails sanglants, style thriller, et poésie.
J'ai été surprise par la poésie qu'il ressortait de plusieurs chapitres, paragraphes.
Je recommande ce livre, parce que au delà de l'histoire intéressante et tirée de faits réels , le style d'écriture est remarquable
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Alors que Londres est plongée dans le noir complet chaque nuit afin de compliquer la tâche de la Luftwaffe, aviation allemande, un individu s'en prend à des femmes. Il les viole, les tue et les mutile. Sa manière de tuer fait rapidement penser à Jack l'Éventreur mais alors que ce dernier avait tuer 5 femmes en un mois, ce nouveau serial killer n'a mis que 4 jours. le risque est grand et Scotland Yard semble démunie. Pour mener cette enquête en toute discrétion, le Cabinet Gris fait appel à l''ancien inspecteur Dew. Ce dernier décide de demander l'assistance d'Amélia Pritlowe pour élucider ce mystère et appréhender ce criminel.
Blackout Baby est un très bon roman. Il se lit vite et nous plonge rapidement dans l'hiver 1942. Pour les sceptiques, le travail de recherche de l'auteur mérite amplement qu'on laisse sa chance à ce roman.
Lien : http://wp.me/p78LJM-9B
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J'avais beaucoup apprécié le précedent roman de M Moatti et son héroine. Cette fois ci elle va etre confrontée dans sa vie actuelle à un nouveau serial killer proche des manieres de Jack the ripper. Même si son intégration dans l'enquete est un peu tirée par les cheveux, l'histoire reste palpitante et très proche de la réalite (merci wiki). J'attends le suivant avec impatience.
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