Le roman reprend un thème canonique de la littérature de SF (le génocide des indésirables dissimulé, pour des raisons écologiques notamment) : on pense au film Soleil Vert ou à Parcs de mémoire de Maurice Mourier. La narration est très efficace, on y croit, on y est. On rajoute un peu de Waterworld et ça fonctionne. J'ai pris énormément de plaisir à le lire (malgré les quelques défauts qui suivent).
La brièveté du livre est sa plus grande faiblesse. Trop de scènes sont survolées. La scène d'exposition est un peu gnan-gnan et la fin n'échappe pas à une happy-end un peu convenue.
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