Lourd, confus et ennuyeux, avec de permanents rappels explicites ou non au roman précédent, ce roman m'a donné beaucoup de peine pour le terminer. Une étoile et demi pour la photo de couverture.
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Fin bâclée et manquant singulièrement de réalisme
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Avec une seule mort, plusieurs vies basculent, irrémédiablement, songeait la commissaire Djemani dans l’avion qui la ramenait nuitamment de Santiago vers Paris, à la fin d’un mois de février qu’elle n’oublierait pas de sitôt.
Estelle Monbrun - célèbre Simenon !