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EAN : 9782824606026
336 pages
City Editions (20/05/2015)
2.78/5   27 notes
Résumé :
Acteur désormais à la retraite, Russell décide de quitter sa trop trépidante vie londonienne. Il vient en effet d'hériter d'un vieux bed & breakfast perdu en plein milieu de la campagne, un petit hôtel qui a connu des jours meilleurs et où tout est à refaire. Et Russell réalise vite qu'il doit absolument remplir les chambres, et vite ! Arrive alors une galerie de personnages hétéroclites : Harold, dont la femme s'est enfuie avec une femme plus jeune ; Amy, qui vient... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Amateur(es) d'humour british et de situations cocasses, ce livre est pour vous!

Russell a 70 ans, ancien acteur au succès mitigé, trois fois marié (et autant de fois séparé…) il est père de 5 enfants de 4 femmes différentes. Las de la vie londonienne, trop trépidante et bruyante pour lui, il aspire à présent à une vie plus calme et proche de la nature.

La chance lui sourit lorsqu'il apprend qu'il hérite du Bed & Breakfast perdu dans la campagne anglaise de Bridie, l'une de ses anciennes « amies » . Seule ombre au tableau, Russell ne sait rien faire de ses dix doigts et la maison d'hôtes et son jardin sont en piteux état.

Fort de son seul et unique talent d'orateur et de son expérience passée dans ses relations avec les femmes, il a alors une idée complétement folle: organiser des séminaires pour divorcés et leur apprendre tout ce qu'ils déléguaient auparavant à leur moitié. Au programme, bricolage, jardinage, mécanique… de quoi être autonome et remettre le Bed & Breakfast en état à l'oeil.

Mais les rencontres entre ces « coeurs en miettes » vont donner lieu à de surprenantes situations et rien ne va tourner comme prévu!

Un roman sans prétention mais divertissant qui donne envie de lâcher prise et de se laisser porter au gré de cette galerie de personnages farfelus.

Un livre qui parle aussi de la difficulté de rencontrer la « bonne personne » et qui adresse un message optimiste: Love is everywhere!
Lien : http://audreyaufildespages.u..
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Pas de surprises, mais des sourires devant ces personnes "d'un certain" âge qui reprennent goût à la vie au fond de la campagne anglaise/galloise. On passe un moment sympa, avec un fond d'humour anglais. Pour passer un bon moment sans prise de tête.
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bof sans intérêt
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Dans ce petit hôtel familial, sous le regard protecteur de Russell, tout ce petit monde apprend à vivre ensemble, à rire et à aimer .
Et c'est surtout l'occasion pour ces cœurs en miettes de prendre un nouveau départ...
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On n’a pas ce genre de problématiques lorsqu’on vit avec quelqu’un depuis des années. On vieillit ensemble. Chacun garde en mémoire le corps plus jeune et plus musclé de son partenaire. Alors que deux personnes mûres qui ne se connaissent pas risquent de recevoir un choc à la vue de leur propre mortalité, reflétée par les rides de leur partenaire.
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Les hommes de son âge étaient tous mariés, la plupart à un modèle plus jeune, mais bel et bien mariés. Même les séducteurs notoires avaient remisé leur panoplie de Casanova et étaient retournés à leurs épouses en souffrance. C’était tellement injuste. Elles étaient ridées, elles aussi, bien plus ridées qu’elle, en fait. Pourtant, ces hommes avaient beau être décrépits, infidèles, alcooliques, vaniteux et égoïstes – toujours à déblatérer sur leur travail, leurs problèmes de prostate, à Dieu ne plaise leur handicap au golf –, oui, même baveux et ennuyeux à mourir, ils trouvaient toujours quelque part des femmes désireuses de coucher avec eux.
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Les équipes de tournage étaient des bandes de copains qui ne parlaient jamais de leur vie privée. Le milieu du cinéma était un microcosme. Partir pour une mission coupait les gens de leur autre vie, leur vie normale. Les fornications étaient brèves et sauvages. Ils prenaient leur plaisir là où ils le trouvaient, comme des chats de gouttière.
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Du temps de sa jeunesse, on s’enivrait et on se retrouvait au lit avec un peu n’importe quelle fille. Ensuite, on se mariait, comme il l’avait fait avec sa première ex-femme, parce que c’était dans les mœurs de l’époque. Aujourd’hui, à cinquante-six ans, l’idée d’apprendre à redécouvrir entièrement une femme l’emplissait d’une peur panique.
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Bande annonce du film Tulip fever (2017), adaptation du roman de Deborah Moggach, paru en français sous le titre Le peintre des vanités
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