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sur 1512 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Les Précieuses ridicules est une courte pièce en un seul acte et en prose où Molière s'amuse à tourner en dérision les précieuses de son temps. Cette comédie sera l'un de ses premiers succès, mais en même temps, elle va lui attirer les flèches de ses adversaires.

En effet, en plus des travestissements dignes d'une farce et des constructions syntaxique et sémantique parodiant les inventions grammaticales des précieuses et leurs comportements, Molière a pu créer des modèles comiques bâtis sur des caractères appartenant à son époque, rendant ainsi populaire une mode propre aux ruelles (comme on les nommait jadis) des dames de son temps. Ce qui va attirer l'attention du grand publique et les regards d'autres auteurs sur un courant littéraire qui s'est peut-être contenté d'être une simple mode éphémère (même si on parlera plus tard au XXème siècle de la préciosité de Jean Giraudoux, mais dans un autre registre cette fois).

Certes, la pièce était aussi l'occasion de s'attaquer au marquis, victime préférée de Molière ; et de dénoncer le faux qu'il ne cessera de combattre à travers ses pièces suivantes. Par ailleurs, dans cette pièce on remarque comment autrefois on envoyait des messages à ses adversaires ou contemporains à travers ses oeuvres littéraires et artistiques. Aujourd'hui les artistes préfèrent surtout les réseaux sociaux ; ce qui n'est pas toujours subtile et raffiné.
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Nouveau défi perso : relire des classiques imposés durant mon cursus scolaire... J'appréhendais, et finalement bien m'en a pris !

On se souvient tous des fameuses «commodités de la conversation» et autres périphrases ridicules de Cathos et Magdelon. Au-delà du «simple» (mais éternel) conflit de générations avec ces modes qui séparent les êtres, cette farce qui joue du comique de l'arroseur arrosé est bien plus que ça.
On aurait pu se dire que cette pièce qui contient l'un des plus fameux portrait de personnage féminin perverti par les lectures romantiques - drôle d'exercice pour un écrivain ! - est une mise en garde contre ces femmes qui se laissent «baratiner» (comme on dirait aujourd'hui) par des hommes qui connaissent leur point faible..
Et oui, si on dit que les hommes rêvent de gloire matérielle, les femmes rêvent de l'Amour avec un grand A, incarné par un homme bien comme il faut, beau, cultivé rt riche pour les choyer à leur juste valeur. Molière se moque d'ailleurs du supposé désintérêt financier de ses deux personnages.
On pourrait aussi se dire que c'est une invitation aux femmes à se prendre en main et cesser de se définir en tant qu'amantes ou épouses ? Après tout pourquoi ne pas le prendre ainsi ?

Mais ce que je retiens de cette seconde lecture et qui m'avait complètement échappé au lycée, c'est la critique mordante que fait Molière des modes qui passent et des esprits changeants qui poussent à ne «voir» les gens que pour l'intérêt qu'on pourrait y voir et non pour eux-mêmes...

Expérience à renouveler !
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Admirables babeliotes, vous ne savez pas ce que sont " les commodités de la conversation" ou ce que représente " le miroir de l'âme" ? Fi ! J'en suis furieusement outragée ! Découvrez-le donc à travers cette comédie brève, pleine d'humour et de moquerie.

Molière s'amuse à caricaturer un courant littéraire du 17 ème siècle: la préciosité.Au départ, c'est , pour lutter contre la grossièreté ambiante, une idée intéressante et délicate, qui se diffuse dans les salons de la Noblesse.Il s'agit d'utiliser un beau langage, recherché, imagé.

Mais cette mode littéraire prend ensuite un aspect exacerbé, affecté, qu'on peut, comme Molière, trouver ridicule.

Cathos et Magdelon incarnent à merveille les excès de ce désir de raffinement, avec cette fameuse carte du Tendre, qu'il faut, par exemple, respecter.La sottise des deux jeunes femmes les poussera à se faire ridiculiser par des valets se faisant passer pour leurs maîtres.Pour Jodelet et Mascarille, c'est une belle revanche sociale !

Cette pièce peut paraître démodée et présenter un thème bien léger mais je trouve qu'elle est toujours d'actualité: à chaque époque, y compris la nôtre,les modes langagières et les tics liés au sur-emploi de certains mots ont fleuri et se révèlent souvent risibles, en tout cas agaçants.

Pour rester dans le registre précieux, qui affectionne les hyperboles, je vous avouerai que cette pièce est " effroyablement réussie", on est " touché délicieusement ".C'est " du dernier galant" !
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Sans doute un peu démodée pour le ton, cette pièce ne l'est pas pour le fond, car quelle que soit l'époque, il existera toujours des précieux, des personnes qui souhaitent paraître, et qui jouant un rôle et perdant tout naturel se rendront ridicules. Molière se moquait ici encore des travers de certains de ses contemporains. Ici, la pièce est courte ne comportant qu'un acte. Avec ses bastonnades, elle est une comédie très proche de la farce. Molière, un auteur toujours très agréable à lire.
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Molière est un auteur qu'on ne présente plus. Auteur de nombreuses pièces de théâtre, il s'illustre ici avec Les Précieuses Ridicules. Je porte beaucoup d'affection à cette auteur, je tenais à lire sa première comédie en un acte et en prose qui a été représentée pour la première fois à Paris sur le théâtre du Petit-Bourbon. Ces précieuses possèdent une pudeur excessive, ce sont des coquettes qui méprisent la sensualité. Elles veulent un amour semblable à celui des romans de l'époque. La Grange et du Croisy représentent les amants rebutés qui vont décider de se venger grâce à leurs valets. Nous sommes entrainés dans cette pièce qui est rapide et concise, les précieuses sont complètement outragées par la révélation finale, elles sont humiliées par les deux hommes qui voulaient les épouser.
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Les troupes de comédiens de province du 17e siècle, ont pris l'habitude, pour attirer un public restreint et confronté à une offre de pièce limitée et un peu identique dans toutes ces troupes, à ajouter à la grande tragédie en cinq actes, une petite pièce comique, bricolée par un des comédiens ayant un petit talent d'auteur. La troupe de Molière, lors de son installation à Paris, où elle partage dans un premier temps le même théâtre que les comédiens italiens, garde cette habitude à la capitale, d'autant plus que sa façon de jouer, « plus naturelle », moins outrée, et permettant moins au public de faire le brouhaha, n'est pas un franc succès auprès du public parisien, qui a à sa disposition à l'époque plusieurs autres troupes installées. Les petites pièces de Molière, quant à elles, font accourir le public et assurent le succès financier. Mais elles ne sont pas considérées comme une vraie oeuvre, pas d'éditions de ces pièces (beaucoup de ces premières productions de Molière sont perdues), jusqu'à ce qu'une d'entre elle, ces Précieuses ridicules justement, subisse la tentative d'une édition pirate par un libraire, ce qui pousse Molière à l'éditer lui-même. le succès à répétition de ces petites pièces de Molière va aboutir à ce que d'autres troupes adoptent cette pratique à Paris, e1793t cela va devenir la règle ; lorsque la Comédie Française se crée, une petite pièce sera présentée systématique en complément de la grande pièce, et cela va perdurer jusqu'à la fermeture du théâtre en 1793 pendant la Révolution française.

Plusieurs registres se rejoignent dans ces Précieuses ridicules. le thème du valet déguisé en maître est un grand classique du courant burlesque de la comédie, imité au départ de la comédie espagnole. Et justement la troupe de Molière vient d'engager Jodelet, l'auteur comique le plus célèbre à son époque, justement grâce à ses rôles de valet déguisé en maître et qui adopte un comportement totalement à l'opposé de celui qu'on attendrait d'un noble seigneur, les pièces comme Jodelet ou le Maître valet de Scarron et Jodelet prince de Thomas Corneille sont d'ailleurs à l'affiche de la troupe de Molière à l'époque. Mais Jodelet est à l'époque âgé, et le public connaît trop bien ces pièces. Donc Molière va créer une pièce qui utilise les talents de Jodelet mais dans un cadre nouveau, celui des salons parisiens de l'époque, en faisant une parodie des usages à la mode, chez son public, qu'il pense être à même d'apprécier une satire, d'autant plus acceptable, que les personnages des Précieuses ridicules sont en réalités des provinciales qui aspirent à une façon de vivre qu'elles ne connaissent que par les livres et qui la singent d'une façon grotesque. Lui-même seconde Jodelet dans un rôle de valet déguisé, Mascarille. Il s'appuie pour inventer sa satire, sur les écrits de Charles Sorel, qui a parodié les moeurs galantes qui ont cours dans les salons, en particulier dans un texte qui s'appelle Les lois de la galanterie.

Donc nos deux jeunes femmes débarquées de leur province, Cathos et Madelon, traitent fort mal les prétendants choisis par leur père et oncle. Les jeunes gens décident de se venger, en leur envoyant leurs valets déguisés en seigneurs et qui singent les galants fréquentant les salons. Les deux cousines s'y laissent prendre, jusqu'à ce que les valets ne soient dénoncés et houspillés par leurs maîtres qui accomplissent ainsi leur vengeance.

Une pièce courte, d'une grande efficacité comique, qui combine d'une façon condensée mais en même temps très habile divers aspects de la comédie de l'époque, tout en ayant une véritable originalité, il ne s'agit pas uniquement de reprendre des modèles, venus de l'Italie ou d'Espagne, mais d'ancrer la comédie, la satire, dans le contexte de son temps, dans les usages et les moeurs en cours, ce qui permet aux spectateurs d'être plus proches, plus concernés directement par ce qui se passe sur la scène. Molière fait à fois la preuve d'une grande maîtrise des codes et conventions de l'époque, et d'une vraie inventivité.
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Deuxième pièce de Molière que je (re)découvre, après le Bourgeois Gentilhomme, et j'ai encore une fois grandement apprécié. C'est une comédie, voire une farce, très courte, drôle et légère. Dans cette pièce Molière n'est pas tendre— non pas avec toutes précieuses— mais avec ses deux personnages, Cathos et Magdelon, qui sont sacrément caricaturées il faut le dire, quasi ridicules, mais en tant que lecteur que ce fut savoureux à lire ! Leurs répliques sont de petites pépites à lire ! J'ai aussi beaucoup aimé le piège tendu par les amants, similaire à celui du Bourgeois gentilhomme, où ce sont des valets déguisés en nobles qui vont prendre les jeunes filles à leur propre jeu. Personnellement je trouve ce genre de piège toujours très drôle à lire.

Molière dans cette pièce donne une sacrée satire de ce qu'on appelle à l'époque « les précieuses » ; des femmes, — mais pas que — mondaines qui se veulent cultivées, raffinées et revendiquent les qualités de l'esprit sous toutes les formes artistiques. Dans le dossier (très complet) qui accompagne mon édition on y apprend d'ailleurs qu'il n'y pas qu'une forme de préciosité mais plusieurs, on comprend aussi que c'est un phénomène culturel et littéraire qui n'est pas arrêté et qui englobe différentes réalités. Il est aussi précisé que c'était un sujet très à la mode à cette époque là, que d'autres auteurs y ont consacrés des pièces mais en ce que concerne Molière ce fut son premier succès !

Souvent pour Molière je trouve qu'il est important, afin de mieux apprécier ses pièces, de s'informer sur le contexte et le sujet qu'il traite, d'autant plus ici qu'il s'agit d'un phénomène un peu oublié et qu'il est très intéressant de découvrir si l'on veut comprendre pleinement la pièce. On peut même avoir la sensation, anachronique bien évidemment, que Molière fait preuve de misogynie, mais pour ma part je pense plutôt que, comme très souvent dans ses pièces, ce qu'il dénonce c'est la vanité et l'ostentation (Les femmes savantes, le Bourgeois Gentilhomme, …) et non les valeurs elles-mêmes. Je trouve que c'est une peinture, parmi d'autre, de son temps qui est très intéressante pour le lecteur d'aujourd'hui, mais tout en restant une comédie que l'on peut apprécier comme telle simplement. D'ailleurs pendant ma lecture je ne posais pas de questions, je profitais tout simplement de la qualité et de cette verve incroyable, à la fois divertissante et admirable.

Par contre, le seul bémol c'est que j'ai trouvé la pièce un peu trop courte et un peu précipitée sur la fin ; c'est une pièce en un seul acte, et lorsque la supercherie se trouve enfin dévoilée les deux instigateurs ; la Grange et du Croisy n'apparaissent qu'en coup de vent !, alors qu'on pouvait s'attendre à une révélation spectaculaire, digne de l'immense piège qu'ils en tendus à leurs maitresses, donc ce côté là j'ai été un peu déçue.
Quoi qu'il en soit c'est une pièce très plaisante, instructive et divertissante !
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J'ai lu cette pièce il y a plusieurs années, et elle ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable. La preuve, lorsque, d'humeur badine, je parcourus ma bibliothèque à la recherche d'une comédie légère et tombai sur cette pièce, je me suis demandée si je l'avais seulement lue, tant l'intrigue m'échappait : je n'avais en mémoire que quelques bribes détachées les unes des autres. J'y ai donc remédié. le verdict ?

J'ai ri. Parce que c'est Molière, un dramaturge que j'aime énormément et que je trouve incroyablement juste _ quoiqu'excessif, parce que caricature comique oblige _ dans sa façon de dépeindre les travers humains, si juste en fait que ses pièces trouvent un écho particulier et familier en nous, lecteurs et lectrices du XXIème siècle et que ses textes peuvent être interprétés en fonction d'enjeux plus modernes, signe de leur richesse et de leur résistance au temps (je pense notamment à l'excellent film "Alceste à bicyclette", qui est une adaptation libre du "Misanthrope", une interprétation moderne qui fait voir cette pièce, que j'ai toujours trouvée plus amère et triste que véritablement drôle, sous un angle très intéressant).

J'ai ri parce que c'est drôle : deux jeunes sottes qui se croient spirituelles et dédaignent leurs prétendants sous prétexte qu'ils ne sont pas assez bien pour elles, deux amants éconduits qui jurent de se venger des deux "pecques" et leur jouent un tour bien pendable pour les ridiculiser, deux valets qui prétendent être nobles, font une cour saugrenue et vulgaire à ces deux oies, trop éblouies par la promesse de faire prochainement partie du "beau monde" pour se rendre compte de la grossièreté de leurs nouveaux amants, valets qui finissent par se prendre des coups de bâton de leurs maîtres, enfin vengés, le tout sous les yeux consternés du patriarche de la famille, père de l'une, oncle de l'autre qui s'exclame qu'elles sont folles lorsqu'elles lui font part de leur désir d'être courtisées de façon extrêmement romanesque et soupire que "la garde de deux filles est une charge un peu trop pesante pour un homme de (s)on âge", sans oublier le talent incontestable de ce cher Molière pour la comédie, tout est réuni pour faire rire, et j'ai ri.

J'ai ri, mais pas tout le temps de bon coeur, parce qu'aussi drôle que fût la situation, aussi sottes que fussent ces deux "beaux esprits" incapables de voir que tout ce qui brille n'est pas d'or... je trouve Molière un peu injuste.

Je sais que cette pièce a été écrite au XVIIème siècle. Je sais qu'on ne peut pas juger selon nos valeurs actuelles un texte qui a été écrit il y a si longtemps, à moins de vouloir jeter à la poubelle plus des trois quarts de notre patrimoine littéraire (chose que je refuse absolument), mais tout de même. Nous paraissent-elles si ridicules que cela aujourd'hui ces deux précieuses ? Certes, elles sont maniérées, pédantes, incapables de distinguer la vulgarité de la beauté si les apparences sont agréables, mais force est de constater qu'on ne peut pas de tout coeur sympathiser avec un vieux barbon qui s'exclame qu'il "veut être maître absolu" et oblige ses protégées à choisir entre un mariage forcé et le couvent (deux réalités féminines peu enviables et pourtant, c'était là la seule alternative), et qu'on ne peut pas condamner fermement une jeune femme qui proteste qu'elle veut se marier par amour, quand bien même sa vision de l'amour nous fait sourire, ni même une autre qui ne veut pas se marier parce que cela la rebute.

D'autre part, Molière a beau s'en être défendu en prétextant qu'il n'attaquait que les dérives de ces salons, il n'en demeure pas moins que cette pièce est une satire acerbe de la préciosité (ou d'une certaine vision de la préciosité, car comme pour tout courant ou toute mode littéraire, on trouve le meilleur comme le pire). Or, si la littérature précieuse nous tombe des mains aujourd'hui (des miennes en tout cas, assurément) et a été fortement décriée pour son caractère parfois pédant et maniéré à outrance, Molière occulte tout un pan de cette littérature qui n'est ni plus ni moins qu'un moyen pour une femme lettrée d'exercer un semblant de contrôle sur sa destinée et de remettre en cause des pratiques sociales qui l'asservissent, jusqu'à refuser le mariage et à revendiquer les vertus du célibat, ce qui, dans un monde coincé entre une caste bourgeoise en quête de reconnaissance sociale qui se traduit souvent par des mariages stratégiques et une sphère aristocratique se complaisant dans ses privilèges et traditions, était une opinion plutôt choquante, et, n'ayons pas peur des mots, une esquisse du féminisme tel qu'il se développera bien plus tard.

J'ai aimé cette pièce. Vraiment. C'est justement parce que je l'ai aimée que je tenais à relever les quelques points qui m'ont fait froncer les sourcils. Mais la littérature, n'est-ce pas justement cette remise en cause perpétuelle de nos certitudes, cet ébranlement constant de nos valeurs qui nous pousse à réfléchir et à nous remettre en question à chaque livre que l'on referme ?
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Premier grand succès de Molière , première pièce imprimée on ne la voit souvent que sous l'angle réducteur d'une critique de la Préciosité ce qui la rend en partie obsolète . En fait , j'y vois surtout une critique du snobisme , Cathos et Magdelon me rappellent ces personnes qui se pâmaient aux séminaires de Lacan . de plus il y a dans la pièce une cruauté sous jacente (les deux marquis-guignols sont les outils d'une vengeance) qui anticipe sur Marivaux . J'ai beaucoup aimé la mise en scène donnée par Jérôme Deschamps et Macha Makaïeff en 1997.
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Difficile de faire une critique convenable sur une pièce de théâtre aussi connue et de Molière, qui plus est. J'avoue que j'ai toujours un petit peu de difficultés à lire le théâtre, et même avec Molière, j'ai le même problème. Mais cette pièce, comme toutes les autres ou presque, est un témoignage satirique de cette époque, et reste un classique de notre littérature.
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